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sur 196 notes
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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Coup de coeur pour ce roman graphique se passant dans un pays africain imaginaire , c'est l'histoire d'un dictateur juste avant sa chute .
Au début de son règne , c'est la liesse populaire , l'espoir bientôt éteint d'un changement .
Sa famille a une vie de privilégiés , de jeunesse dorée mélange d'insouciance, de sommes dépensées monstrueuses loin des préoccupations du peuple qui vit dans la misère .
Que vont devenir son fils , sa jeune épouse qui ne sont aucunement préparés à cette chute.
Je me suis assez rapidement rendu compte que cette fiction était en fait la vie du président congolais Mobutu , celui qui a eu un rêve qui l'a dépassé , devenir un pays africain libre , indépendant des grandes puissances européennes, il a changé le nom de Congo en Zaïre , ce nom Zaïre ne lui survivra pas .
#Tzée#challengenetgalley
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Un pays imaginaire mais il est facile de deviner qu'il s'agit du Zaïre, bien que l'histoire elle-même puisse être transposée dans n'importe quel pays qui a vécu sous le joug d'un dictateur ou qui y vit encore !

Un régime qui va faire long feu, la rumeur répand la mort de T'Zée le dictateur, malgré le désire de sa jeune femme d'en reprendre les rênes. Un palais dans la jungle où tout est démesuré, le faste comme la solitude dans l'immensité verte.

On est loin de la liesse de la prise de pouvoir qui laisser croire à une démocratie, mais la corruption et l'avidité auront eu raison de ces velléités de justice ! Son dernier fils a bien profité de la situation de son père dans sa jeunesse, pas si lointaine, même s'il a eu plaisir à se croire révolutionnaire ! Il hait sa belle-mère qui pourtant oscille entre haine et amour envers lui !

Comme un crépuscule les dessins et les couleurs font ressentir la touffeur, la violence et la déraison de cette fin de règne ! Marrons et ocres se tissent pour nous donner une impression de délitement d'une époque qui sera absorbée par le vert puissant de la jungle !

Une ambiance de fin du monde collée à ma peau, qui m'a permis d'apprécier chaque trait et chaque nuance de cette très bonne BD !

#challengenetgalleyfr #TZée #NetGalleyFrance
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Avant tout, je tiens à remercier chaleureusement Babelio et les éditions Dargaud pour cette BD reçue dans le cadre d'une opération Masse Critique. de plus, l'ouvrage est arrivé d'un petit mot me souhaitant une bonne découverte...ça fait toujours plaisir.
Je partais avec un a priori fondamentalement positif.
Alors qu'il y a encore 3 ou 4 ans, Bruno était pour moi un inconnu, maintenant, la seule présence de son pseudonyme sur une couverture fait immédiatement apparaitre la BD dans ma wish-list.
Et donc, quand j'ai vu cette BD dans la dernière opération masse-critique, je n'ai pas hésité une seconde et le destin était de mon côté...
Je me suis donc plongée avec beaucoup de plaisir dans cette BD magnifique qui nous entraine dans une histoire prenante et parfaitement narrée.
Le contexte est un pays d'Afrique centrale qui ressemble à s'y méprendre au Zaïre.
Nous y suivons quelques proches du président en pleine déchéances dans les dernières heures d'un pays qui plonge dans le chaos.
En trois mots : j'ai adoré.
La narration est bonne, la tension bien présente et le dessin, si caractéristique de Bruno sert a merveille le propos.
On en redemanderait...
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Tout ce que j'aime !
T'ZEE, UNE TRAGEDIE AFRICAINE, oeuvre en cinq actes – tient, comme le Phèdre de Jean Racine… - retrace quelques tragédies individuelles adressées par une malédiction familiale au sein d'un drame collectif terrible comme seul l'être humain peut les ourdir.

Nous avons…
T'Zeé, un roi déchu d'un très grand et très riche pays africain qui pourrait bien être l'ancien Zaïre… Bobbi, la nouvelle femme de T'Zée de 25 ans sa cadette, belle et ambitieuse, vouant une haine sans borne au fils cadet du roi ; Angéline, confidente de Bobbi, agile et dangereuse comme un serpent tapit ; Félix, proche du gouvernement et accessoirement l'homme de main de Bobbi.
Et puis Hippolyte, fils de T'Zée, roi, et de Mama Maréchale, la vieille reine emportée par un mal étrange, intelligent et progressiste ; Arissi, fille de Pierre Moulala - héros de l'indépendance - pour ne pas dire princesse de sang royal, mais d'un clan ennemi ; Walid, ami d'Hippolyte et d'Arissi d'origine libanaise, rencontré à Paris.
Il y a bien entendu de nombreux gardes restés fidèles au clan de T'Zée… Une population en effervescence car privée de ses droits et de ses richesses ; des clans ennemis ; Ndoki, un sorcier-chaman très puissant ; Mami-Wata, un esprit des eaux séduisant et terrifiant, incorruptible et vengeur ; Muntu et Umuntu, moitié esprits, moitié forces de la forêt, puissants combattants ayant recourt le cas échéant à la magie noire…

Et puis beaucoup, beaucoup d'armes, et beaucoup de haine rapportées par les ambitions frustrées de l'Amérique et de la France qui voyaient en T'Zée un rempart efficace contre les appétits d'ogre de l'U.R.S.S. en Afrique Centrale, et bientôt celui de la Chine avide et aux dents déjà rouges de sang.

Alors, dans la touffeur de la nuit africaine et les fastes des palais, des complots se fomentent et enflent. L'histoire trouve bien malheureusement ses sources dans quelques faits réels survenus entre 1970 et 2000 ; un coup d'état, un régime de parti unique, un pouvoir absolu et la confiscation des richesses de tout un pays par un dictateur nourrissant un délire égocentrique et paranoïaque.
C'est donc un chemin pavés de morts, d'aveux et de déclarations d'amour, attisé par le retour du roi, des calomnies et une malédiction terrible qui entrainent in fine de nouvelles morts et l'expiation de la faute originelle.
La protection des fétiches s'amenuise, le poison est là qui s'insinue doucement, le cycle du Léopard pourrait bien se terminer…

Pour finir, le dessin fait de larges aplats sombres dans des nuances de noirs, de bruns, d'orange et de verts kaki est juste magnifique !!!
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J'ai beaucoup aimé ce roman graphique, qui est une réécriture de la tragédie Phèdre dans une ambiance de fin de règne zaïrois, de fin du monde du président léopard Mobutu rebaptisé T'zée.

J'ai beaucoup aimé l'esthétique des dessins, qui évoquent des ambiances de rêves ou de cauchemars, avec des penchants mystiques. Dans le dossier final, quand l'auteur évoque qu'il avait trouvé les spectacles de catch à Kinshasa proche de l'expérience religieuse, c'est très bien rendu dans la BD. le personnage de T'zée; tout en angle rappelle les autres BDs de Brüno (Tyler Cross ou Atar Güll), en opposition d'Hyppolite et de Bobby qui sont plus en rondeurs.

J'ai trouvé ensuite la réécriture de Phèdre vraiment intéressante, Mami Wata, génie des eaux remplaçant Poséidon et garante de la malédiction qui s'abat sur la famille de T'zée - Phèdre / Bobby arrivant dans la famille après le début de la malédiction. Tout est fluide et psychologiquement très cohérent -ce qui n'est clairement pas toujours le cas pour des réécritures modernes de tragédie antique mais ici tout est juste, le ton, l'ambiance, l'enchaînement. J'ai même mieux compris cette réécriture que le texte de Racine.

On retrouve ensuite l'ambiance de la forêt équatoriale / tropicale africaine avec son atmosphère poisseuse et surtout de fin de règne de potentat africain, avec l'ambassadeur français qui défend la Francafrique (avant on aurait envoyé quelques rafales pour mater les rebelles), les massacres et pillages de certaines factions rebelles qui profitent du chaos, de l'armée qui n'est plus tenu par la poigne de fer de papa-maréchal. Les fétiches sont omniprésents et apportent cette ambiance onirique. Et on vit à la lisière de deux mondes : un qui s'inquiète de disparaître et un qui se réjouit du renouveau promis.

Une très belle découverte que cet ouvrage proposé par le duo Appollo / Brüno dont la lecture nous rend humble en nous rappelant à quel point nous sommes ignorants.
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Superbe BD sur un pays d'Afrique en pleine révolution : le dictateur est sur le point d'être renversé ... un espoir pour le pays? peut-être, mais il n'en demeure pas moins que le chef T'zée n'était pas seul : que va-t-il advenir de sa famille, sa deuxième épouse Bobbi, son fils Hippolyte, ses proches?
Les dessins dans les tons brun, orange et jaune, sont superbes et le récit est très bien construit : une présentation en 5 actes car l'intrigue s'inspire de Phèdre et de l'amour de Bobbi pour son beau-fils. Ajoutez à cela une touche de mythologie africaine avec l'esprit des eaux et la malédiction lancée sur la famille de T'zée et vous obtenez une excellente lecture!
#NetGalleyFrance
#ChallengeNetGalley2022
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Tout d'abord, pourquoi T'zée ? le titre peut surprendre. On se demande, tiens je connais pas la vie de ce personnage. D'ailleurs, a-t-il existé ? Ce n'est qu'après quelques pages, qu'on se rend compte que nous sommes dans un pays d'Afrique imaginaire qui pourrait, dans le fond, être la synthèse de toute l'histoire de l'Afrique subsaharienne postcoloniale. On y évoque la rébellion, le génocide, les enfants endoctrinés et drogués, la corruption, les rivalités tribales.
Cette tragédie est divisée en actes. le trait est relativement simple (ligne claire) pour, selon moi, mettre en valeur les couleurs chaudes de l'Afrique, entre rouge, ocre et orange.
Sans tomber dans une suite de clichés, les auteurs, Appollon et Brüno nous donnent à réfléchir sur le rapport qu'entretiennent ces dirigeants très vite transformés en dictateurs sanguinaires.
L'histoire est celle d'une tragédie africaine, comme le sous-titre nous le précise. Qui est T'zée ? Un chef de guerre, comme il en eut partout en Afrique dans les années 60, qui devint chef d'État (comme on est chef de guerre) avant d'endosser le costume, tel celui de Mobutu, de dictateur sans scrupule. Car depuis 36 ans, il ne partage pas le pouvoir. Celui-ci lui vient des relations qu'il a su tisser avec les puissances internationales dans un jeu d'intérêt (matière première contre dollars et impunité).
Afin de jouir paisiblement de son immense pouvoir, il délocalise son lieu de résidence loin des soubresauts d'une capitale devenue turbulente et source de contestation. le « palais dans la jungle », gigantesque au milieu de nul part, et à l'image de ce qu'il veut paraître, démesuré. Dans ce palais, on ne peut y accéder que par voie fluviale comme pour mieux se couper d'une population assujettie.
Son fils Hyppolite lui sert de successeur afin de pérenniser sa main mise sur un pays qu'il contrôle d'une main de fer. La famille c'est sacré, jusqu'à un certain point.
Son fils a étudié à Paris. Là-bas, en plus d'étudier les grands classiques de la cause africaine côtoie des étudiants africains de la diaspora à qui il n'ose dire qu'il est le fils du tyran.
L'annonce de la mort de T'zée plonge le pays dans un vaste chaos. Son palais devient, suite à sa mort, le lieu de toutes les réflexions et des stratagèmes pour sauver sa peau.
Bobby, la nouvelle femme du Président, de 25 ans sa cadette, est follement amoureuse d'Hyppolite, son beau-fils. Histoire d'amour impossible.
Dans ce palais surprotégé et coupé du monde et des réalités du pays, Hyppolite vit avec ses amis, Walid, un Libanais élevé en Afrique et Arissi, fille d'un héro de l'indépendance Moulala devenu concurrent, donc exécuté pour subversion lors d'un procès rendu public. de là, vient la malédiction, celle de l'esprit des eaux. Tout trois évoquent un plan d'évasion pour le Maroc. Jusqu'au retour du tyran…
L'histoire dans le fond est une mise en parallèle avec la tragédie grecque de Phèdre tout comme avec le combat de catch qui vient clore cette tragédie finement menée.





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J'aime beaucoup la direction que prend l'oeuvre de Brüno. Ici, il retrouve Appollo au scénario, avec qui il a déjà réalisé les séries “Commando Colonial” et “Biotope”. On est loin du clinquant Tarantinesque de la série “Tyler Cross”.
Son graphisme au trait net et aux aplats soignés apporte un force péremptoire au récit, une dureté intransigeante, un ton rude, à l'image de l'écriture ciselée qu'un Laurent Gaudé utilise dans ces romans. La comparaison avec cet auteur ne s'arrête d'ailleurs pas là, l'aventure ici aussi, n'est qu'un prétexte pour un sujet plus universel sur le destin, sur ces personnages qui se sont brûlé les ailes à côtoyer la richesse du pouvoir, sur la fatalité, c'est avant tout une histoire de malédiction, celle de l'Afrique corrompue par les intérêts occidentaux, des alliances hypocrites des plus grands avec des clans choisis pour leur bonheur et leur malheur, mais aussi la malédiction qui entraîne toute la famille avec elle, celle d'être de fils de... C'est une histoire cruelle, violente, une vision du monde pessimiste mais racontée avec la sobriété du théâtre contemporain et le panache de la tragédie classique.
T'zée est évidemment inspiré de Mobutu, mais l'histoire ne cite jamais le Zaïre, se permettant ainsi de nombreuses tergiversations et inventions autour des personnages. On le voit très peu dans l'histoire, la sienne, d'histoire, est racontée de façon symbolique à travers un match de catch. Pendant ce temps-là, on suit quelques membres de son entourage. La prouesse scénaristique est d'ailleurs remarquable, le personnage qui donne son nom à la bande dessinée brille par son absence. Toute l'action aussi est d'ailleurs absente, évoquée par flash radiophoniques, hormis un évènement mineur pour l'Histoire avec un grand H, mais qui est en réalité le véritable noeud de cette histoire. C'est Hyppolite le véritable personnage central, et c'est autour de lui que se focalise la notion de malédiction.
Beaucoup de non-dits, de regards, de temps morts, de silences, il y a une ambiance de torpeur, de lourdeur intense et pesante, on s'aime, on se déteste, mais le grand homme, tel un dieu omniscient et implacable dirige tout par la simple évocation de son nom. C'est l'Afrique et ses étranges destins, de gens qui finissent déracinés dans leur propre pays, dans leur propre famille, c'est l'Afrique des croyances fantastiques, .
C'est une oeuvre qui joue au chat et à la souris avec le lecteur, une tragédie teintée d'exotisme mais surtout pas un récit d'aventure.
C'est “En attendant Godot au Congo”, c'est du Laurent Gaudé ou du Gabriel Garcia Marquez en bande dessinée. Plus je réfléchis à ce que je viens de lire, plus je suis ébloui.
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Le vent tourne pour T'zée. Lui, le dictateur qui depuis son palais présidentiel immense bâti au milieu de la jungle présidait le pays, voit son peuple se révolter. Entre les pro et les contre, la guerre civile fait rage. L'étau se resserre. le chaos étend son emprise.

Toute ressemblance avec une situation réelle n'est évidemment pas fortuite. On peut sans se tromper faire le parallèle avec Mobutu au Zaïre. Les dictateurs font croire qu'ils agissent pour le peuple mais vivent dans l'opulence occidentalisée, se paient des bâtiments à Paris et leurs épouses font du shopping sur la Côte d'Azur.

Dans cette BD, le fils décrié relève le niveau. Il ne crache pas dans la soupe dans laquelle il a grandi et s'est baigné sans véritablement se rendre compte qu'il faisait partie de l'élite. En grandissant, en voyageant, il comprend que sans se confronter à son père, il ne peut pas tout à fait prendre son parti non plus. Avec ses deux meilleurs amis, un Libanais qui a grandi en Afrique et la fille d'un héros indépendantiste, ils tentent de trouver le moyen d'échapper au danger qui les menace.

J'ai adoré cet album, qui retranscrit à merveille la chute d'un grand dictateur, certain de son pouvoir. le contexte politique est brillamment développé et cela donne une bonne idée de ce qui s'est passé, et ce qu'il se passe encore, dans les dictatures africaines, qui trouvent un appui chez les puissances occidentales.

Les dessins de Brüno collent parfaitement au thème : les couleurs, les traits, les décors… Visuellement c'est très immersif.

Je me suis régalée avec cet album passionnant. Un coup de coeur.
Lien : https://lejardindenatiora.wo..
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Lorsque l'on a un âge supérieur à 40 ans, on a tous entendu parler il y a une vingtaine d'années de ces dictateurs qui sombraient avec leurs pays les uns après les autres.
Leur fortune était abondamment détaillée entre hôtels particuliers dans Paris et palais au fond de la jungle !
T'Zée est de ceux-là.
Après avoir dirigé le pays de manière autoritaire, il est renversé par la rébellion et mis en prison.
Dans l'un de ses palais, sa femme Bobbi et son fils Hippolyte tentent chacun à leur manière de trouver la meilleure solution pour s'en sortir.
Il n'y a plus vraiment d'espoir mais ils y croient encore...

En ouvrant cette bande dessinée, vous plongerez directement dans un univers sombre aux couleurs de crépuscule.
Les images se dessinent entourées d'un trait noir et les ombres sont des aplats qui lissent les personnages et renforcent l'atmosphère de fin d'un monde.
Les pages sont dominées par les bruns, le orange, le vert, ce qui donne une unité à cette histoire.
Ces choix graphiques sont audacieux, et les pages d'explication en fin d'album vous permettront de mieux les comprendre.

Le pays décrit ici n'est pas nommé mais on devine qu'il s'agit du Zaïre, bien que cela ne soit pas le plus important.
Ce récit permet aux auteurs de montrer la folie de ces dictateurs, la solitude de leurs familles, le danger permanent qui vient autant de l'extérieur que de l'intérieur.
La paranoïa est constante, elle accompagne la folie des grandeurs et on ne sait plus qui fait quoi.
La mythologie africaine est aussi évoquée dans toute sa puissance.
L'esprit des eaux poursuit T'Zée et les siens, les fétiches mènent la danse.
Et puis il y a aussi Phèdre qui se dessine en toile de fond avec une structure en 5 actes et des personnages ballotés par le destin.
Ainsi, bien qu'Hippolyte tente de s'extraire du schéma imposé par ses origines, il est sans cesse rattrapé et ne parvient pas à en sortir.

Si vous avez envie d'une bande dessinée qui change un peu des schémas habituels, je ne peux que vous conseiller ce bel album qui vous transportera dès les premières pages !
Lien : https://lirerelire.blogspot...
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