Je découvre l'écriture d'Olivia Ruiz à travers de 2ème roman.
Après des premières pages durant lesquelles je dois admettre que j'ai eu un peu de mal à garder en tête toutes ces femmes, tous ces prénoms, j'ai choisi de me laisser porter par l'histoire, et j'ai été transportée à Marseillette. J'ai vécu les joies, les bonheurs et les peines de Carmen et de sa tribu aux origines espagnoles, en passant ces quelques heures dans ce café riche d'éclats de rire ou de voix.
Tout au long du roman Carmen déroule le fil de ses souvenirs, heureux ou non, et nous explique son cheminement et ses prises de conscience.
Un roman au sein duquel l'amour reigne... avec un grand A ou non, peu importe tant qu'il est là, tant qu'il rassemble les êtres.
Prochaine étape pour moi : enfin lire "la commode aux tiroirs de couleurs".
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Pas aussi addictif que les précédents. On entrevoit à la fin la possibilité d’une prochaine enquête. À. Marcas n’en a pas terminé ?
L’enquête est simple mais tout aussi efficace. Le commissaire rame un peu toutefois au début puis tout se met en place.
Toujours agréable à lire, les auteurs sont fidèles à eux mêmes.
Marcas à la retraite, non à la poursuite de son aïeul, il a quelques biscuits pour pouvoir continuer ses recherches. La suite au prochain épisode.
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