Jenny est une brillante journaliste qui couvre l'actualité de la ville, la course au meilleur article est lancée contre Slaid, reporter d'un journal concurrent.
L'histoire est un peu longue à se mettre en place, beaucoup de détails sur la vie de Jenny, son quotidien professionnel mais aussi sa vie quotidienne, ses pensées diverses, ses états d'âmes, sa malchance en amour. En résumé, tout tourne autour de la vie de Jen et surtout de son boulot.
Rien de très extraordinaire mais les relations qu'elle entretient avec son entourage sont quand même attrayantes sans être passionnantes.
Une petite enquête journalistique au sein du monde véreux politicien et cinématographique met un peu de suspens à cette histoire quelque peu simple, où les menteurs en sont les rois.
Les seuls passages agréables furent pour moi les dialogues entre Jenny et Slaid. Piquants et drôles. Avec une fin que l'on imagine bien malgré les non dits.
Une chick lit qui fait passer un petit moment de détente.
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Bref, j'ai pas terminé de lire le livre. Trop nul !!!
Un titre qui promettait une histoire trépidante de coup fourrée, d'humour ... . Au final non.
Le second "prétendu" acteur principale , intervient plus rarement que tout autre personne dans l'histoire.
L'histoire est recentré sur une autre relation. Vraiment aucun intérêt.
Vraiment, j'ai perdu mon temps.
Tchip !!!
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Si "Ce que veulent les filles..." est mon préféré, celui là vient juste après. Avec son obsession à battre son ennemi n'est autre qu'une obsession personnel, l'héroïne n'en reste pas moi "hargneuse". Quand à lui son meilleur ennemi on le trouve adorable et "intéressant" dés le début.
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Le titre est prometteur, mais dès que l'histoire est en place, on se doute de comment tout cela va finir. J'ai trouvé que l'histoire manquait de rebondissement. Un peu déçu, même si cela reste un moment sympa.
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Quand nous nous sommes rencontrés, Chris m’a offert une bouteille de Chanel N° 5. Sympa, traditionnel, mais je ne l’ai jamais porté et ne le porterai jamais. Je sais que ce parfum est censé faire l’unanimité, mais je trouve qu’il sent le passé, le renfermé, comme une vieillerie moisie que vous trouvez sur un guéridon poussiéreux en nettoyant l’appartement de votre défunte grand-mère.
Pourquoi décrit-on toujours une célébrité par rapport à une autre, comme si toutes étaient créées à partir du même patrimoine génétique ? C’est comme la manie qu’ont les critiques littéraires de décrire les écrivains en se référant systématiquement à deux ou trois autres qu’ils placent dans la même catégorie. « C’est du Hemingway, du Faulkner, du Steinbeck… », disent-ils, comme si personne ne créait rien d’original et que chaque œuvre nouvelle n’était qu’une pâle copie de prodigieux originaux.
Je me soucie des choses uniquement quand c’est le moment de les faire. Il te suffit de décider que pour l’instant ce n’est pas le moment, que tu résoudras ce problème bien plus efficacement quand le moment sera venu.
Brigitte, Brigitte. Pourquoi le prénom d’une fille qui n’utilise que son prénom m’agace-t-il au-delà de l’imaginable? Elle n’utilise probablement que ce prénom parce que tout nom qu’on y accolerait paraîtrait ridicule.
Brigitte Smith ? Brigitte Conklin ? Brigitte Jones ? Brigitte Couche-toi-là ? C’est un nom idiot, qui sonne faux, prétentieux, qui crie sur les toits que vous êtes une aspirante Bardot.
Pas étonnant que, parmi les femmes qui font carrière, beaucoup se retrouvent sans mari ou même sans petit ami. Un job accaparant empiète sur les relations personnelles. Mais il y a en chacune de nous tant d’amour et de besoin de materner que nos carrières deviennent parfois nos enfants, exigeant une attention de tous les instants et réclamant qu’on leur mouche le nez.