Profanation

En lisant Profanation, j'ai adoré détester ces personnages de la grande bourgeoisie qui se croient tout permis et au-dessus de tout. Comment un auteur peut-il inventer cette sorte de personnages ? Comment peut-on être aussi ...détestables, dangeureux non plutôt malsains ? Grande caricature du mal incarné !On aurait aimé en connaître davantage sur Kimmie (oui oui nous sommes des vautours). Il reste que j'ai bien ri (oui encore) en retrouvant Carl et son éternelle molle adolescence . Nous découvrons un nouveau personnage dans ce titre: Rose. Désormais troisième larron du département V. oui une femme aux côtés de Carl qui ne sait que faire des femmes...Saura-t-on jamais qui est vraiment Assad ? Et c'est avec joie que nous le cotoyons de nouveau. Mais, tout est prévisible dans ce roman. On a un tout petit étiré la sauce mais bon, ça reste un bon moment de lecture.

Cold-case chez les danois : les enquêtes du département V, épisode 2

Je suis tout à fait perplexe devant ce deuxième épisode qui réuni de nouveau Carl, le flic tête à claque, et Assad, l'improbable assistant syrien.
Une troisième personne vient étoffer l'équipe : Rose, la secrétaire punk.
Je suis perplexe car j'ai lu très vite ce polar, prise dans ce style facile et addictif, mais d'un autre côté, cette histoire de gros bonnets sadiques ne tient pas la route. C'est plein d'incohérences, c'est difficile à croire tellement tout est exagéré. Et puis je déteste la violence sur les animaux, ça me fait vomir. J'ai sauté plein de pages.
Trop gore donc pour moi, un scénario totalement invraisemblable, des personnages sans intérêt.
Plus que perplexe, finalement très déçue.
Peut-être le prochain sera plus intéressant?

Deuxième enquête du département V, qui s'intéresse à un crime sordide qui s'est déroulé il y a plus de 20 ans et pour lequel des enfants de bonnes familles furet inquiétés.
Déception pour ce deuxième tome, qui montre déjà de nombreux tics et quelques facilités. Dans l'ensemble, l'intrigue est bien construite et je ne me suis jamais ennuyé, mais je n'a amais non plus ressenti de vrai plaisir, comme ce fut dans le cas de miséricorde. J'ai lu la majorité de ce livre en train. Je crois que c'est en effet un livre de train, ou d'avion. Ni exigeant, ni ennuyeux. Il fait passer le temps, mais sans plus.

Polar plutôt original mais roman beaucoup trop dense; on n'en voit pas la fin. Les premiers chapitres traînent en longueur. Le récit manque de rythme.
Et puis le final; totalement prévisible est d'une médiocrité caractérisée.
Stop ...

J'ai écrit un seul billet sur ce roman et sa suite, Profanation.

Pour Profanation:
Le deuxième volet des aventures de Carl et Hafez prend place plusieurs mois après la résolution de la première affaire. Les deux hommes sont toujours au sous-sol, mais leur premier succès leur permet de commander des fournitures et d'agrandir leur équipe avec Rose, une assistante (ancienne élève de l'académie de police). Les deux hommes ont le privilège de pouvoir choisir leur enquête, lorsqu'un dossier sur un double meurtre, vieux de 20 ans, ressurgit comme par magie sur leur bureau. Intrigués, les policiers découvrent que l'assassin croupit en prison depuis 17 ans, après des aveux spontanés. Près à abandonner l'affaire, ils sont de nouveau mystérieusement remis sur la piste des véritables tueurs par une mystérieuse personne - ils découvrent alors que l'enquête sur l'assassinat de deux adolescents (un frère et une soeur) a été bâclée et que les principaux suspects étaient des élèves d'un lycée privé huppé. Les principaux suspects sont aujourd'hui parmi les hommes les plus puissants du Danemark.

Ici Jussi Adler-Olsen ajoute une profondeur aux personnages et évoque allègrement les milieux de la haute-bourgeoisie et celui des affaires qui regorgent de secrets et de mensonges. L'auteur danois présente aussi une autre facette de l'assistant syrien (qui cache aussi des secrets), celui-ci prend de plus en plus de libertés et n'hésite pas à se présenter comme policier, ce qui a le don d'énerver son chef, mais on voit également le racisme auquel il doit faire face quotidiennement. Jussi-Adler livre une vision plus corrosive du Danemark - une vision sombre de la haute société.

(cf.blog)
Lien : http://electrasamazingflying..

Je n'ai pas trop aimé. Il y a trop de longueurs et aucun suspense. Rose apporte un peu d'humour ainsi qu'Assad, mais à force c'est lassant. Carl a parfois un rôle à la limite du ridicule. Je vais lire le tome 3 qui j'espère sera beaucoup mieux.

Ne supporte pas la comparaison avec le 1 et le 3

J'aurais aimé des méchants moins conventionnels, avec plus de profondeur et un profil plus composite alors que l'auteur nous décrit la cruauté incarnée par la haute bourgeoisie : les méchants à la mode. Ils sont riches, fils et fille à papa, évoluent dans les hautes sphères, sont de droite, chasseurs, racistes et pervers. de plus, je ne suis pas parvenue à retenir leur nombre, ni leurs professions respectives, ni leurs noms (en dehors de la fille, forcément, il n'y en a qu'une, mais elle non plus n'est pas crédible dans son attitude et sa folie). J'en suis encore étonnée, j'ai éprouvée tant de plaisir à lire les deux autres tomes.

Cependant, le département V continue à se constituer et là, c'est un plaisir ; les membres de l'équipe ne sont pas non plus réalistes, mais le comportement du trio hétéroclite est surprenant et amusant. On voit Assad s'affirmer (on peut même lui supposer une double vie ou un passé mystérieux) et Rose s'imposer avec une certaine invraisemblance, mais beaucoup d'humour. le troisième volume (par lequel j'avais accidentellement commencé) m'avait conduit à vouloir connaître le début des aventures de Mørke (assez insolite, lui aussi) et m'incite à vouloir connaître la suite.

Je ne crois pas qu'il aurait suffit de changer quelques détails pour améliorer l'histoire ; elle est intrinsèquement bancale. de plus, il n'y a pas de course à la résolution d'une énigme, il s'agit juste de démontrer un postulat et ça n'incite pas à la curiosité, à l'attente de la révélation.

J'ai constaté qu'il y avait une majorité de lecteurs pour aimer ce livre, j'en conclut donc qu'on ne peut pas formellement le déconseiller puisqu'il a un public. Il me semble qu'il ne déçoive que ceux qui préfèrent le suspens à la cruauté et le baroque au conventionnel. Essayez-le et faites-vous votre propre avis !

Mon sentiment est plus mitigé à la lecture de ce second volet des aventures de Mørck que lorsque j'avais lu Miséricorde. La structure de l'intrigue est identique au premier livre. On n'en apprend pas beaucoup plus sur les protagonistes principaux. Et surtout, ce qui m'a le plus gênée, c'est le manque de surprise...

Je lirai malgré tout le troisième opus, "Délivrance", car je l'ai déjà dans ma PAL (heureusement acquis d'occasion), mais je ne pense pas continuer ensuite l'aventure (à moins d'une bonne intrigue qui présenterait un regain d'intérêt).

Il s'agit là d'une lecture un peu décevante pour moi.

Un peu compliquée comme histoire. L'histoire avec les animaux réservés pour la chasse, c'est un peu tiré par les cheveux. Si ça existe c,est vraiment de la démence. Un des moins bons de cet auteur.

J'ai été particulièrement dérangée par ce livre et j'ai du me faire violence ( le terme est approprié ) pour le terminer.
Bien qu'attachée au tandem atypique que forment Carl Mock et son mystérieux assistant syrien Assad, auquel vient s'ajouter une assistante, Rose, j'ai eu beaucoup de mal avec la violence et la cruauté présentes dans cet opus, aussi bien envers les hommes qu'envers les animaux.
Et l'absence totale d'empathie de cette bande de copain m'a vraiment choquée.
Je ne suis donc pas psychopathe.
CQFD !