Mon père est commerçant. [...] On lui demanda un jour : "N'êtes-vous pas fier de votre fils?!"
Il répondit :"Cela ne m'a pas vraiment vexé qu'il fût un propre à rien pendant trente ans. Alors je ne vais pas me sentir flatté aujourd'hui devant le poète ! Je lui ai donné sa liberté. Je savais que c'était un va-tout. J'ai misé sur son âme !"