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3,82

sur 73 notes
Un jeune garçon narcoleptique, trop grand, introverti et maladroit. Voici le héros de cette histoire. A première vue, rien pour en faire un héros captivant et pourtant l'auteur a ce je ne sais quoi dans son style qui fait que cette histoire d'école se transforme en folle aventure.
Et le timide Magnus s'étoffe au fil des pages. Les personnages secondaires ne sont pas en reste. J'ai particulièrement apprécié l'ambivalent Anton Split, la caractérielle Mimsy, le grand benêt de Vaclav. Bref une joyeuse bande bien mal assortie mais puisque les circonstances l'exigent, il faut bien mener l'enquête et découvrir pourtant les cauchemars investissent peu à peu les rues.
Originale, inventive et rythmée, cette histoire est plein de rebondissements, très facile à lire.
Une aventure fantastique jeunesse comme on les aime et comme les aimera toujours.
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La première phrase :

"Au moment où commence cette histoire, minuit sonne au clocher du lycée des sciences de Friecke."

La dernière :
"C'est peut-être pour ça qu'ils en ont fait la mascotte de l'établissement."
Entre les deux, Magnus Million, un ado de quatorze ans, le futur héritier de la plus grande fortune de Sillyrie. Et pourtant, ce statut ne remplace ni l'affection d'une mère partie trop tôt ni la présence d'un père bien plus préoccupé par son business que par son fils. Ce n'est pas davantage au glacial et sinistre lycée des sciences de Friecke qu'il peut trouver un peu de chaleur.
Un matin, alors qu'il s'est levé en retard, notre jeune héros trouve une solution inespérée pour ne pas louper le début des compositions. Malheureusement, celle-ci se termine en catastrophe et le voilà collé pour 1341 heures ! Il intègre alors le terrible dortoir des punitions où il fait la connaissance, un peu brutalement, avec le gang des Ultras, des gamins orphelins de la Ville Basse qui font régner leur loi sur le lycée.
Pas simple de s'imposer ni de mener l'enquête sur les troublants événements qui ont lieu la nuit quand on est victime de narcolepsie et qu'on s'endort pour un oui ou pour un non ! Magnus n'est pas au bout de ses peines ni de ses surprises !

Un roman jeunesse comme je les aime !

Tout d'abord, l'aventure est menée tambour battant (avec quelques épisodes de sommeil forcé au vu du "petit" souci de notre héros !). Celle-ci implique les élèves du lycée pris, bien malgré eux, dans un sombre complot menaçant la sécurité de l'Etat mais, au-delà, c'est à l'amorce d'une révolution sociale qu'on assiste. Dans cette société inégalitaire et dominée par les hommes, on voit en effet émerger les valeurs de liberté, d'égalité et de fraternité ! S'y ajoute une petite pointe de fantastique avec cette histoire de gaz émeraude surgi des entrailles de la Terre et qui amène avec lui les créatures de nos cauchemars. Et une pincée d'humour avec les interventions sous forme de clins-d'oeil de l'auteur lui-même.

Ensuite, les personnages sont hauts en couleur. Il y a Magnus, bien sûr, tout un poème à lui seul ! Trop grand pour son âge, trop gros, trop peu courageux, il est un peu l'anti-héros par excellence. Et pourtant ! Il faut se méfier de l'eau qui dort ! Il y a aussi Mimsy Pocket qui m'a fait penser à Fiffi Brindacier de par son caractère espiègle et indomptable et Anton Spit, l'Ultra particulièrement attachant.

Quant au cadre, l'atmosphère de pensionnat d'antan est particulièrement crédible et prenante. Avec ses couloirs sombres, son personnel qui l'est encore davantage, ses coins et recoins, ses blagues de potaches, son odeur de cantine, on s'y croirait !

Ajoutons enfin la présence des livres et de la lecture comme moyen de s'émanciper et on aura fait le tour des qualités de cet excellent titre de Jean-Philippe Arrou-Vignod.

"Savoir que les hommes sont ce qu'ils sont ne doit pas nous empêcher de vouloir les changer."
Lien : http://lacoupeetleslevres.bl..
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Quel chouette roman !
Il y a tout là-dedans : aventure, peur, réflexion, belle philosophie, littérature, morale, humour, amour, amitié, rêves et cauchemars.

Je me régale depuis plus de vingt-cinq ans avec les romans de Jean-Philippe Arrou-Vignod. J'en ai lu une vingtaine, dont mes préférés, la série des P.P. Cul vert (pardon Enquête au collège) et celle des Jean-Quelque-Chose. Et celui-ci m'avait échappé. Je voulais le lire depuis quelque temps et je l'ai enfin découvert, avec quel plaisir.
Et je viens de voir que Mimsy Pocket est l'héroïne d'un autre roman, plus récent, Mimsy Pocket et les enfants sans nom, une suite qu'il faut absolument que je lise.

Magnus Million vit dans un pays imaginaire, la Sillyrie, une période qu'on imagine assez lointaine, avant de réaliser que c'est juste le pays qui vit comme dans les temps anciens, alors qu'ailleurs, le téléphone portable existe déjà. Magnus, le plus riche héritier du pays, et sans doute le plus malheureux, souffre de narcolepsie. Mais souffre surtout de l'absence de parents : sa mère morte, son père se désintéressant de lui.
Dans le sinistre collège où il doit suivre de prétendues études, il va faire face à des aventures qui vont révéler à la fois des secrets de famille, et son courage. Un brin de dystopie, un peu de politique dans le meilleur sens du terme, beaucoup d'aventure et de suspens, un bel humour aussi.
Le prologue m'avait paru pas forcément très attirant pour les enfants. Mais j'ai beaucoup aimé le « personnage » du hibou ensuite. Et aussi l'épilogue qui semble reprendre le début, mais avec un étonnant retournement de situation en deux pages.
Un roman qui risque d'être un peu difficile pour les plus jeunes, mais à part ça, qui doit beaucoup plaire, à partir de onze ou douze ans je pense.
Lien : https://livresjeunessejangel..
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L'énorme fortune du jeune Magnus Million, ne le propulsera pas vers les sommets, enfin pas à ce jour. Un des wagonnets de l'énorme « Dragon », toboggan menant de la riche Ville Haute à la modeste Ville Basse,, le conduira en tout cas au travers des murs de son Lycée des Sciences de la ville de Friecke et sa bêtise vers le terrible dortoir des cauchemars. le contrôle de classe est ajourné !
1341 heures de retenues, voici ce qu'a récolté le riche gaillard de quatorze ans. Ainsi a parlé le sinistre proviseur, surnommé le « Croque-Mort ».
Finir avec les pauvres mauvais garçons du dortoir, tout aussi punis que lui mais bien plus redoutables. Tel sera son destin pour cette année privée de cours.
Toutes ses émotions l'appelleraient bien vers les bras de Morphée, comme à chaque fois que sa narcolepsie le tire vers le sommeil bien malgré lui, pourtant l'heure est grave! Elle demande de garder les yeux bien ouverts.
D'étranges apparitions surgissent chaque nuit des brumes verdâtres provenant des marais environnant le dortoir. Des créatures sorties de livres d'imaginaire interdits au Lycée des Sciences et issues de cauchemars qui vont questionner Magnus et son nouveau camarade de fortune le sauvage Anton, surnommé « le Crachat ».
Après les fêtes de Noël, Anton et sa bande de mauvais garçons, « les Ultras », vont disparaître.
Happés par un cauchemar ? Quel sort leur réserve la cupidité de ceux de la Ville Haute ?
Magnus sera diligenté secrètement par la Société Philanthropique, organisme caritatif banni depuis la disparition de la mère de Magnus et vestige d'une ancienne époque de gens, afin de mener l'enquête. Il pourra compter sur la petite et tonique Mimsy Pocket pour assurer ses arrières.
Les révélations ne font que commencer !

Cela commencerait presque comme un roman à la manière d'un Harry Potter avec une école, des pensionnaires, un anti-héros à la chevelure désordonnée qui va devenir héros malgré lui et le symbole d'un renouveau, des créatures effrayantes presque magiques.

Magnus est pourtant un laissé-pour-compte beaucoup plus costaud et riche que le chétif Harry. Magnus se laisse aller à la paresse d'une vie dorée et privilégiée qui ne lui apporte pas le bonheur, son père ne vivant que pour l'argent et travaillant pour en obtenir encore plus. Sa narcolepsie, l'appelant à l'oreiller en dehors des heures habituelles, entretient son acceptation d'une maison immense sans rires ni chaleur parentale. Mr et Ms Carlsen, les employés de maison, feront office de parents de substitution et de réservoir d'amour et d'affection.

En réalité, l'auteur se prend plutôt d'affection pour des jeunes qui ne ressemblent pas à des Ron et Hermione de bonne famille et ce, afin de planter son décor d'injustice sociale nécessaire à l'intrigue.

Nous pouvions trembler au début pour le pauvre Magnus qui subit ses sommeils incontrôlables à des moments critiques, une punition absurdement drôle qui le prive d'instruction et un voisinage pas tout à fait à son image. Anton "le crachat" va rapidement démontrer qu'il ne faut pas se fier aux apparences, sous la couche impénétrable de dureté se cache un garçon sensible et bon finalement. Il soigne Totem le hibou et prend Magnus sous "son aile".

Les différents personnages sont en fait hauts en couleur, dans un univers qui en manque sérieusement, et amusants de contraste. Jean-Philippe Arrou-Vignod s'amuse avec les physiques pour prolonger l'humour et le maintenir dans cet contexte sans pitié. L'impression de légèreté et d'amusement prendra le dessus sur l'idée redoutable du sacrifice des masses populaires par une oligarchie privilégiée.

Dans l'interdiction des romans de la lecture plaisir de cette terrible ville de Friecke (ou entendu Freak en anglais: monstre), l'auteur souligne l'importance élémentaire du rêve, du jeu et de l'imaginaire, des moments de récréation pour faire face à la dureté du monde. La vilenie règne à Frieke, évoquée aussi par le nom de l'autre ville adversaire "Transillyrie" (mélange de la Transylvanie de Dracula et "Silly" en anglais: vilain).

Magnus, jeune et riche aventurier, reprendra la quête de générosité de sa mère et se révélera un compagnon fidèle et valeureux.

Un bon roman d'aventure à la croisée des genres, une excellente histoires à tiroirs qui fera réfléchir sinon frémir de plaisir.
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J'ai eu du mal à finir, la première partie m'a ennuyé, la seconde a un peu plus capté mon attention surtout grâce au personnage de Mimsy Pocket.
Je n'ai pas accroché au personnage de Magnus Million, pourtant il y a une bonne idée de base mais il manque une dose d'humour et l'intrigue est trop superficielle.
Dommage.
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un excellent roman jeunesse, parfois un peu prévisible, mais accrocheur. On a du mal à le lâcher avant de l'avoir fini, et ses 350 pages se lisent très rapidement.
Le plus gros point fort de cette histoire est pour moi les personnages. Notamment le trio de tête, Mimsy, une étrange et renversante( c'est le cas de le dire) jeune fille, très agréable, Magnus, notre héros, un peu bourru, mais au fond très gentil, et enfin Anton Spit. Je ne vous cache pas que ce dernier était mon personnage préféré, maladroit sans l'être, un âge un peu mystérieux, un physique atypique et des fautes d'orthographe adorables. Sans compter sa petite clique d'orphelins de la ville basse, les ultras.
Parlons-en de cette ville : elle est séparée en deux, ville haute et ville basse, riches et pauvres. Les plus riches méprisent les autres, adorent la guerre (qui leur fait gagner de l'argent), méprisent la paix et toutes ces idées stupides sur la gentillesse, l'égalité... Ceux qui s'y intéressent sont rejetés, et finissent souvent par disparaître mystérieusement.
Mais je m'égare.
Je disais donc, des personnages attachants. J'ai d'ailleurs trouvé le petit grand-duc particulièrement intéressant, je suis déçue qu'il ne soit pas plus exploité en dehors des décisions : pas de dialogues, pas d'explications sur lui...
L'histoire en elle-même est très intéressante, pleine de rebondissements parfois inattendus. L'idée du gaz émeraude est à mes yeux très sympathique. le livre n'est ni trop "gentil", ni trop "méchant", un destiné à la jeunesse qui ne tombe pas dans le combat bien mal ça fait du bien.

Pour finir, j'ai adoré la dernière scène de Magnus, qui (spoiler) commence le hobbit à voix haute pour ses amis les Ultras.(fin du spoil) une jolie fin, avec une belle référence.
J'apprécie beaucoup cet auteur, ayant lu un peu plus jeune plusieurs de ses livres comme enquête au collège. Et je trouve son écriture très agréable, je n'hésiterai pas à me replonger dans un de ses livres.


(le physique d'anton spit, sa coiffure crâne rasé avec une petite mèche de cheveux à l'arrière du crâne me rappelle un personnage de roman, mais je ne sais pas qui. Si quelqu'un sait...)
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Un héros qui ne l'est pas vraiment. Une réalité qui se dissout. Un pays des rêves qui s'affranchit du sommeil. Les frontières deviennent floues pour notre plus grand bonheur et non celui de Magnus Million, un jeune garçon narcoleptique et maladroit, confronté à d'étranges phénomènes.
Humour, enquête et suspens se mêlent dans ce récit qui ne nous fera plus prendre nos rêves à la légère
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Magnus Million et le dortoir des cauchemars /
ARROU-VIGNOD, Jean-Philippe
Gallimard Jeunesse - Mars 2011. - 304 p
ISBN : 978-2-07-063890-1 - Prix : 17,50 €

Résumé : Magnus Million, 14 ans, est le fils du très riche industriel Richard Million avec lequel il entretient des relations dépourvues de toute marque d'affection. Il a perdu sa mère, une femme généreuse et idéaliste, dans un accident d'avion il y a déjà 7 ans, mais son souvenir reste très présent.
Magnus vit en Sillyrie, petit état européen. Il est scolarisé au lycée des sciences où se mêlent les Ultras, des élèves de la ville basse, orphelins et pauvres, souvent violents et d'autres de la ville haute comme lui.
Alors que Magnus a été puni et doit purger ses 1340 heures de colle au dortoir des punitions au contact des Ultras, d'étranges phénomènes se produisent : un brouillard vert se lève la nuit, des créatures étranges apparaissent et des élèves disparaissent. Que se passe-t-il en Sillyrie? Une guerre avec le pays voisin semble également se dessiner. C'est à Magnus d' élucider ce mystère avec l'aide de la petite mais bien surprenante Mimsy Pocket.
Mots-clé : REVE ET CAUCHEMAR/POUVOIR/RELATION PERE-FILS/RELATION GARCON-FILLE/VIOLENCE/INEGALITES SOCIALES/AMITIE/ARGENT
Commentaires : Ce livre nous plonge dans un univers fantastique et une ambiance étrange : un pays imaginaire, la Sillyrie qui est le théâtre de phénomènes mystérieux et d'inégalités flagrantes entre le monde de la ville haute et celui de la ville basse et un héros, Magnus, dont la description au début du livre ne laisse pas présager le rôle important qu'il va jouer pour dénouer tout ce qui se joue dans son pays.
Des personnages surprenants, une intrigue qui, bien qu'elle démarre lentement, devrait plaire aux amateurs de récits fantastiques.
Pistes de discussion :
• La quête du pouvoir : jusqu'où ? pourquoi ? par quels moyens ?
• le monde des rêves : comment expliquer certains de nos cauchemars ? Quelle place pour nos rêves dans nos vies ?
• Les rivalités et alliances entre adolescents. La violence scolaire. La vie en internat.
• Les relations père-fils : quels enjeux ? Les conséquences de l'absence de la mère.
Niveau conseillé : 5ème/4ème



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Premier tome que je l'ai lu d'une traite. Histoire bien ficelée et personnages très attachants. Lire la suite dans le deuxième tome : Mimsy Pocket et les enfants sans nom.
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J'affirme que mon mois de février débute plutôt bien avec cette lecture et c'est tant mieux. Au moins, je ne ressens pas le besoin de me fâcher avec les livres pendant un moment, à cause de certaines lectures ennuyeuses et forcément, je vais continuer tout ça. D'ailleurs, il serait bête de ma part d'arrêter sachant que j'ai une masse critique à faire dans les jours à venir. Sinon, je vais tenter de faire une belle chronique même si je suis assez malade en ce moment. Ma petite nièce de bientôt trois mois n'a rien trouvé de mieux que de me contaminer… du coup, on broute des herbes et des plantes dans l'espoir de se sentir mieux dans les heures à venir. Bref, le personnage de Magnus est plutôt attendrissant. Même si c'est un grand peureux, il reste avant tout assez casse cou et il souffre d'un mal qui surgit souvent : la narcolepsie. Concernant Mimsy Pocket, elle reste un personnage haut en couleur et l'univers dans lequel ces deux individus évoluent est une petite dystopie, si je ne me trompe pas. Comme d'habitude, je vais faire ma liste des éléments négatifs et ensuite, celle des positifs.

Ce que je n'ai pas aimé :

- Certaines révélations étaient faciles à deviner, ce qui gâche un peu le plaisir. J'ai découvert très vite l'identité d'un personnage important et j'aurais aimé que cette surprise soit un peu plus dure à trouver.

- La façon dont est utilisée la narcolepsie. Je trouve que l'auteur utilise cette maladie avec mauvais escient. Parfois, elle refait son apparition comme pour clore un chapitre et cela donne une impression d'être là juste pour permettre à l'auteur de passer à autre chose. Par moment, on aurait tendance à oublier que le personnage principal est souffrant.

- le personnage d'Anton Spit. Je pense que c'est l'individu que j'ai le plus apprécié dans cette histoire. Une petite frappe qui fait les pires crasses à notre héros et qui pourtant, apprendra à le connaître et à devenir son ami. Ce que je regrette, c'est qu'on ne le voit pas souvent alors que pourtant, il est très appréciable avec sa maladresse.

- La fin. Je l'a trouve molle et vite expédiée.

Ce que j'ai aimé :

- La taille des chapitres. Des petits, des grands, j'aime quand ce rythme est soutenu et ainsi, j'ai pu apprécier pleinement cette histoire.

- le vocabulaire de l'auteur. Même si ce livre est destiné à la jeunesse, on y trouve une pléiade de mots très compliqués. Même moi, j'ai dû m'armer de mon dictionnaire pour en comprendre certains, ce qui veut tout dire.

- L'introduction de créatures mythologiques. Etant un féru de la mythologie grecque, retrouver certains monstres étaient fort plaisant.

- PAS DE ROMANCE !!! Et ça, c'est le pied. Pourtant, avec deux couples, je l'a sentais venir grosse comme une maison et au final, nada. Un livre sans romance, à mes yeux, cela mérite un petit point supplémentaire.

- Les petites trahisons. C'est quelque chose que j'aime beaucoup lire dans les histoires car elles sont le don de me faire bondir de mon siège. D'ailleurs, à la place de Magnus, je me serais montré beaucoup moins clément car les occasions pour se débarrasser du traître étaient nombreuses. Preuve que j'ai encore du chemin à faire pour être entièrement bon.

En conclusion, c'est un livre jeunesse que j'aurais tendance à recommander aux enfants et aux adultes car l'histoire est sympathique comme tout.
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