Quand les ténèbres viendront

Un chef d'oeuvre d'Asimov ; considéré comme l'une des meilleures nouvelles, si ce n'est la meilleure, jamais écrite. Et pourtant, grand fan du monsieur que je suis, j'ai été déçu. J'entrais dans le récit, mais je n'étais pas "à fond". Et la fin alors ? Ah, la fameuse fin ! Elle ne m'a fait ni chaud ni froid.

Cette nouvelle confirme mes propos (subjectifs) : Asimov est un très bon romancier, mais un mauvais nouvelliste. 😉