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4,13

sur 3853 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Premier Olsen au compteur . le roi Wallander n'étant plus , vive le roi , il me fallait désormais retrouver l'envie récidivante de m'identifier à un univers accrocheur aux côtés d'antihéros du quotidien éminemment sympathiques et rassurants . Passer de la Suède au Danemark , rien de plus facile , mais le décalage horaire valait-il vraiment un hareng fumé certifié ND , nom d'un p'tit fjord ?
Très attendu à la lecture d'innombrables critiques élogieuses , ce thriller tire largement son épingle du jeu sans pour autant révolutionner le genre...

Premier bon point , le thème de la disparition admirablement abordé et changeant quelque peu de la très classique et parfois lassante enquête post mortem . Merete Lyyngaard est un animal politique de caractère très en vue possédant la rare faculté , dans le milieu , de se créer autant d'inimitiés sincères que de franches camaraderies douteuses . Cinq longues années de détention pour une issue ne faisant absolument aucun doute . le temps lui est désormais compté mais sera-t-il suffisant ?
Deuxième bon point , la personnalité de nos fins limiers . Si le tenace mais borderline policier Carl Mørck tape dans l'ultra classique - mais un polar sans flic à la ramasse , c'est un peu comme un cassoulet sans chantilly , ça ne présente pas de réel intérêt ! le débat est ouvert...- , l'excellente surprise vient de son acolyte , Hafez el Assad , missionné pour assister dans cette course contre le temps son si peu sympathique et attachant supérieur nouvellement promu à la tête du département V dans le but d'éclaircir les affaires non-élucidées . Quoi de plus logique que des cold case en Norvège ?
Assad , semblant posséder le charisme et les compétences d'un Deschien , présente cependant les caractéristiques d'un véritable couteau Suisse . le genre de type à vous donner le montant d'un billet , sa date d'édition et son pays d'origine rien qu'en l'entendant plomber le sol dans son dos . Étonnant non ?
Troisième bon point , une écriture nerveuse et intelligente qui pose très rapidement les jalons de ce que l'on pressent comme bigrement excitant et de fait , la sauce prend , le lecteur est happé du début à la fin et referme ce premier volet heureux d'avoir découvert un énième mais talentueux auteur de polars Nordique !
Adler-Olsen : I'll be back !

Miséricorde d'Adler-Olsen : 1 – Miserere de Grangé : 0
http://www.youtube.com/watch?v=z7VYeH5R9CA
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L'inspecteur Carl Morck reprend le travail dans des conditions plutôt difficiles après un congé maladie. En effet, lors de sa dernière enquête, il y a eu des dégâts, un de ses coéquipiers est mort et l'autre est à l'hôpital dans un état grave.
Morck se sent coupable car il a l'impression de ne pas avoir eu assez de réflexe pour éviter le carnage et semble atteint d'un syndrome de stress post-traumatique, disant avoir perdu la mémoire de ce qui s'est passé.
De ce fait, le commissaire va profiter de la situation pour lui confier les « enquêtes non résolues » cold case à la danoise. Ainsi est crée le département V. le commissaire se voit octroyer une forte somme pour développer le nouveau service mais se garde bien de l'affecter à Carl. On lui aménage un bureau dans les sous-sols et on lui adjoint comme un assistant un « homme de ménage » réfugié politique syrien Hafez-El-Assad …
Leur première enquête choisie au hasard dans la pile de dossiers qui atterrit sur son bureau concerne la disparition de Merete Lyyngaard femme politique de caractère, très en vue, vice-présidente du parti démocrate qui a l'art de se créer des inimitiés et de la jalousie par son intransigeance et son physique avantageux.
Elle a disparu, il y a 5 ans, sur un ferry, alors qu'elle se rendait à Berlin avec son frère. Personne n'a rien vu. On ne sait pas si elle est passée par-dessus bord accidentellement ou si on l'a poussée. Est-ce que son frère a joué un rôle dans la disparition ? S'agit-il d'une disparition volontaire pour aller refaire sa vie ailleurs. Est-on en face d'un crime ? D'un accident ? Toujours est-il que le corps n'a jamais été retrouvé et que l'enquête après avoir longtemps piétiné a fini par être abandonnée.
Telles sont les questions auxquelles devront répondre l'inspecteur Morck et son « assistant » …

Ce que j'en pense :

Ce roman est plutôt une réussite. J'ai d'emblée apprécié cet inspecteur, limite border-line, grande gueule, mais fin limier quand même avec de bons reflexes. Il n'a pas que des amis dans la police loin de là mais on s'attache à lui, à sa vie sentimentale plutôt chaotique elle aussi.
Son homme de ménage, qui très débrouillard, aussi gentil avec les autres que Carl peut-être limite agressif et qui par conséquent obtient tout ce qu'il veut : ordinateur, imprimante…. L'appeler Hafez-El-Assad (comme le père de Bachar) alors qu'il est réfugié politique syrien, il fallait oser.
Le plus drôle, c'est que ce duo fortement improbable fonctionne. A notre plus grande joie.
On voit les faiblesses de Carl derrière son ton bourru, son sens de l'amitié : il va voir presque tous les jours son ami grièvement blessé (pourra-t-il remarcher un jour ?) à l'hôpital. Il tombe sous le charme de la psy censée vérifier son état psychique et son aptitude au travail.
D'un autre côté, en alternance, on assiste aux tortures que subit Merete qui est en fait bien vivante mais enfermée dans un caisson étanche, on lui donne peu à manger, de la nourriture infecte, sans couverts et elle observée de façon constante. Donc, la part de sordide de tout bon polar est bien présente.
Peu à peu l'enquête progresse malgré le peu de moyens mis à la disposition de Carl mais avec beaucoup d'astuces et de réflexion, grâce à ce tandem bien complémentaire, avec les odeurs de cuisine dans le sous-sol car Assad ramène de la nourriture ce qui n'est pas du goût de tout le monde…
L'écriture est vive, légère, j'ai été happée par le débit de l'auteur et je n'ai plus décroché. J'attends la suite avec impatience car le style de Jussi Adler-Olsen me plaît et l'énigme est intéressante, et j'aime ce style de polar où l'auteur soue sur la personnalité des protagonistes autant que sur la noirceur et la complexité de l'énigme.
Un seul bémol, j'ai résolu l'énigme un peu rapidement mais ça n'a rien enlevé au plaisir.
pour en savoir plus : cf blog...

Lien : http://eveyeshe.canalblog.co..
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On a tous besoin d'un petit moment de décompression après la lecture de pavés sans marre, sans trop se marrer non plus (je sais, c'est vraiment mauvais, exprès),et sans plage au dessous.
Alors, pour moi, un thriller : Miséricorde de Jussi Adler Olsen.
Comme c'est le premier de la série, on assiste à la naissance d'un duo : Carl, après bavure, relégué dans un placard de la PJ de Copenhague, « affublé » d'un assistant dont la tache officielle est de laver les locaux, gants en plastique et seaux assortis. Voilà, c'est la création du département V, au sous-sol, sous équipé et grosse subvention dont ils ne verront pas la couleur.
Sauf que Assad, peu à peu, par son intelligence, son flair, et bien que Carl ne puisse déterminer si son aide est syrien ou irakien et quel est son passé, séduit ce dernier par les déductions imprévues. Moins séduit par les cafés imbuvables et les samossas cuits dans le réduit au petit déjeuner du petit homme, Carl doit se souvenir qu'il est illégal au Danemark d'étrangler ses employés.
Est ce un bon thriller ? je reste un peu mitigée, la fin ne m'a pas attirée, il manque un élément de suspense, sans doute parce que les années ont passé et que, comme l'humour, les policiers vieillissent, les ans en sont la cause. Mais vous faites bien d'en parler, de l'humour, il y a en a, Carl se foutant de tout, n'acceptant pas les non- recevoir parce qu'il est flic, et encore moins qu'une femme lui mette la main là où vous pensez, pour le menacer.
Il n'a rien à perdre, voilà pourquoi ce livre nous séduit, nous aussi, un peu. Carl connaît par coeur ce qui est anormal lorsqu'un futur prévenu se fait violence pour paraître normal.
Surtout ne pas lire la 4· de couverture, c'est comme si on nous prévenait aimablement et sans ambages que le père Noel n'existe pas. Alors là non.
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Avant de commencer la critique, je tenais à vivement remercier Michele dite Paroles au royaume Babelien pour m'avoir envoyé gracieusement ce bouquin après avoir lu combien j'avais apprécié "Dossier 64" du même auteur.
Un coeur d'or et une générosité sans faille. C'est suffisamment rare pour être souligné.
Je te dédicace donc cette critique ma chère Michèle :-)

Un premier essai fort réussi que ce premier polar de Jussi Adler Olsen.
Sur un postulat proche du film "Old Boy" mais avec un goût danois du meilleur effet. Et quand on le mâche, le goût s'accentue et reste prégnant. le stimorol du polar, quoi.
Zut j'avais presque fait la même vanne sur "Dossier 64". Faut que j'évite les répétitions. Faut que j'évite les répétitions...

Première apparition du tandem composé du vice-commissaire Carl Mørck et d'Assad, son pittoresque, énigmatique et fabuleux assistant qui vont vite s'imposer comme deux figures légendaires du polar scandinave.
Roman rugueux, sombre et nihiliste à la base - car ça commence vraiment mal faut-il dire - le livre est néanmoins parsemés de rayons de soleil car l'écriture est lumineuse malgré les horreurs qu'il déclame.
À chaque bouquin, Adler Olsen nous livre une vision peu sympathique de la société danoise et de ses politiciens. le modèle qui fait rêver de l'extérieur fait vraiment peur de l'intérieur.
L'enquête du département V est passionnante de bout en bout. On se prend à frissonner pour les personnages. Adler Olsen nous tient en haleine jusqu'à la dernière page.
Carl Mørck, tout particulièrement, est une vraie réussite. Râleur, frondeur, pas très sympathique au premier abord, il est en fait drôle et attachant. On se passionne autant pour l'enquête que pour sa petite famille bigarrée et pleine de vie.
La patte d'un grand écrivain qui sait distiller de la fraîcheur, de l'humour et de la vitalité dans une intrigue acérée et lourde.

Une réussite. 4/5
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2002 : Merete Lynggaard, vice-présidente du parti des démocrates au Danemark est une femme célibataire et pleine d'énergie. Elle est courtisée, mais n'est pas encore disposée à rencontrer quelqu'un, préférant s'occuper de son frère handicapé depuis un accident de voiture dans lequel ils ont perdu leurs parents.

Sur le ferry qui la conduit vers Berlin où elle doit passer ses prochaines vacances, elle disparaît sans crier gare.

2007 : Carl Mørk est un flic détruit. Il vient d'échapper à la mort lors d'une intervention durant laquelle ses coéquipiers et amis ont été pour l'un tué, pour l'autre blessé et rendu tétraplégique.

Son sale caractère et son attitude vis à vis de ses collègues lui valent d'être relégué au sous-sol de la brigade criminelle, mais avec la mission de lancer le tout nouveau département V, en charge de résoudre les affaires classées. Car Carl Mørk est aussi l'un des meilleurs enquêteurs de la brigade.

Englué entre son ex-femme et son collègue tétraplégique qui lui demande de l'aider à mourir, c'est sans entrain et poussé par son assistant et homme à tout faire, Assad, qu'il finira par ouvrir son premier dossier... celui de la disparition d'une femme en 2002 : Merete Lynggaard.

A mon avis :
La problématique des romans de Jussi Adler-Olsen, c'est que les noms de ses personnages viennent des pays du nord... et sont imprononçables.

Dans un pays où il fait si froid on n'a pas idée de donner des noms à coucher dehors...

Il faudra donc s'habituer aux doubles consonnes et aux doubles voyelles, aux H et aux K disposés au fil des noms propres, comme des rappels incessants aux origines de ce livre. C'est troublant et dépaysant à la fois.

Sinon, voici un roman bien mené, avec des rebondissements dans l'intrigue et dans l'enquête et avec des personnages bien cernés, parfois attachants, parfois assez agaçants. C'est ainsi le cas par exemple du personnage principal (Carl Mørk), que j'ai trouvé irritant par bien des aspects, mais ça n'engage que moi et ce n'est pas rédhibitoire.

Ce roman se lit facilement, malgré quelques longueurs dans la première partie du récit, qui seront compensées par une fin un peu précipitée mais dynamique.

La mécanique est bien huilée cependant, il y a ce qu'on attend d'un roman policier : du suspens, de l'action, de la profondeur dans les personnages (notamment le personnage principal), une vraie intrigue dont on ne soupçonne les tenants et les aboutissants que très tardivement dans le récit.

Une bonne lecture pour se réchauffer au coin du feu...

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« Miséricorde » est le premier opus d'un des nouveaux virtuoses du polar à la scandinave.
La partition n'est pas neuve : enquête faisant la part belle à l'aspect psychologique, personnages récurrents, « cold case » et séquestration.
Adler-Olsen nous récite ses gammes, et arrive pourtant à faire sortir sa composition du lot. Comment ? :
- parce-que l'aspect psychologique est particulièrement soigné et développé avec intelligence
- parce-que les deux personnages principaux sont remarquables. Un flic, qui a l'air de ne penser qu'à sa prochaine sieste et qui pourtant fait preuve d'un flair hors du commun et un émigré syrien, engagé pour faire le ménage, et qui se révèle être tout aussi fin limier
- grâce aux dialogues entre les deux personnages, en décalage avec le ton habituel de ce genre de polar, et au ton très pince-sans-rire utilisé par l'auteur
- parce-que, malgré un principe éculé (la séquestration), l'auteur arrive pourtant à insuffler un sang neuf, grâce à son histoire intelligemment construite.
Adler-Olsen, prend son temps, mais arrive à faire vibre la corde sensible à l'aide de ces ingrédients, à l'aide d'une histoire réellement angoissante (mais sans surenchère) et un propos qui ne se gène pas pour écorcher la société danoise au passage.
Premier opus donc, qui donne une irrésistible envie de retrouver ces personnages rapidement, car l'on sent que cette belle ouvrage s'améliorera encore dans le temps.
Lien : http://gruznamur.wordpress.com
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Lorsqu'on m'a mis dans les mains « l'effet papillon », je me suis dit que ce serait dommage de ne pas commencer par le début des aventures de ce département V, et voilà donc Miséricorde dévoré en quelques jours...
J'ai aimé l'intrigue (je ne m'attarde pas, les résumés foisonnent) et plus que tout les personnages : celui de Mørck, policier de la vieille école, qui en a trop vu, trop entendu et qui compte bien se la couler douce jusqu'à la retraite, surtout après avoir risquer sa peau lors d'une intervention « de routine » qui a envoyé un de ses équipiers à la morgue et transformer l'autre en légume dont les méninges restées opérationnelles ne lui sont d'aucune consolation. J'aime ce rôle de semi-looser, « aquoiboniste », qui ne fait rien comme il faut, qui a toujours réponse à tout et ne se prive pas pour appuyer là où cela fait mal.
Et également celui d'Assad, émigré syrien, homme à tout faire de Mørck, qui va être pour lui un sacré booster aussi souvent qu'une épine dans le pied...

Ce duo fonctionne à merveille et il me tarde de découvrir la suite de leurs aventures jusqu'à ce dernier volume, qui va m'attendre encore quelques temps, bien sagement...
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Je découvre (enfin !) cet auteur et je vais être honnête, j'ai vraiment aimé et je sais d'avance que je vais lire les autres romans autour de l'inspecteur Morck.

J'ai aimé la présentation de ce personnage atypique, bon policier qui essaie (vraiment ?) de se remettre d'un guet-apens qui a vu mourir un de ses collègues et gravement blesser un autre. Lui aussi a été blessé.
Ses supérieurs vont donc tenter de le placardiser.
Un cold case va lui permettre de se relancer dans ce qu'il aime en fait, son boulot, les enquêtes. le tout aidé par un réfugié syrien (enfin officiellement) qui semble avoir des choses à cacher....
Le cold case ? la disparition (la mort ? aucun corps n'a été retrouvé) d'une jeune femme, politique, qui aurait pu devenir ministre voire premier ministre.

Un très bon polar, je m'en vais voir quel est le titre suivant !
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Super ! Je découvre Adler Olsen et je crois qu'il y a 3 autres à suivre dans cette "série", j'ai donc encore du bon temps à venir...
J'adore découvrir de nouveaux auteurs quand je sais que plusieurs romans vont venir s'immiscer dans ma pal :-)
J'ai donc passé un excellent moment avec Carl, inspecteur et Assad son assistant. J'ai tremblé et ragé avec Merete Lyyngaard et me suis demandée jusqu'à la dernière page quelle allait être l'issue.
L'atmosphère du livre correspond tout à fait à ce que j'attends d'un thriller psychologique et les personnages sont tels que l'on arrive très rapidement à avoir un attachement pour eux ( pas tous, cela va de soi ...)
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Jussi Adler-Olsen a ses adeptes, des lecteurs qui ne tarissent pas d'éloges sur son oeuvre et qui chaque année se jettent sur le nouvel épisode de sa série. Et comme à chaque fois avec un auteur à succès, pour ne pas mourir bête, je me devais d'essayer.

A la fermeture de ce premier opus « Miséricorde », je crois avoir compris pourquoi ce livre passionne tant. Tout simplement parce qu'il réunit tout ce qui fait un bon thriller. Tout d'abord, le scénario est bien ficelé. L'enquête policière avance rapidement au fur et à mesure des indices trouvés. La tension reste constante. En effet, en parallèle des investigations, on nous décrit le calvaire vécu par la victime et les atrocités qu'elle subit. Plus le temps passe, plus l'histoire monte crescendo en pression. J'ai tourné les pages, emporté par ce suspense qui s'accentuait et par l'envie de découvrir l'identité du coupable et les raisons de cette machination.

Autre point fort : Les deux protagonistes sont sympathiques et originaux, surtout Assad, personnalité décalée, qui apporte un peu de fraîcheur et de spontanéité aux scènes de dialogue et d'action. Même si l'auteur ne les traite pas en profondeur et préfère privilégier les rebondissements pour garder son rythme soutenu, ils sont assez charismatiques pour qu'on les suive. C'est donc bien une série qui se met en place, avec de l'efficacité dans le récit et des individus dont la consistance se construira au fil des épisodes. Je lirai surement la suite de ces aventures avec l'espoir que l'on apprenne un peu plus sur les personnages pour définitivement être en empathie avec eux et me passionner pour leurs nouvelles aventures.

Avec une écriture fluide et facile d'accès, Jussi Adler-Olsen possède tous les ingrédients dans sa plume pour conquérir les fans du genre. Pour ma part, ce premier contact est réussi, il ne lui reste plus qu'à confirmer avec le prochain !
Lien : https://leslivresdek79.wordp..
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