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4,02

sur 1225 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
COUP DE COeUR 💗💗💗


Waouh ! QUEL BEAU ROMAN !

Une aventure hors norme, un texte poétique et magnifiquement bien écrit où l'immensité des montagnes nous emporte, nous absorbe, nous bouleverse.

Nous suivons le parcours de vie de Stanislas Henri Armengol, surnommé Stan.

L'enfance de ce garçon n'a pas été facile. Une vie rude et brutale, sous la coupe d'un père violent et d'une mère partie trop tôt.

Fuir son père, fuir le milieu agricole...
Partir pour réaliser son rêve d'enfant : devenir PALÉONTOLOGUE.
Depuis sa découverte de fossiles, enfant, il ne rêve que de ce monde mystérieux et énigmatique.

En 1954, Stan, la cinquantaine, décide de partir pour une expédition de la dernière chance qui pourrait ainsi relancer sa carrière et une vie bien ennuyeuse.
Il a entendu parler d'une histoire folle, le squelette d'un gigantesque "dragon" se trouverait dans les montagnes d'Italie, coincé entre deux glaciers.
Il imagine alors une incroyable découverte qui pourrait faire de lui, un scientifique mondialement reconnu.
Il a l'ambition de croire que cela peut être un Apato-saure ou encore un Brontosaure ?

Obsédé par cette idée, il décide de partir pour ce périple fou et risqué, embarquant avec lui, un guide aguerri et plusieurs chercheurs passionnés.

↜↝↜

J'ai suivi pas à pas cette expédition vertigineuse, fébrile et émue, pour ces hommes et leur passion dévorante.

Et quand l'obsession devient si forte que plus aucun discernement n'est possible, et ce, au risque de perdre la vie !


Vous l'aurez compris, c'est une histoire envoûtante et captivante qui m'aura tenue en apnée, jusqu'à la dernière page !

J'ai aimé cette tension palpable, cette pureté que l'on ressent, cette émotion si vive qui en font un texte magnifique.

Un roman très réussi tant par son originalité que par la beauté de ce voyage au bout de l'humanité.

Une petite pépite de la rentrée littéraire à lire et à savourer.

Lien : https://leslecturesdeclaudia..
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La plume merveilleusement fluide et poétique de Jean-Baptiste Andrea m'a embarquée dès les premières pages dans le rêve de son héros paléontologue. Suite à la découverte fortuite d'un os fossilisé et d'une histoire de dragon chez un vieux concierge décédé, Stan part contre toute logique à la recherche du mystérieux squelette de dinosaure caché dans les Dolomites. Il entraîne son meilleur ami et ancien assistant à l'université, Umberto, et Peter, son propre assistant, ainsi que le vieux guide italien Gio avec lui pour plusieurs mois de fouilles dans le glacier suspendu entre ciel et terre. C'est un récit d'aventure puissant porté par des personnages fouillés, une chasse au trésor empreinte de nature writing. En filigrane, l'introspection de Stan nous révèle au fil des saisons son enfance difficile et le lien très fort avec sa mère... jusqu'au final grandiose, où l'ambiguïté des rêves permet d'enjamber pour un instant l'espace et le temps.
Ce roman de la rentrée littéraire est une pure merveille. Que ce soit au niveau de l'écriture, du suspense parfaitement maîtrisé ou des scènes sublimes, ce livre m'a donné des frissons jusqu'à la dernière page. La mise en perspective historique, la symbolique, la tendresse surtout, des chapitres de fin closent l'histoire en toute beauté. Les éditions L'Iconoclaste mettent d'ailleurs parfaitement en valeur toutes les qualités de ce roman, que l'on sent documenté. Une pépite de sensibilité !
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Stan est paléontologue. Il mène une vie tranquille, mais depuis 5 ans, il prévoit une expédition au coeur des montagnes, entre Nice et l'Italie. Il a entendu parler d'un squelette qui pourrait être caché au pied d'un glacier. Il emmène avec lui dans sa drole d'équipée son ami de toujours et ancien assistant Umberto, accompagné de Peter, un jeune étudiant allemand, et d'un guide experimenté, Gio.
Ce roman, écrit magnifiquement, décrit cette expédition, les doutes, les joies, la vie en groupe, et l'espoir, l'infime espoir qui engendre des folies...
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Ce roman de Jean-Baptiste Andrea est à l'image d'une véritable cordée de montagne : l'individuel et le collectif se trouvent mêlés dans une complexité des situations, des sentiments, des expériences passées, permettant tour à tour d'approfondir la relation du héros avec sa famille, ses amours, ses amis, Dieu, mais surtout lui-même. L'écriture est forte, les dialogues, utilisés avec parcimonie dans ce monde de froid et de silence, sont justes et, lorsque l'auteur explore l'histoire personnelle de Stan, d'une réalité drue (on reconnaît là le talent du scénariste et réalisateur pour qui chaque phrase compte). le type de roman capable de vous arracher des larmes de peine et d'émerveillement tour à tour. Magnifique clair-obscur littéraire, philosophique et humain.
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Stan est un paléontologue en fin de carrière qui rêve de gloire personnelle et pour cause il est à la recherche avec Umberto et Peter dans les Dolomites d'un fossile de dragon dont un concierge avait raconté la présence dans une grotte à une petite-fille que Stan a rencontré lors d'un repas universitaire. Malgré la fantaisie de cette affirmation, Stan s'y accroche et y croit jusqu'à monter sa folle équipée et convaincre ses deux amis scientifiques de l'accompagner dans ses recherches.

Stan happe le lecteur, sa loufoquerie est tellement grandiose qu'on se prend à y croire avec lui quitte à se sentir perdu également au fur et à mesure de ses déboires avec le glacier et ses acolytes. Les chapitres sont très courts et emplis de suspense tout en ayant des doutes sur l'issue de cette aventure et de ce voyage ! L'écriture est fluide et très agréable à lire.

Une très belle découverte littéraire qui me donne envie de découvrir le premier roman de cet auteur.
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Sélectionné par les "68 premières fois", je n'ai pas attendu de le recevoir puisque disponible à la bibliothèque.
Mais en lisant la quatrième, j'ai eu peur...
Des paléontologues qui partent en montagne dans les années 50 pour retrouver un squelettre de brontosaure... ouille ouille ouille!!!! C'est pas franchement mon trip!
Par acquis de conscience je me suis dit: "Allez! je lis les 30 premières pages!"
Et bien figurez vous que j'ai adoré cette aventure humaine dans cet environnement hostile.
C'est bien écrit, les personnages bien décrits et donc attachants, leurs histoires sont touchantes, la quête l'est aussi... belle découverte, j'ai aimé être surprise!
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Au départ c'est une expédition en montagne, dans un glacier entre la France et l'Italie, comme il a du en exister bien d'autres, réfléchie, encadrée et préparée, l'histoire se passe en 1954.
Stan, un paléontologue de 52 ans, réunit un ami et collègue et son assistant pour tenter de trouver le squelette d'un animal préhistorique aperçu dans une grotte glaciaire il y a plus de 80 ans. Ils partent accompagnés d'un guide de haute montagne pour un mois, peut-être deux, à la recherche de la découverte de leur vie et de l'accomplissement d'une carrière, avec sans aucun doute, la gloire à la clé.
Mais la recherche du fossile va s'avérer bien plus complexe que prévue et les caractères de chacun vont se révéler face à l'effort et à l'adversité.
Plus on plonge dans cette quête, plus on gravit cette montagne, plus le roman prend de la densité ; les caractères, les sentiments, les paysages aussi s'étoffent, dans toutes leurs dimensions et nous emportent dans une aventure humaine et physique qui nous happe comme un aimant.
Les mots de Jean-Baptiste ANDREA sont aussi simples que les personnages sont complexes, ses phrases aussi courtes que leur détermination est infinie.
Un roman en 3D, profond en émotions, haut en couleur et dense en sensations, qui m'a totalement séduite et que j'ai lu en grelottant malgré ma couverture, pour le finir dans un frisson de larmes glacées.
Superbe !
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« Si nous ne sommes pas capables de croire à une histoire juste parce qu'elle est belle, à quoi bon faire ce métier ?». C'est justement pour cela que j'aime la lecture, pour son pouvoir extraordinaire de suggestion! Heureusement qu'il y a encore des histoires auxquelles on a envie de croire juste pour leur beauté, comme celle que nous conte Jean-Baptiste Andréa dans « Cent millions d'années et un jour ». Une histoire aussi belle que tragique, palpitante et vertigineuse !
Stan est un paléontologue aguerri qui a toujours eu la passion des pierres et de leur origine. Sa carrière n'est plus à faire mais il lui reste encore un dernier défi à relever : retrouver le squelette d'un « dragon-dinosaure » qui reposerait au fond d'une crevasse dans les massifs montagneux, quelque part entre la France et l'Italie. A la tête d'une équipe fantasque et dévouée, il part à sa recherche en sachant qu'il ne redescendra pas tant qu'il n'aura pas retrouvé ce trésor mystérieux. Parce-que cette quête est pour lui plus qu'une obsession de scientifique ou le gage d'une renommée mondiale. L'ascension de la dame blanche l'amènera à remonter le fil de sa vie et à se replonger dans les souffrances de son enfance.
Nul besoin d'être un spécialiste de l'ère mésozoïque ou un féru d'alpinisme pour apprécier la lecture de ce roman ! Mais il faut avoir l'envie de croire encore à ses rêves d'enfant et de vivre une aventure intense dans une nature hostile, grandiose et dangereuse quitte à devoir affronter les fantômes du passé. C'est un très beau roman où les mots virevoltent au gré des tempêtes de neige et des bourrasques familiales. On embarque dès les premières pages avec ce doux rêveur attachant dont les failles intimes ne se sont jamais refermées. Un texte d'une grande poésie qui m'a beaucoup touchée ! Je remercie vivement Babelio et les éditions L'Iconoclaste de m'avoir permis de découvrir ce roman lors de la dernière masse critique.
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Encore un coup de coeur pour la si belle plume de Jean-Baptiste Andrea.

Après l'avoir découvert pour la première fois dans Des diables et des saints, c'est avec plaisir que je me suis plongée dans Cent millions d'années et un jour. Et encore une fois la magie a opéré !

On suit Stan, un paléontologue qui part sur un glacier à la poursuite d'un rêve et qui embarque avec lui dans cette folle expédition deux autres scientifiques dont Umberto, son ancien élève devenu ami.

Accompagné d'un guide local, ils tenteront avec acharnement de trouver son trésor si convoité, un squelette de dinosaure qui serait pris dans la glace.

Une ôde à l'amitié, aux rêves, aux désillusions, et aux blessures de l'enfance.

Un récit d'aventure intense et poétique, très nature writing, le glacier devient d'ailleurs un personnage à part entière surtout dans la dernière partie du récit.

Un roman très émouvant, écrit avec finesse et d'une grande sensibilité.
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Une très belle histoire qui se lit en quelques heures…
Les chapitres sont courts, rythmés, très imagés et très poétiques.

Stan est un paléontologue. Il est persuadé qu'un dinosaure est enseveli dans les montagnes, entre la France et l'Italie.
Lorsqu'il était enfant et que ses parents n'étaient pas là, il participait avec d'autres enfants de l'immeuble à des “réunions” organisées par le vieux concierge qui leur racontait alors, de belles histoires.
Un jour, il raconta à cette “société secrète aux dents de lait”, l'histoire de son dragon, dont il aurait conservé un fragment d'os !
Stan, passera alors sa vie à penser à cet animal fantastique.
À la fin de sa carrière, et toujours aussi obsédé par ce projet incroyable, de retrouver peut-être une espèce de dinosaure encore inconnue, il embarquera avec lui deux autres scientifiques et un vieux guide.
Mais là-haut, tout n'est pas si simple. Engagés dans cette expédition improbable, les trois hommes et leur guide vont vivre un huis-clos qu'ils n'imaginaient pas.

Jean-Baptiste Andrea, encore une fois, a l'art de sublimer l'histoire grâce à ses mots. Il m'a embarqué et je n'ai pu m'arrêter jusqu'à la dernière ligne.
C'est un récit plein de poésie. Rêves de reconnaissance et souvenirs d'enfance se mêlent dans ce roman sur fond de montagnes enneigées. La psychologie des personnages est finement développée, leurs sentiments, leurs expériences et leurs émotions aussi, dans cette recherche d'un animal mythique, née du rêve d'un enfant maltraité par un père violent.

Un roman qui m'a enchanté, transporté, et ému, au coeur duquel la nature joue un rôle important.
Je pense que “Cent millions d'années et un jour” fait partie de ses romans, qui se relisent avec plaisir…
Lien : http://leressentidejeanpaul...
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