AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Thor : Dieu du tonnerre tome 1 sur 1
EAN : 9782809467703
248 pages
Panini France (07/02/2018)
4.17/5   3 notes
Résumé :
Que Thor soit un jeune dieu impétueux, un membre respecté des Avengers ou le seigneur dAsgard dans un futur désolé, son pire adversaire reste le même : Gorr, le Massacreur de Dieux. Puissant et déterminé, lennemi du fils dOdin instille le doute dans le coeur du héros. Pour triompher, Thor va devoir se délivrer de ses hésitations et se montrer plus digne que jamais de brandir Mjolnir.
Que lire après Thor : Dieu du tonnerre, tome 1Voir plus
Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
Ce tome comprend les épisodes 1 à 11 de la série parue en 2013/2014, écrite par Jason Aaron.
-
Épisodes 1 à 5 : dessins et l'enrage d'Esad Ribic, mise en couleurs de Dean White pour l'épisode 1, d'Ive Svorcina pour les épisodes 2 à 5.

En 893, en Islande, Thor est en train de festoyer aux frais des vikings locaux, après avoir abattu un géant du froid qui terrorisait les villageois du coin. Une jeune fille fait irruption dans la Maison Longue pour annoncer qu'il y a un cadavre bizarre dans la mer, près du rivage. Thor se rend sur place, repêche le cadavre et découvre qu'i s'agit de celui d'un dieu. de nos jours, sur une planète éloignée nommée Indigar, une jeune fille prie Thor le dieu du tonnerre pour qu'il vienne déclencher la pluie sur leur planète desséchée. Thor répond à son appel et exauce son voeu, après quoi il interroge les autochtones pour découvrir pourquoi ils ne disposent pas de leurs propres dieux. Plusieurs millénaires dans le futur, Thor est le dernier dieu vivant d'Asgard, assis sur le trône qui fut autrefois celui de son père. Il se lève et se lance à corps perdu dans une dernière bataille contre une horde de monstres au corps noir comme de l'ébène.

À chaque fois qu'Aaron prend en main une série de superhéros (Ghost Rider,Weapon X,The incredible Hulk ou encore Wolverine & the X-Men), il a à coeur de présenter un point de vue différent. Ici le principe de base est donc de suivre Thor dans 3 époques, se battant contre un même adversaire. Dans ces épisodes, Aaron a pris le parti de limiter l'interaction avec les êtres humains normaux à la partie se déroulant en 893, et une courte scène avec un autre Avenger (aucune apparition ou mention de Donald Blake). le récit est donc concentré sur les différentes versions du personnage de Thor, d'autant plus que le lecteur a accès à ses pensées par le biais de cellules de texte. Ce flux de pensées est un peu décevant dans la mesure où il sert plus à exposer des éléments de l'intrigue qu'à faire ressortir la personnalité de Thor.

D'épisode en épisode, le lecteur a le plaisir de découvrir qu'Aaron a plusieurs idées intéressantes, à commencer par le fait que Thor a conscience d'appartenir à un panthéon de dieux, parmi tant d'autres. Même s'il apparaît comme un combattant émérite, Thor fait preuve d'un peu de jugeote jusqu'à aller chercher des renseignements dans une bibliothèque peu banale. Aaaron intègre évidemment une forme de voyage dans le temps dont il n'est pas possible de dire si elle appartient à la famille de ceux qui donnent mal à la tête en générant des paradoxes ingérables, ou pas. Mais à l'issue des 5 épisodes, le lecteur en ressort quand même avec l'impression qu'il ne s'est pas passé grand-chose. Il est vrai que le choix d'éditeur de Marvel de favoriser des découpages en 5 épisodes de 20 pages est imposé au scénariste (afin de conserver l'attention des lecteurs mensuels, de publier des recueils plus régulièrement, donc d'augmenter le chiffre d'affaires). Mais il est tout aussi vrai qu'Aaron donne l'impression d'étirer les histoires de chacune des 3 époques pour tenir les 5 épisodes (en particulier celle se déroulant en 893). Finalement, le lecteur a assisté aux mêmes actions de l'ennemi dans les 3 époques, sans apprendre grand-chose sur ses motivations. Il choisit aussi un mode narratif pas toujours habile, en particulier pour l'épisode 2 constitué d'un long combat aérien entre Gorr et Thor, pendant lequel le lecteur suit les pensées de Thor, déconnectées de l'action en cours.

Pour que ce genre de dispositif fonctionne, il faut que le dessinateur soit capable de mettre en scène un combat inventif, logique, chorégraphié. Première déconvenue : pour cet épisode, Esad Ribic ne dessine aucun arrière plan, laissant à Ive Svorcina le soin de les remplir avec des évocations peu intéressantes de nuages. Deuxième déconvenue : pendant 6 pages Thor fait des grands moulinets inutiles avec son épée, et Gorr brasse de l'air avec ses bras, pour un spectacle présentant un niveau d'intérêt très faible. Pourtant le lecteur pouvait espérer de grandes choses de la part de Ribic qui a déjà illustré les aventures de Thor dans Blood brothers de Rob Rodi pour un résultat majestueux. Or ici les dessins sont sympathiques, quelques cases sont magnifiques, mais on ne retrouve pas l'incroyable majesté de "Blood brothers" (même pour l'épisode mis en couleurs par Dean White).

Le tome se termine avec la collection de couvertures variantes de Joe Quesada, Daniel Acuña, Skottie Young, Olivier Coipel et R.M. Guéra, et quelques pages de conception graphique des personnages.

Ce premier tome de Thor fait honneur à la volonté de Jason Aaron de proposer une approche personnelle du personnage, mais laisse sur sa fin du fait de sa brièveté et de son relatif manque de substance tant au niveau du scénario que des dessins. Il reste à voir si le tome suivant Godbomb sera mieux dosé.
dessins et l'enrage d'Esad Ribic et la mise en couleurs de Dean White pour l'épisode 1, d'Ive Svorcina pour les épisodes 2 à 5.

En 893, en Islande, Thor est en train de festoyer aux frais des vikings locaux, après avoir abattu un géant du froid qui terrorisait les villageois du coin. Une jeune fille fait irruption dans la Maison Longue pour annoncer qu'il y a un cadavre bizarre dans la mer, près du rivage. Thor se rend sur place, repêche le cadavre et découvre qu'i s'agit de celui d'un dieu. de nos jours, sur une planète éloignée nommée Indigar, une jeune fille prie Thor le dieu du tonnerre pour qu'il vienne déclencher la pluie sur leur planète desséchée. Thor répond à son appel et exauce son voeu, après quoi il interroge les autochtones pour découvrir pourquoi ils ne disposent pas de leurs propres dieux. Plusieurs millénaires dans le futur, Thor est le dernier dieu vivant d'Asgard, assis sur le trône qui fut autrefois celui de son père. Il se lève et se lance à corps perdu dans une dernière bataille contre une horde de monstres au corps noir comme de l'ébène.

À chaque fois qu'Aaron prend en main une série de superhéros (Ghost Rider,Weapon X,The incredible Hulk ou encore Wolverine & the X-Men), il a à coeur de présenter un point de vue différent. Ici le principe de base est donc de suivre Thor dans 3 époques, se battant contre un même adversaire. Dans ces épisodes, Aaron a pris le parti de limiter l'interaction avec les êtres humains normaux à la partie se déroulant en 893, et une courte scène avec un autre Avenger (aucune apparition ou mention de Donald Blake). le récit est donc concentré sur les différentes versions du personnage de Thor, d'autant plus que le lecteur a accès à ses pensées par le biais de cellules de texte. Ce flux de pensées est un peu décevant dans la mesure où il sert plus à exposer des éléments de l'intrigue qu'à faire ressortir la personnalité de Thor.

D'épisode en épisode, le lecteur a le plaisir de découvrir qu'Aaron a plusieurs idées intéressantes, à commencer par le fait que Thor a conscience d'appartenir à un panthéon de dieux, parmi tant d'autres. Même s'il apparaît comme un combattant émérite, Thor fait preuve d'un peu de jugeote jusqu'à aller chercher des renseignements dans une bibliothèque peu banale. Aaaron intègre évidemment une forme de voyage dans le temps dont il n'est pas possible de dire si elle appartient à la famille de ceux qui donnent mal à la tête en générant des paradoxes ingérables, ou pas. Mais à l'issue des 5 épisodes, le lecteur en ressort quand même avec l'impression qu'il ne s'est pas passé grand-chose. Il est vrai que le choix d'éditeur de Marvel de favoriser des découpages en 5 épisodes de 20 pages est imposé au scénariste (afin de conserver l'attention des lecteurs mensuels, de publier des recueils plus régulièrement, donc d'augmenter le chiffre d'affaires). Mais il est tout aussi vrai qu'Aaron donne l'impression d'étirer les histoires de chacune des 3 époques pour tenir les 5 épisodes (en particulier celle se déroulant en 893). Finalement, le lecteur a assisté aux mêmes actions de l'ennemi dans les 3 époques, sans apprendre grand-chose sur ses motivations. Il choisit aussi un mode narratif pas toujours habile, en particulier pour l'épisode 2 constitué d'un long combat aérien entre Gorr et Thor, pendant lequel le lecteur suit les pensées de Thor, déconnectées de l'action en cours.

Pour que ce genre de dispositif fonctionne, il faut que le dessinateur soit capable de mettre en scène un combat inventif, logique, chorégraphié. Première déconvenue : pour cet épisode, Esad Ribic ne dessine aucun arrière plan, laissant à Ive Svorcina le soin de les remplir avec des évocations peu intéressantes de nuages. Deuxième déconvenue : pendant 6 pages Thor fait des grands moulinets inutiles avec son épée, et Gorr brasse de l'air avec ses bras, pour un spectacle présentant un niveau d'intérêt très faible. Pourtant le lecteur pouvait espérer de grandes choses de la part de Ribic qui a déjà illustré les aventures de Thor dans Blood brothers de Rob Rodi pour un résultat majestueux. Or ici les dessins sont sympathiques, quelques cases sont magnifiques, mais on ne retrouve pas l'incroyable majesté de "Blood brothers" (même pour l'épisode mis en couleurs par Dean White).

Le tome se termine avec la collection de couvertures variantes de Joe Quesada, Daniel Acuña, Skottie Young, Olivier Coipel et R.M. Guéra, et quelques pages de conception graphique des personnages.

Cette première partie fait honneur à la volonté de Jason Aaron de proposer une approche personnelle du personnage, mais laisse sur sa fin du fait de sa brièveté et de son relatif manque de substance tant au niveau du scénario que des dessins.
-
Épisode 6 - Il y a 3.000 ans sur une planète sans nom, Gorr se déplace avec sa mère dans une zone désertique rocheuse. Elle lui enjoint de prier régulièrement les dieux pour qu'ils lui accordent leurs biens faits, tels qu'un peu de nourriture, un abri le protégeant des bêtes sauvages. Mais elle meurt assaillie par lesdites bêtes, sous les yeux de son fils. Plus tard, Gorr est devenu un adulte, et même un père, toujours sur cette planète si inhospitalière. Il perd sa femme et son enfant dans un éboulement. Il n'en peut plus de rendre grâce à ces dieux qui lui offrent un quotidien si cruel.

Il était effectivement nécessaire que Jason Aaron donne un peu d'épaisseur à Gorr, l'opposant de Thor apparu pour la première fois dans le tome précédent. le lecteur sait déjà que cet antagoniste hait les dieux et a juré de tous les détruire, il ne reste plus qu'à découvrir la raison d'une telle haine. le scénariste utilise une trame simple : un individu sur une planète désolée, accablé par les coups du sort, qui en vient à blâmer les dieux quel que soit le panthéon considéré. Il finit par trouver une source de pouvoir qui lui permet d'assouvir sa vengeance dans les grandes largeurs. C'est très basique, et plutôt dépourvu de surprise ou de nuances.

Pour cet épisode, Esad Ribic laisse la place à une autre équipe artistique afin de disposer du temps nécessaire pour dessiner les épisodes suivants en respectant la cadence de parution mensuelle. Jackson Guice respecte à la lettre les indications du scénariste, sans grande inspiration. En fonction des exigences de la scène, le désert est vaguement sablonneux, ou plus rocailleux. Les personnages sont tous vêtus du même pagne. Les expressions de désespoir et de rage sont dramatisées jusqu'à l'exagération, et encore appuyées par l'encrage très professionnel de Tom Palmer. le lecteur éprouve la sensation de repasser sans cesse par le même endroit, sans se faire une idée du relief ou de la géographie de la planète, et en se demandant comment les femmes peuvent enfanter dans de telles conditions, et comment le fruit de leurs entrailles peut survivre et dépasser le stade de nourrisson en subissant une telle pénurie de nourriture.

Les origines de Gorr s'avèrent très convenues, et sans grand intérêt. 2 étoiles.

-
- Épisodes 7 à 11 - En Islande en 893, le jeune Thor se réveille en pleine nuit, avec une jolie guerrière à ses côtés. Il a l'intuition que Gorr n'est pas mort. Des millénaires dans le futur, le Thor du présent a rejoint le Thor du futur en Asgard. le plus âgé constate que la disparition de la barrière d'entités noires qui l'empêchait de quitter les ruines de son royaume. Il conseille au plus jeune de se préparer pour le voyage et la bataille à venir en lui indiquant une salle où trouver de quoi se réconforter, pendant que lui-même va préparer la nef et chercher ses armes. Dans le passé, Gorr vient récupérer le jeune Thor pour le réduire en esclavage. Dans le présent, Shadrak (le dieu des bombes) se fait attraper par le Seigneur Libraire, dans la Cité de l'Omnipotence, le nexus de tous les dieux.

Le titre de ce tome indique clairement l'enjeu : dans le futur, Gorr est sur le point d'achever la construction de sa bombe fabriquée pour détruire tous les dieux. le lecteur n'a pas beaucoup de doute quant au déroulement de l'intrigue. Chacun des 3 Thor va assaillir Gorr à plusieurs reprises, subir des revers, jusqu'à temps que l'un d'entre eux parvienne à accomplir une percée décisive grâce à son obstination et sa force. Effectivement, le récit s'avère conforme à ce schéma. le scénariste réserve quand même 2 surprises au lecteur. La première concerne la portée de la bombe, avec la pointe d'humour sur l'existence d'un dieu des bombes. La seconde réside dans l'identité de 3 dieux parmi tous ceux réduits en esclavage par Gorr sur sa planète : Atli, Ellisiv et Frigg Wodendottir. Pour le reste, Aaron gère une distribution de personnages se concentrant sur Gorr et les 3 Thor. le lecteur éprouve la même sensation qu'à la lecture du premier tome, peut-être encore un peu accrue : une décompression destinée à donner de la place au dessinateur.

Esad Ribic est l'artiste qui a dessiné les premiers épisodes de cette série de Thor (débutée en 2012) et donc celui qui a défini son identité visuelle. Ses dessins conservent les mêmes caractéristiques : des formes délimitées par des traits très fins, donnant une apparence éthérée. À plusieurs reprises, le lecteur remarque qu'il utilise des vues en contreplongée pour donner plus de majesté à chacun des Thor, en s'inspirant de l'aura que leur conférait Olivier Coipel dans une itération précédente de la série. le choix d'un détourage léger induit une forme légèreté à ce qui est représenté. de temps à autre, l'artiste représente plus d'éléments dans une case, par exemple pour la nef permettant de voyager d'Asgard à la planète de Gorr, pour les bâtiments d'Asgard dans l'épilogue, ou parfois pour les tenues de Thor. Dans ces cas-là, la légèreté des traits n'induit pas d'impression de fragilité de ce qui est représenté, ou de faiblesse.

Toutefois, le plus souvent, les personnages évoluent dans des environnements vides d'arrière-plans, comme s'ils flottaient ou se déplaçaient sur une scène vide de décors. Ce choix de narration visuelle accentue encore l'impression d'artificialité, avec des personnages évoluant sur une scène de théâtre vide. Pour contrebalancer cette sensation, le metteur en couleur effectue un travail impressionnant, largement au-dessus du simple coloriage. Il utilise le jeu des nuances d'une même teinte pour donner l'impression de sculpter les surfaces avec la couleur, se rapprochant d'un travail de peinture directe. En particulier il travaille le rendu de la peau pour représenter les muscles de Thor, faire ressortir les veines. En cela, il complète les traits encrés, ajoutant des informations visuelles qui relèvent d'habitude du dessin dans les comics. Les variations de teinte apportent également des informations sur le placement de la source d'éclairage, sur l'intensité lumineuse, et sur la manière dont chaque surface capte la lumière. Sous réserve de faire l'effort d'adaptation de lecture nécessaire, le lecteur peut alors retrouver une partie des informations d'habitude représentées par des traits encrés, dans les couleurs.

De la même manière Ive Svorcina utilise la mise en couleurs pour donner des indications sur la texture du sol, pour représenter les veines du bois, pour habiller les fonds de case avec des camaïeux sophistiqués déclinant les teintes d'une même couleur. le lecteur accepte facilement que les combats se déroulant dans l'espace aient pour décor une nuit étoilée, sans beaucoup d'informations visuelles. Par contre il se lasse rapidement des zones désertiques, avec un trait pour indiquer le niveau du sol, de vagues contours pour indiquer la présence d'un rocher (pourtant bien habillé par les couleurs de Scorcina) et de vagues nuages de poussière mangeant une partie du décor. Il s'en désintéresse d'autant plus qu'Esad Ribic ne semble pas non plus très impliqué dans la mise en scène des affrontements. Il ne cherche pas à réaliser un plan de prises de vue qui permette au lecteur de suivre le détail des déplacements et les conséquences des coups portés. Il fait des efforts pour montrer les personnages dans des postures impressionnantes. Mais en ce qui concerne Gorr, ces postures lui donnent un air d'acteur un peu imbu de sa personne, desservant sa crédibilité. La dramaturgie de l'artiste ressort comme trop éthérée, trop diaphane pour être vraiment capable de transcrire la brutalité des coups, la force des énergies destructrices.

Du fait de la forme de décompression narrative du récit, le lecteur ne s'y ennuie pas vraiment car les pages se tournent rapidement, et l'intrigue se suit aisément. Il a du mal à s'impliquer dans ce long combat linéaire du fait de son manque de densité visuelle. Par contre, s'il a une vague idée de ce qui se passe par la suite, il se rend bien compte que ce chapitre est indispensable pour comprendre la portée de ce qui arrive au Thor du présent par la suite. En particulier, il peut déceler les prémisses de ce qui va ébranler Thor dans Original Sin et dont le secret sera révélé dans The unworthy Thor, 2 récits écrits par Jason Aaron. 2 étoiles pour un lecteur de passage, sans motivation pour découvrir la suite des épisodes écrits par
Commenter  J’apprécie          30


Lire un extrait
Videos de Jason Aaron (16) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Jason Aaron
1,2,3 BD ! Chez les libraires ! vous présente les BD coups de coeurs de Dominique et la librairie Excalibulle à Brest. Once Upon A Time At the End of the World scénariste : Jason Aaron dessinateurs : Tefenkgi, Nick Dragotta traducteur : Julien di Giacomo chez Urban Comics Petit pays de Marzena Sowa et Sylvain Savoia chez Dupuis dans la collection Aire Libre Mardival par Yann Cozic chez Glénat En bonus Pilote - la naissance d'un journal Christian Kastelnik, Patrick Gaumer, Clément Lemoine et Michel Lebailly édition La Déviation
1,2,3 BD c'est le jeudi à 18h30 sur la chaine Youtube et les RS. Trait pour Trait parcourt toujours les librairies de France pour des conseils de lecture avec le soutien des librairies Mine de Rien, Alfa BD, Sanzot, Krazy Kat/ Manga Kat, la planète dessin, Alès BD, le Bidibul, L'octobulle, Comic(s)Trip et Popup&co! #GALERIE #BD #POPCULTURE #BANDEDESSINEE #COMICBOOKS #9EMEART Retrouvez 1,2,3 BD ! Chez les libraires! sur : https://www.youtube.com/TraitpourtraitBD https://www.facebook.com/TraitpourTraitBD https://www.instagram.com/traitpourtraitbd/ https://twitter.com/TPTBD
+ Lire la suite
autres livres classés : thorVoir plus


Lecteurs (5) Voir plus



Quiz Voir plus

Les personnages de Tintin

Je suis un physicien tête-en-l'air et un peu dur d'oreille. J'apparais pour la première fois dans "Le Trésor de Rackham le Rouge". Mon personnage est inspiré d'Auguste Piccard (un physicien suisse concepteur du bathyscaphe) à qui je ressemble physiquement, mais j'ai fait mieux que mon modèle : je suis à l'origine d'un ambitieux programme d'exploration lunaire.

Tintin
Milou
Le Capitaine Haddock
Le Professeur Tournesol
Dupond et Dupont
Le Général Alcazar
L'émir Ben Kalish Ezab
La Castafiore
Oliveira da Figueira
Séraphin Lampion
Le docteur Müller
Nestor
Rastapopoulos
Le colonel Sponsz
Tchang

15 questions
5239 lecteurs ont répondu
Thèmes : bd franco-belge , bande dessinée , bd jeunesse , bd belge , bande dessinée aventure , aventure jeunesse , tintinophile , ligne claire , personnages , Personnages fictifsCréer un quiz sur ce livre

{* *}