L'horreur des souffrances infligées a une femme, hélas parmi tant d'anonymes, dans un pays où cet acte de barbarie est encore de rigueur, au défi de tout respect de la personne humaine.
Ici, pire, la victime est forcée de continuer sa vie conjugale pour un temps avec son tortionnaire, avant qu'elle puisse s'échapper, essayer de se reconstruire physiquement et moralement.
Une leçon de courage et de ténacité, qui doit servir d'exemple et de leçon pour l'avenir d'autres femmes, pour que cette pratique soit sévèrement punie et définitivement éradiquée.
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L'impensable est le mot juste dans ce genre de récit. S'imaginer que cela est vraiment passé à un être humain. J'étais totalement subjuguée par la véracité des faits subi par cette femme. Je ne serai quel mot utiliser pour exprimer la violence de son existence. Aider pour l'écrire et utiliser des mots fort ont été les raisons qu'ils l'ont poussé à en faire un livre
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Les vierges, tout juste sorties de l’enfance, étaient les plus recherchées. Je n’ai jamais compris pourquoi les hommes ont cette manie : ça les excite peut-être qu’une petite créature hurle de douleur pendant qu’ils s’agitent dessus comme des brutes.
Une femme ne devrait jamais se donner complètement a un homme, ne jamais lui donner l’impression que tout est permis avec elle.
J’ai dit trop de mensonge et trop de mensonge ont circulé sur mon compte ; j’ai caché trop de choses et trop de choses m’ont été dissimulées ; j’ai été trahie par qui devait m’aider, mais secourue par qui me connaissaient à peine.
J'acceptais tout parce que je suis patiente et que je ne fuis pas mes responsabilités. Je supportais la vie au centre mais de temps en temps je pleurais.
Je ne sais pas ce qui m’a fait vivre, un sortilège d’après moi. D’autant que j’avais parfois envie de mourir.