La salle de réception disparut soudain. Plus de riches invités, plus de tables somptueuses, plus de musique en fond sonore. Au terme d’une étrange période de néant, longue d’une seconde ou d’une éternité, toute la soirée ne fut plus qu’un souvenir.
— C’est un beau jour pour tuer un dieu
Une interview de Eva Simonin à l'occasion de la sortie des enfants du chaos dans la collection Naos des Indés de l'imaginaire .