Devant la confiserie du coin, s'étalaient les cadavres des trois chevaux que nous avions sorties des escaliers. L'odeur douceâtre de la décomposition nous pénétrait de toutes parts.
Ce récit a été, je crois, la seule joie de tout mon séjour à la cave ! Savoir que ce piano, qui m'avait valu tant d'heures de travaux forcés n'existait plus, me remplissait de satisfaction. Mais je ne fis pas voir mon plaisir, car ma mère pleurait.
Il portait l'uniforme de l'infanterie hongroise, un sac à pain pendu à l'épaule, et son sourire rayonnait comme si le soleil s'était subitement mis à luire dans nos ténèbres. Nous fîmes cercle autour de lui.