À côté de cimetière, des larmes font se frotter. Une piscine est derrière le mur, perspective à chaque fois plongeante. Ornements, arcs, de cercle. Une fois les stratégies à nu le décor est posé. Les images se fendent, se percent, saturent, mais toujours en appellent une autre.
Le cimetière est deux-en-un, entièrement carrière et jardin, sauf ici cette concentration des pierres trop efficace. Tout recommence.
Les phrases se chargent, un échauffement. Les larmes font se frotter. Les qualifications les plus lyriques ont été mises ensemble, préalables comme en plein jour.