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J'ai pu lire grâce à l'opération Masse Critique et les éditions Hervé Chopin que je remercie, ce roman qui est plus exactement une biographie romancée. C'est vrai que les premiers chapitres m'ont fait penser aux romans mettant en scène la vie sage et convenue des femmes du début du siècle. Mais l'histoire retrace en réalité de la vie de Frieda von Richthofen, mariée à un universitaire très austère et mère de trois enfants, dont la vie ronronnante à Nottingham est perturbée par une visite de sa soeur qui l'incite à retisser du lien avec ses racines allemandes. Au cours d'un court séjour, elle découvre la vie grisante et trépidante de Munich, ses courants culturels révolutionnaires et surtout une libération des moeurs qui la chamboule et changera sa vie à jamais. Quand on sait que l'action se passe entre 1907 et 1912, il est étonnant de découvrir à quel point les femmes secouaient déjà le joug de la condition des femmes même si le prix à payer est parfois très lourd. Entre hardiesse et scandale, Frieda ne désire plus revenir en arrière et passera d'épouse et mère alourdie par l'ennui, à maîtresse passionnée et sensuelle et sera la muse du très célèbre écrivain D.H. Lawrence. Sera-t-elle pour autant une femme libre. A chacun d'en juger.
Je me suis pour ma part un peu ennuyée dans cette histoire de chassés croisés amoureux, de naufrage conjugal et d'éveil sensuel. Mais au moins s'agit-il d'un portrait de femme qui ne laisse pas indifférent.
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On suit Frieda, fille d'un baron allemand, marié à un anglais, maman de 3 enfants qui, au détour, d'un voyage chez sa soeur en Allemagne, se rend compte qu'elle s'ennuie dans sa vie, dans son couple et qui décide de vivre libre.
Ce roman m'a totalement sorti de ma zone de confort de part la période à laquelle il se déroule et je l'ai beaucoup aimé. Frieda est une femme en avance pour son époque et qui va se battre pour vivre sa vie comme elle l'entend et non comme la société voudrait qu'elle la vive, tout en se battant pour voir ses enfants.
Annabelle Abbs a une plume fluide, qui happe. Elle aborde le féminisme, la sexualité, la liberté sexuelle avec beaucoup d'aisance
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Très beau roman que ce Frieda...il s'agirait de l'histoire de la femme ayant inspiré le fameux Lady Chatterley. En tout cas c'est une belle lecture qui nous conte les combats d'une héroïne voulant tout simplement être libre. J'ai aimé l'écriture de l'auteur, simple et efficace, et l'histoire. Cela fait réfléchir sur la condition féminine...Je vous conseille cette lecture.
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Dans les années 1900, Frieda, fille de baron allemand, s'est mariée en dessous de sa classe avec un petit intellectuel anglais. Elle part en Angleterre vivre avec lui et très vite la vie lui devient ennuyeuse, son mari montre peu de passion et échange peu avec elle, elle a du mal à se faire des amies, seuls ses 3 enfants lui permettent de trouver la joie.
Un séjour chez une de ses soeurs à Munich va tout changer, elle rencontre Otto Gross, un disciple de Freud, qui lui apprend à ne pas refouler ses désirs et à être la femme du futur en s'écoutant elle et non ce que la société lui impose. A son retour en Angleterre, il est très difficile pour elle de retrouver la pauvreté de sa vie...
Elle tombe alors dans les bras d'un jeune amant, DH Lawrence, un jeune écrivain et ancien élève de son mari, et va alors, sans réellement le choisir, tout quitter pour lui. Commence alors pour elle un exil pour l'Europe, déchirée entre son amant et la séparation avec ses enfants....
J'ai beaucoup aimé ce roman qui m'a permis de découvrir le personnage fort de Frieda, qui fit des choix difficiles sans jamais pour autant renier son passé. Son désir d'être une femme libre ne veut pas dire pour autant oublier sa maternité...Vraiment une belle découverte !
Merci à Babelio et Pocket pour cette belle lecture !!
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Frieda von Richthofen est une personne et une personnage intéressants. C'est une femme qui se découvre et s'affirme, aliénée par la société bien-pensante mais surtout hypocrite. Les femmes ne sont d'ailleurs pas en reste, puisqu'elles en ont intégré les contraintes : prends un amant mais reste mariée, fais attention à ta réputation…

Je n'ai pas adhéré plus que cela au style. J'ai apprécié le fait que l'on traverse divers points de vue qui nous permettent de découvrir la fragilité de certains personnages, voire leur médiocrité. Cependant, je me suis vite lassée. Je pense que j'aurais préféré lire une biographie, car je suis restée sur ma faim lorsque j'ai parcouru les repères historiques au terme de l'oeuvre.

L'ensemble reste évidemment intéressant puisqu'il esquisse le tableau d'une société dans laquelle les femmes sont davantage « possession » que « propriétaire » de leur propre être ; on aborde notamment la dichotomie entre la mère et la putain (si vous me pardonnez le terme vulgaire) ; d'ailleurs, Frieda se trouve privée de ses enfants, ayant abandonné son statut de femme respectable.

C'est donc plutôt pour le thème que je pourrais conseiller cet ouvrage ; il ne m'aura cependant pas marquée.
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Le résumé de cette biographie romancée m'a tout de suite intéressée, j'ai commencé ma lecture avec avidité et puis le souffle est retombé, doucement mais sûrement....

Les personnages ne sont pas attachants, même Frieda qui est parfois inspirante est carrément agaçante par bien des côté de sa personnalité, je pensais trouvé du modernisme en elle mais pas suffisamment à mon goût, j'ai eu comme une impression de fausseté dans le propos, cette vie avec D. H. Lawrence n'est pas vraiment de son fait, c'est lui qui a écrit au mari de Frieda et qui a provoqué le chamboulement, souvent l'héroïne a hésité à retourner chez elle.... J'ai même trouvé que cette relation passionnelle était franchement toxique. Je n'ai pas adhéré entièrement à l'histoire de "Lady Chatterley", un peu revisitée par Annabel Abbs. Je pense qu'elle a perdu toute sympathie au tiers du récit....

Son rapport à ses enfants est assez troublant, mère classique et fusionnelle à l'occasion qui va finalement privilégier sa vie de femme (ce qui peut se comprendre si on ne passe pas son temps à s'en plaindre par la suite), qui entre en pleine réflexion freudienne sur l'Oedipe... et qui critique le rapport de D. H. Lawrence avec sa propre mère, c'est assez ambivalent.

Je ne peux pas nier la modernité des envies de Frieda qui ne veut pas se plier aux convenances, qui veut vire sa propre vie dans cette époque de l'avant première Guerre Mondiale entre l'Angleterre conservatrice et l' Allemagne Avant-gardiste. La notion d'épanouissement personnelle est vraiment inédite à cette époque mais le traitement dessert un peu le propos à mon sens. Grande inspiratrice des écrits d'un écrivain brillant, Frieda n'a cependant pas eu ce qu'elle désirait, enfin à mes yeux, prisonnière de sa vie de femme mariée, elle se retrouve en quelque sorte prisonnière dans son rôle de muse.

Il eut été important de laisser la chronologie des aventures de Frieda dans le récit, loin de desservir son personnage aux moeurs plutôt légères, cela aurait permis de voir que sa liberté était vraiment ce qui comptait.

Ce roman se lit, pas toujours facilement mais il est vraiment plaisant de voir la société telle qu'elle était à l'époque à travers diverses cultures. Si vous apprécier l'histoire, plongez-vous dans ce récit biographique qui vous dessinera un portrait intéressant de la société.
Lien : http://taste-for-troubles.ov..
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Livre reçu par l'éditeur Hervé Chopin dans le cadre de Babélio.
En 1912, une jeune baronne allemande fille de l'aristocrate allemand Baron von Richthofen vivant à Nottingham et marié à 20ans au philologue britanique Ernest Weekley commet l'irréparable : elle quitte son confortable foyer et ses trois adorables enfants pour vivre en toute liberté son grand amour D.H. Lawrence.

La décision de Frieda von Richthofen va donner naissance à l'un des plus grands scandales de son temps. Et inspirera le très sulfureux roman L'Amant de lady Chatterley.

Inspiré d'une histoire vraie, Frieda raconte le destin d'une muse. Il explore les sentiments et les émotions complexes qui traversent une femme qui se bat pour être à la fois libre et mère. Qu'est-ce qui peut pousser une femme à quitter ses enfants ? Quel amour peut être plus fort que celui d'une mère ? Des questions qui résonnent encore aujourd'hui.

Pour aller plus loin dans la découverte de la vie de Frieda, je vous invite sur Wikipedia

Je ne suis pas restée insensible à cette biographie romancée. J'ai aimé l'audace de cette femme, qui n'hésite pas à quitter son confort pour vivre sa passion amoureuse. Allant même jusqu'à l'extrême. Être séparée de ses enfants et accepter certaines fois la violence de son amant pour la création de son oeuvre. C'est sur ce dernier point où je me suis interrogée. A-t-elle vraiment trouvé la liberté ? Ou accepte-t-elle un autre enfermement ? Bien sûr, ses deux vies ne sont pas comparables. La première est paisible à mourir et l'autre est exaltante comme l'est la passion, l'amour fou. Cependant, Frieda a vécu en toute liberté sa sexualité. N'est-ce pas cela l'essentiel de cette belle histoire ?

Moi qui suis une inconditionnelle de Frida Khalo, je dois dire qu'elle m'a fait penser bien souvent à cette dernière.

L'écriture est admirable, la description des personnages est subtile et très bien amenée. Annabel Abbs, l'auteure s'est imposée comme la nouvelle auteure anglaise de romans biographiques à succès. Son premier titre, The Joyce Girl, a été publié dans huit pays et a reçu le Impress Prize pour les nouveaux auteurs en 2015. Frieda est son deuxième roman.
Lien : https://educpop.fr/2021/06/1..
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Frieda von Richthofen est née baronne. Bien qu'en dessous de sa condition sociale elle se marie avec l'homme qu'elle croit être celui de sa vie. Trois enfants et une maison à Nottingham plus tard, Frieda Weekley s'ennuie. Elle ne trouve pas la flamme dans le regard de son mari, plus préoccupé par l'étymologie que par la passion. Lors d'une visite en Allemagne chez sa soeur, Frieda va découvrir la liberté et n'aura de cesse de lui courir après. Au risque de tout perdre, au risque de se perdre elle même.

Ce livre est une bibliographie romancée de celle qui deviendra célèbre sous la plus de D. Lawrence : Lady Chatterley.
Je ne suis pas une habituée du genre et je suis sortie de ma zone de confort littéraire avec cet ouvrage ! le bibliographique est au rendez-vous et la romance aussi. J'ai découvert avec plaisir les aventures de Frieda, appris de nombreuses choses aussi, notamment grâce aux repères chronologiques de la fin. Si le point de vue est le plus souvent celui de l'héroïne, le regard d'autres personnages, notamment celui des enfants, est très agréable. Quelques coupes auraient néanmoins pu être faites évitant ainsi quelques passages longuets.
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Frieda c'est une personne qui a réellement existé : née von Richthofen en Allemagne, elle s'est ensuite appelée Weekley et a vécu en Angleterre, puis elle devint Mrs Lawrence et suivit son nouvel époux dans ses pérégrinations européennes avant de mourir Ravagni, remariée une troisième fois, en Italie.
*
Mais Annabel Abbs, choisit d'intituler sa biographie romancée « Frieda » tout court pour s'intéresser à sa personnalité intrinsèque et pas à son personnage social. Et pourtant, le moteur de cette vie et l'intérêt du livre c'est la lutte de l'héroïne contre la société, le patriarcat et ses maris pour devenir ou rester elle-même.
*
L'autrice reprend dans ce livre des fragments de la correspondance réelle de Frieda, ses soeurs, son mari et ses amants pour le côté « biographie » et invente des dialogues qui sonnent juste et rendent le récit vivant et « romancé ». Nulle monotonie et pas de longs développements indigents non plus : à travers une narration polyphonique on l'on entend tour à tour au gré de courts chapitres Frieda, son premier mari Ernest et deux de ses trois enfants Monty et Barby (majoritairement son fils), la trajectoire de cette dernière est retracée.
On perçoit d'abord comment troisième fille d'un baron ruiné par ses dettes de jeu, elle a été élevée comme un garçon manqué par un père qui souhaitait avant tout avoir un héritier mâle, puis comment elle a cru faire un mariage d'amour malgré une mésalliance en épousant un professeur britannique fils de pasteur et pudibond qui l'idéalisait et lui refusait finalement toute dimension charnelle, glorifiant son côté madone et la surnommant « perce-neige ». Et enfin comment DH Lawrence la vampirisa pour en faire à la fois sa chose et sa muse, sa femme et sa mère tandis que son dernier mari - de douze ans plus jeune qu'elle - l'utilisa sans vergogne pour la sécurité financière qu'elle lui apportait… Au cours de son enfance et de ses deux premiers mariages, elle ne fut donc pas aimée pour elle-même mais pour l'image qu'on avait d'elle et pour le rôle auquel on voulait la cantonner ; le troisième mariage apparaissant encore plus terre à terre !
*
Le fil rouge de l'oeuvre c'est donc la lutte de Frieda contre cet emprisonnement. Elle trouvera l'une des clés de son émancipation à Munich en 1907, Abbs nous dépeint une société en pleine ébullition intellectuelle et révolution sexuelle. La sensualité intrinsèque de Frieda s'y épanouira grâce à son mentor Otto Gross et elle changera à jamais renâclant à retrouver les carcans d'une société anglaise étouffante, elle aussi fort bien décrite, où règnent les apparences, les convenances et la peur du qu'en dira-t-on. Son « épiphanie » donne d'ailleurs lieu à de très belles pages sur l'éveil des sens dans la nature et en particulier dans la forêt de Sherwood …
*
L'autrice accentue cette (r)évolution en transformant certains événements biographiques comme elle s'en explique dans la postface. Elle tord aussi le cou à l'idée reçue que Frieda aurait abandonné ses enfants pour s'enfuir avec son amant. Elle la dépeint avant tout comme une mère aimante mais broyée par les lois de l'époque et victime d'une machination de son amant qui envoya une lettre d'aveu à son mari à son insu ce qui provoqua l'ire du cocu, la déchéance de ses droits maternels et le déchirement de l'héroïne qui se voulait femme et mère avant d'être femme de …
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Ainsi, on n'a pas seulement une biographie linéaire et documentée (même si cet aspect est présent comme en atteste la longue bibliographie en fin de volume et les notices biographiques des différents protagonistes) mais une véritable réflexion sur la place de la femme en cette Belle époque qui ne l'est pas tant que cela. Ceci sans manichéisme puisqu'on entend aussi d'autres points de vue et que le désespoir du mari bafoué (victime lui aussi de cette société corsetée finalement) est déchirant comme le manque qu'éprouvent les enfants. L'oeuvre est enfin passionnante par la biographie en creux qu'elle nous donne du romancier TH Lawrence - même s'il ne s'en sort nullement avec les honneurs - et l'éclairage nouveau qu'elle nous donne sur ses oeuvres …
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Malgré ses 500 pages, ce roman se lit d'une traite. Il faut aussi saluer le travail de la traductrice, Anne-Caroline Grillot qui retranscrit bien la fluidité de l'écriture et les synesthésies sensuelles. Un grand merci à Babelio et à Pocket pour m'avoir fait découvrir ce beau livre qui me donne désormais envie de lire les oeuvres de Lawrence inspirées par Frieda.

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La biographie romancée, quand c'est bien fait, c'est un vrai plaisir. Et j'ai beaucoup aimé ces heures passées en compagnie de Frieda, née von Richthofen, morte Ravagali et qui aura aussi porté les noms de Weekley et de Lawrence. D.H. Lawrence, oui. L'écrivain et poète anglais dont elle fut la muse et bien plus que ça. Une sacrée femme, cette Frieda dont Annabel Abbs livre un portrait charnel, sensuel et libre. S'inspirant bien entendu de faits réels, la forme romancée lui offre l'opportunité de laisser parler son instinct, la façon dont elle perçoit Frieda d'après ce qu'elle a pu lire et recueillir sur cette femme qui a déjà tous les attributs d'une héroïne de roman, et bien sûr son admiration que l'on sent affleurer à chaque étape de la narration. S'engouffrer dans les pas de Frieda, c'est sentir souffler très fort le vent de la liberté...

Frieda est donc née von Richthofen, troisième fille d'un baron un peu trop joueur, sorte de vilain petit canard et garçon manqué sur les bords. Lorsque Ernest Weekley, professeur à Nottingham lui demande de l'épouser, sa vision romantique d'une éventuelle complicité intellectuelle et son envie "d'autre chose" brouillent certainement son jugement, tout comme ce fut le cas pour la Dorothea de Middlemarch vis à vis de M. Casaubon. Bref, la voici bientôt mère de trois jeunes enfants, installée dans une vie austère, toutes flammes éteintes. Sa soeur aînée l'ayant convaincue de venir lui rendre visite à Munich, Frieda va découvrir des façons de vivre totalement différentes auprès de chantres de la liberté de moeurs qu'elle ne tardera plus à expérimenter elle-même. Ce séjour sera fondateur pour cette femme qui n'aura de cesse de creuser ce sillon pour conquérir plus avant cette liberté qui passe par le plaisir intellectuel autant que charnel. Nous sommes en 1907 et l'on imagine bien ce que cela implique pour une femme, particulièrement dans la pudibonde Angleterre, bien éloignée de l'avant-gardisme munichois. Lorsqu'elle rencontre D.H. Lawrence en 1912, il est un étudiant de son mari. Leur liaison, puis leur fuite feront scandale, couteront très cher à Frieda mais les années qu'ils passeront ensemble influenceront toute l'oeuvre de Lawrence, pas seulement L'amant de Lady Chatterley.

Et c'est ce que l'auteure met formidablement en scène, composant des tableaux de toute beauté, imprégnés d'une relation charnelle à la nature. Où l'on apprend d'ailleurs que la forêt de Sherwood pouvait abriter bien d'autres ébats que les entraînements au tir à l'arc des compagnons de Robin des bois. Sans nier la difficulté du parcours, depuis l'intransigeance du mari jusqu'à la relation parfois violente et excessive avec Lawrence, Annabel Abbs prend le parti de Frieda et de sa volonté farouche d'être en accord avec elle-même. Documenté et passionné, ce portrait d'une femme hors norme est aussi agréable à lire qu'instructif. Il donne très envie de se trouver une petite clairière dans les bois, à l'abri des regards pour aller se rouler un peu dans la végétation, si possible bien accompagné...
Lien : http://www.motspourmots.fr/2..
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