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Note moyenne 5 (sur 369 notes)
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Sorry de Zoran Drvenkar
La culpabilité, c'est personnel. Privé. Et on ne peut pas s'excuser auprès d'un mort, hein ? Personne...personne ne peut satisfaire un mort...Personne.
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Toi de Zoran Drvenkar
Nous avons beau aspirer à la lumière, nous avons besoin de l’ombre. Le désir qui nous fait rechercher l'harmonie nous pousse aussi, dans un obscur recoin de notre coeur, vers le chaos. Un chaos tout relatif, Nous ne sommes pas des barbares. Pourtant, c'est bien ce que nous devenons dès que le monde déraille. Le chaos est toujours à l’affût. (premières phrases du roman) |
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Toi de Zoran Drvenkar
Il sont aussi superficiels qu'une flaque d'eau dans un caniveau et ils consultent leurs portables comme s'il s'agissait d'instruments de navigation sans lesquels il ne sauraient pas où aller après le cinéma. Il ont trop de choses, et comme ils en ont trop, il en veulent encore plus, car c'est tout ce qu'ils connaissent. Avides, aussi éloignés de la satiété que de la faim parce qu'on les nourrit sans arrêt, avant même qu'un début de faim puisse se manifester. |
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Sorry de Zoran Drvenkar
Etre amoureux, ce n'est pas comme aimer quelqu'un. Tamara est capable de tomber amoureuse chaque semaine, mais elle ne veut aimer qu'une seule fois. Or David n'était pas l'homme qui pouvait enflammer son coeur. Il se montrait bon avec elle, mettait le monde à ses pieds, cependant cela ne suffisait pas à créer de l'amour.
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Toi de Zoran Drvenkar
Jamais les pensées n'ont eu un impact aussi rapide. Les histoires ne se transmettent plus oralement, elles nous arrivent en kilo-octets à une vitesse vertigineuse, impossible désormais de détourner les yeux. Et quand l'excès se fait sentir, nous réagissons comme des barbares : nous transformons le chaos en mythe.
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Sorry de Zoran Drvenkar
« Nous représentons le nouveau pardon. Oublie la religion. Nous sommes les intermédiaires entre la faute et le remords. » (p. 200)
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Toi de Zoran Drvenkar
Gamin, le destin, c'est un type atteint de syphilis, qui a une queue en acier et qui t'encule dès que tu regardes du mauvais côté. Tu crois que je lui tournerais le dos ?
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Sorry de Zoran Drvenkar
Les enfants sont si faciles à manipuler, ils ne connaissent que les règles les plus simples. Quand on leur lance un ballon, ils l'attrapent. Tout change quand la lumière se détourne d'eux et que l'obscurité les touche.
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Sorry de Zoran Drvenkar
Il y’a un truc qui manque aux chefs et aux décideurs, un truc dont ils ne peuvent pas se dépêtrer, qui plane comme une ombre menaçante sur leur vie…Ce truc là leur pourrit tellement la vie que ça se voit sur leurs figures…Ils ne savent pas s’excuser. Alors c’est pour ça qu’on va leur offrir. Des excuses à la pelle, à un prix sacrément juteux
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Despote russe exilé, je suis un très gros chat et j'apparais dans plusieurs albums de la série, notamment dans le numéro 2. Depuis la Sibérie, je cherche à retrouver ma fille Alexandra que je pensais disparue à jamais. Canardo a rencontré par hasard ma fille Alexandra et tous les deux viendront en Sibérie pour me retrouver.