Certes, ce schéma de la maladie ne s’expose pas, ne s’affiche pas sur les murs, mais hélas il est bien réaliste et l’entourage se protège en se réfugiant dans le déni. Disserter de cette maladie semble facile, mais lorsqu’on y est conforté et qu’elle atteint son point culminant, on tombe de haut. On peut pas la voir, mais il faut enlever ce voile et ouvrir les yeux : la pathologie est plus forte, n’a pas d’âme, est sans pitié, ne connaît pas de limite, n’est contagi... >Voir plus