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3,51

sur 338 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Une couverture qui fait sourire, des personnages sympathiques, une histoire simple et efficace. Les chapitres sont courts, l'écriture est fluide. Tout est la pour passer un agréable moment de lecture. Malgré un début au ralenti et une fin attendue. J'ai apprécié ce livre.
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D'un côté, Pierre Boulanger, détenteur du titre de Meilleur Ouvrier de France, devenu self-made-man en Amérique, vendant des croissants au beurre surgelés, côtoyant des célébrités telles que Madonna, Bruce Willis etc.
De l'autre, un très pauvre vendeur de hot-dogs en plein air, détenteur du meilleur café du monde, un café "magique qui rend les gens heureux".
La rencontre semble improbable et pourtant elle a lieu et va bouleverser leurs vies.
Cela suffit-il pour faire un bon roman ?
Au bout des 380 pages, lues sans difficulté, je n'en suis pas convaincue.
Je suis peut-être passée à côté du message ( ? ) de ce livre.
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C'est une histoire loufoque, originale, spirituelle à bien des égards que nous conte ici Camille Andrea. Il semble que ce nom d'emprunt appartienne à une personnalité bien connue de la littérature Française. En tous les cas, il est clair que c'est un livre qui ne laisse pas insensible. il a un peu du roman feel good, du documentaire de bien être et de la quête de soi ... C'est dire si c'est original. Les chapitres sont cours. Il est facile à lire et a aussi un titre des plus accrocheurs : le sourire contagieux des croissants au beurre. Maintenant, c'est un roman qui m'a intrigué mais sans plus ! Même s'il est bien construit, il apparait souvent loufoque, décalé et un poil dérangeant. le message est clair ; l'argent ne rend pas heureux et il faut profiter des petites choses de la vie. C'est somme toute très vrai! A découvrir aux éditions de Noyelles.
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A quarante-quatre ans, le Chef français Pierre Boulanger a tout pour être heureux. Il possède le plus grand empire de pâtisseries surgelées des Etats-Unis, il est l'ami des stars, les plus belles femmes du monde croquent à pleines dents dans ses fameux croissants, et il a épousé une brillante avocate reconnue par le gratin new-yorkais qui lui a donné un adorable petit garçon. Jusqu'au jour où un vendeur ambulant lui propose un gobelet de café à un million de dollars. Un million de dollars, pas pour un simple café, bien sûr. Un million de dollars pour le meilleur café du monde, le café qui va changer sa vie... Cette rencontre magique avec un vieux vendeur de hot-dogs ambulant ébranlera à jamais les certitudes de Pierre Boulanger quant au pouvoir, à l'amour, et à la vie. 



Si je devais résumer le roman ma lecture en une phrase : L'argent ne fait pas le bonheur. le roman se lit facilement grâce à des chapitres courts et une intrigue bien construite. L'idée de départ est originale et quelques passages prêtent à sourire, mais... cette lecture n'est pas un coup de coeur pour moi. Camille Andrea est un pseudonyme d'un auteur bien connu du public, mais je reste abasourdie par ma lecture. le sourire contagieux des croissants au beurre est de style développement personnel, mais aussi de feel-good. Certains passages m'ont fait rire (la scène dans la cuisine avec la femme de ménage et sa femme par exemple). Il y a pas mal de caricatures dans ce roman et pour les fan de Madonna vous aurez votre petit moment, mais j'y trouve beaucoup de lenteur et de répétitions. Un café peut-il changer une vie ? Un vendeur de hot-dogs peut-il bousculer votre quotidien monotone dans une bulle ou l'argent domine ? La plume est fluide et le roman léger. Je vous conseille de vous faire votre propre avis, car mon ressenti ne tient qu'à moi.  
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J'ai eu un coup de foudre pour la couverture de ce roman, quand je l'ai vue pour la première fois en librairie ! Elle n'est pas particulièrement belle, et je ne suis pourtant pas particulièrement fan de croissants (d'ailleurs, tant qu'à faire cliché, je ne suis même pas française ! et le croissant n'a pas la même « valeur symbolique » en Belgique…), pour tout dire je préfère les pains au chocolat (ou chocolatines pour ne pas faire débat), mais c'est vrai que ce croissant a l'air réellement souriant et dès lors comme lumineux. Avec en plus le titre, il est très attirant, vraiment… Et puis, de toute façon, par définition les coups de foudre ne s'expliquent pas !
Là-dessus, j'ai quand même vérifié son prix en Kindle plutôt qu'en broché : sans surprise, en format électronique il est plus de 3 fois et demie moins cher. Ainsi, sans avoir encore regardé le 4e de couverture jusqu'à présent, j'ai fait une chose que je n'avais jamais faite auparavant, et m'abstiendrai sans doute de faire à l'avenir : alors que j'étais toujours en librairie, au lieu de photographier ce livre « pour mémoire » comme je fais généralement et décider ensuite tranquillement de l'achat ou pas à la maison, je l'ai [i]aussitôt[/i] acheté… en format ebook !
Évidemment, depuis lors il est resté dans ma bibliothèque-PAL interminable, plus ou moins oublié ; il fallait un challenge en particulier pour que je le ressorte tout à coup. Et c'est seulement là que j'ai – enfin ! – regardé le synopsis, et commencé à déchanter…

C'est que, bien loin de la littérature contemporaine telle qu'annoncée sur les divers sites de vente (ou dans ma librairie : il se trouvait dans ce rayon-là), ce livre est surtout un ouvrage de développement personnel aromatisé au feel-good, sous couvert d'un roman narrant les aventures d'un boulanger français, nommé bien à-propos Pierre Boulanger, devenu un richissime industriel, patron dans le domaine du croissant surgelé. Il achète usine sur usine, ne peut plus s'arrêter, amasse de plus en plus de fric, fortune croissant (sans mauvais jeu de mots) à mesure que s'approfondit sa déshumanisation. Une rencontre fortuite avec un vieux sage vendeur de hot-dogs va changer sa vie…

On entre ainsi typiquement dans une histoire de cheminement intérieur, que ce vieux sage va servir à notre Boulanger à coups de maximes et autres théorèmes, syndromes et citations – c'est du vu, vu, vu et revu dans le genre, que ce soit dans la littérature ou au cinéma. La seule originalité (et encore), c'est que c'est concentré en une seule histoire plus ou moins crédible, que le personnage principal ne paraît jamais aussi antipathique qu'il pourrait l'être et que le vieux sage tout à fait improbable finit par devenir sympathique. Il y a en outre des touches d'humour çà et là, qui m'ont parfois fait réellement sourire malgré l'ennui sous-jacent, et clairement l'auteur assume les côtés ultra-cliché de son récit, il y a des allusions-clin d'oeil à ce sujet, assez subtiles toutefois, ici ou là.

Il n'en reste pas moins que c'est typiquement le genre de livre qui ne m'attire pas du tout normalement, et qui m'insupporte très vite si je le lis ou, au mieux, que je trouve très vite ennuyeux au possible. Celui-ci n'a pas dérogé à la règle, et seule l'intrigue centrale (à la recherche du meilleur café du monde) donne envie de tourner les pages, mais franchement sans précipitation ni réel enthousiasme ; c'est plutôt une espèce de curiosité : mais qu'est-ce qu'il va bien pouvoir inventer pour nous convaincre ? Vous pourrez me dire : peut-être ai-je ce sentiment plutôt négatif, parce que je n'ai pas besoin d'un tel livre à ce moment précis de ma vie, et qu'il y a peut-être l'une ou l'autre chose à en retirer quand même ? Mouais… Pourtant, dans des moments moins heureux de mes « quelques » années (presque un demi-siècle quand même), je n'ai jamais ressenti le besoin de lire ce genre d'ouvrage, et si l'une ou l'autre âme bien-intentionnée m'en mettait alors un entre les mains, ça m'a toujours très vite agacée. Ce n'est pas une littérature que j'affectionne, voilà tout, et ce récit à l'allure pourtant sympathique ne m'a pas réconciliée avec le genre.

Et puis bon, soyons sérieux : c'est facile de prêcher que l'essentiel est ailleurs que dans l'argent, quand on a de l'argent à ne savoir qu'en faire et qu'il reste juste à se « recentrer » tranquille, puisque par ailleurs on peut vivre de ses rentes pour le restant de ses jours, ce que l'auteur souligne à plusieurs reprises. Oh ! on a aussi l'exemple du vendeur de hot-dogs, pauvre comme job et édenté (détail sur lequel on insiste beaucoup), mais qui se dit parfaitement heureux… sauf qu'il n'est pas convaincant un seul instant ! il n'est qu'un vieux sage (je sais, je me répète) que le lecteur considère comme tel, c'est-à-dire un peu illuminé, déconnecté de la réalité ; le vrai « héros » est l'industriel, pour qui les choses sont bien différentes, et qui peut se permettre d'être enfin « libre », puisqu'il a de toute façon déjà tout !
Attention : ne croyez pas non plus que je serais jalouse de cet homme et que j'écris ce qui précède par dépit. Oh que non ! Si – comme tout le monde au fond – j'aimerais avoir de l'argent à ne plus savoir qu'en faire, je reste aussi trop bien consciente que ce n'est jamais qu'un rêve flou qu'on sait aussi improbable que gagner au Lotto (oui oui, deux t en Belgique ;) . Et, dans tous les cas, même si ce type de « réussite sociale » reste ce qui nous est tellement souvent présenté comme une voie royale pour arriver à cette richesse rêvée, eh bien tant pis : je n'envie en aucune façon la vie d'un chef d'entreprise détaché des réalités au point de ne jamais emmener son enfant unique à la crèche, de ne même pas connaître le nom de sa secrétaire, et de ne plus savoir sourire alors que c'est la marque de fabrique de ses croissants… Sérieusement, quels que soient nos rêves de richesse.s, qui a vraiment envie de devenir un robot vaguement humain à faire du fric ?...

Quoi qu'il en soit, et malgré la sympathie qu'il finit par susciter, le personnage principal n'est pas représentatif du lecteur lambda, et ne m'a touchée à aucun moment. Certes oui, ce livre a le mérite de rappeler l'essentiel : l'argent ne fait pas le bonheur (du moins à partir d'un certain niveau de richesse), l'essentiel est ailleurs, à savoir dans un « vrai » bonheur qui est propre à chacun, et auquel on peut accéder lorsqu'on prend la peine de se retrouver soi-même et qu'on prend du temps pour ceux qu'on aime. En un mot : ce livre nous invite à nous recentrer, et propose même une pseudo-solution pour aider à sauver le monde.
Mais justement : le bonheur est propre à chacun, et clairement, non seulement le cheminement de ce héros de pacotille (hum, pardon, je voulais dire : le héros de ce pseudo-roman) ne m'a pas touchée un seul instant, mais je pense être capable – grâce à l'amour de mes proches notamment – de trouver le bonheur, ou ce qui y ressemble mais qui me convient (même si un vieux sage venait tout à coup me prétendre le contraire), sans avoir besoin de lire ce livre qui m'a plus ennuyée qu'autre chose, malgré quelques qualités narratives.
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J'ai fini cette lecture et je me suis endormie. Et j'ai rêvé de ce livre. Mine de rien, ce livre fait que certaines choses dites peuvent s'appliquer dans notre propre vie. Et c'est d'ailleurs le but de l'auteur. Ici, on n'est pas dans un banal roman, mais dans un roman feel-good de développement personnel. J'ai très vite pensé au livre de Laurent Gounelle « L'homme qui voulait être heureux ». Personnellement, je n'avais pas adhéré du tout à cette lecture. Il traîne encore dans ma bibliothèque, en attendant qu'un jour peut-être que je le lise entièrement. Ce fut un abandon rapide, tellement je n'adhérais pas du tout.

Ici, on a une histoire qui donne davantage d'épaisseur : Pierre Boulanger, PDG d'une société produisant des croissants à New York, est riche. Il a une femme, un fils. Tout va bien pour lui. Mais, un matin, en achetant un café à un vendeur ambulant, il va prendre conscience qu'en réalité, il n'est pas heureux et qu'un changement radical dans sa vie doit être fait rapidement pour qu'il le devienne. Ce vendeur ambulant va lui servir son café et Pierre Boulanger va être très surpris par son goût. Ce café est selon lui le meilleur qu'il ait gouté jusqu'à présent. En tant qu'entrepreneur, il lui propose d'acheter son café. Mais le vendeur lui dit que son café est très spécial car il rend heureux les gens et pour cette raison, demande une somme faramineuse pour la vente de son café. Pierre Boulanger refuse et s'engage une discussion entre eux. Pierre Boulanger va revenir vers le vendeur plusieurs fois. le vendeur va lui faire alors prendre conscience que sa vie, malgré l'abondance, ne le comble pas et qu'il faut prendre des décisions.

J'avoue que la première partie du livre m'a un peu freinée. Les dialogues entre nos 2 personnages m'ont perdues. Mais bientôt, l'auteur nous emmène dans un autre univers. On voyage et on apprend. Attention, parce qu'il faut oublier la crédibilité de l'histoire. Il faut vraiment le prendre comme un conte, en réalité, avec tout l'humour qui l'accompagne. Et à partir, de là, on suit nos 2 personnages tour à tour, en parallèle. On entre dans une sorte de suspense jusqu'à ne plus lâcher le livre jusqu'à la fin.

L'auteur parsème donc à travers le personnage du vendeur ambulant, des vérités pour mieux profiter de la vie de manière générale. Ces vérités-là sont argumentées et sont applicables en dehors de l'histoire. Je trouve que l'auteur s'en sort bien même si cette première partie est très très longues.

Je remercie Netgalley et les éditions Plon pour cette lecture.
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Avec sa couverture jaune soleil, son croissant souriant et son titre engageant vous vous dites que ce livre va vous donner la banane.
L'auteur qui a choisi de rester anonyme, puisqu'il écrit sous un pseudonyme, distille en effet au fil des pages et par la bouche d'un vieux sage ses conseils pour une vie harmonieuse et équilibrée sauf que ceux-ci se résument à bon nombre de poncifs : l'argent n'est pas tout, apprenez de vos échecs, relativisez,… Les amateurs d'ouvrages de développement personnel resteront sur leur faim.
Cet ouvrage se démarque des autres essentiellement par sa forme : le conte. le récit peu crédible est sauvé par une certaine autodérision, de grands traits d'humour et quelques scènes franchement cocasses qui font que l'on tourne facilement les pages pour savoir si Pierre Boulanger trouvera, ou non, la plantation du meilleur café au monde, celui qui rend les gens heureux.
Ce que je retiens de cette lecture : la vie c'est comme la pâtisserie, le plus souvent nous disposons de tous les ingrédients encore faut-il avoir la recette.
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Tout d'abord, je remercie NetGalley et les éditions Plon pour l'envoi de ce roman. C'est d'abord la couverture du roman qui m'a attiré, puis le résumé m'a donné envie d'ouvrir ce roman... Mais je sors de cette lecture très mitigée. La lecture est plutôt aisée par l'enchainement de chapitres courts mais j'ai mis une semaine à le lire, car les longueurs et les passages plutôt confus m'ont perdue! Plusieurs fois, j'ai failli abandonner mas j'ai voulu persévérer et finir ma lecture (je n'aime pas abandonner un livre). Bref, ce roman qui connaît un bel engouement est un véritable échec pour moi.
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Ce roman se lit rapidement, bien écrit mais malheureusement ca ne l'a pas fait avec moi.
Les deux premieres parties beaucoup trop lente, longue : il ne se passe rien.
La 3eme partie un peu mieux et un peu d'action
La 4eme et 5eme partie: pas grand chose, et une fin finalement attendue, pas surprenante et qui laisse sur la faim justement....
J'attendais beaucoup de ce livre, qui etait assez plesbiscité sur les reseaux sociaux (instagram), peut etre du au mystère de l'auteur (anonyme).
Une histoire simple (trop), sans actions, qui se laisse lire sans réfléchir: bref une lecture mitigé pour moi.
Merci Netgalley et Plon (la maison d'édition) pour ce Service Presse (SP)
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Pierre Boulanger a fait fortune dans le happy croissant, un croissant surgelé, aux USA.
Il a une épouse et un petit garçon.
Un jour, devant son bureau de New York, un marchand ambulant lui offre un café… le meilleur café du monde… pour un million de dollars.
Intrigué par le vieil homme qui vient bousculer ses valeurs et ses certitudes sur le bonheur, la réussite et sa vision de la vie, Pierre va changer le regard qu'il porte sur le monde.
Repenser ses priorités, porter un nouveau regard sur les choses et surtout « pas ne manquer de rien mais que rien ne nous manque » va bouleverser la vie de Pierre.

Attirée par cette couverture gaie et gourmande, je ne savais pas ce qu'allait me réserver ce roman.
Je ne suis pas très adepte des livres de développement personnel. Même s'ils sont plein de belles intentions et de jolies morales, ce n'est pas un style que j'affectionne particulièrement.
Alors il se laisse bien lire, l'écriture est facile et fluide, les chapitres courts mais bon, rien de très original.
Merci à #netgalleyfrance et #lesourirecontagieuxdescroissantsaubeurre
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