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sur 195 notes
Leeds, une grande ville du nord de l'Angleterre, n'est pas réputée pour être super touristique, elle n'est pas décrite en tout cas de cette façon par Kate Atkinson.
Mais j'y serais restée volontiers encore un peu ! Ses policiers, ses prostituées, ses assistantes sociales, ses meurtres, ses enlèvements d'enfants...


Cependant, je dois dire que mon périple a commencé de façon très compliquée. Je m'y perdais complètement, et les personnages – nombreux – ne m'aidaient pas à retrouver le nord... même si j'y étais déjà. Et puis cela ne se fait pas de trimballer le visiteur de l'année 2010 à l'année 1975, de lui faire parcourir les ruelles glauques de Leeds et puis de l'envoyer sur les routes du Yorkshire.
Donc j'ai été obligée de faire une pause et un plan reprenant les divers protagonistes ainsi que les faits sordides, tout en divisant ma feuille en 2, en bonne élève appliquée : 1975 – 2010.


Alors là, ça a été l'illumination ! Tout s'est imbriqué l'un dans l'autre, et j'ai pu commencer à profiter à fond de l'humour de Kate Atkinson, de ses indices nombreux, de ses redites l'air de rien, de son fameux réseau de personnages et d'évènements. Je n'ai plus lâché l'histoire, ni Tracy, ni Jackson, ni Courtney, ni Tilly, ni Barry, ni même le petit chien, ni....non, je vous fais grâce de l'énumération de tous ces gens ayant quelque chose de tragique au fond du coeur ou de la mémoire.


Je vous dis juste qu'il s'agit d'une disparition/d'un enlèvement d'enfant...non, de plusieurs !
Je vous dis juste qu'il s'agit de parents indignes.
Je vous dis juste qu'il s'agit de femmes en mal d'enfants.
Je vous dis juste qu'il s'agit de « putes récoltant ce qu'elles ont semé » (non, ce n'est pas de moi, mais d'hommes machistes)


C'est trop compliqué à raconter, mais c'est simple à proclamer : tragique, comique, tendresse, tout se tricote avec brio pour notre plus grand plaisir.
Ce n'est pas pour rien que Leeds est la ville de la laine depuis des siècles...
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Pourquoi ai-je acheté ça ? Kate Atkinson, bien sûr. Mais alors, pourquoi ne pas l'avoir lu plus tôt ? La quatrième de couverture me fait peur. Je ne sais pas qui les lui écrit, mais il faudrait vraiment qu'elle songe à s'en séparer : « tueurs en série, prostituées assassinées, enfants enlevés, policiers véreux… », il y a là tout ce qui d'ordinaire me fait fuir. Me voilà bien. Allez, fais un effort, la couverture est belle, et puis, avec Kate Atkinson, ça s'est toujours bien passé ! Lis au moins les deux ou trois premières pages… Année 1975, Bye Bye Baby au sommet du hit parade, le quinzième étage sans ascenseur où doivent se rendre un gars et une fille un peu trop dodus pour l'exercice, lui se souvenant qu'il a été, à une autre époque, ailier au rugby et elle se demandant « s'il était possible de mourir de faim tout en souffrant de surcharge pondérale ». Pas de doute, nous sommes bien dans l'univers de Kate Atkinson. Mille excuses, Milady, d'avoir douté de vous. J'ai lu cinq pages et je sais déjà que ça va encore être un excellent moment de lecture …
C'est une histoire de kidnappeurs, enfin presque. Elle, Tracy la policière, « achète » sur impulsion une enfant visiblement maltraitée pour la somme de trois mille livres. Quant à lui, Jackson Brodie le détective, c'est un petit chien qu'il a arraché à son tortionnaire. Sans transaction financière, juste quelques coups de poing, histoire de lui faire passer l'envie de maltraiter des animaux sans défense. Il y a Hope McMaster qui espère retrouver son passé et ses vrais parents. Il y a Tilly, l'actrice qui perd la mémoire et Linda, l'assistante sociale qui ne veut pas se souvenir. Il y a des policiers dont certains sont à la retraite. On ne sait pas grand-chose mais on se doute que leur casier n'est pas vraiment immaculé. On mélange le tout, on saupoudre d'humour anglais, on assaisonne avec le talent de Mrs Atkinson et on a une énigme policière dans laquelle des destins apparemment étrangers vont finir par se croiser ... sur un quai de gare, en particulier. Les thèmes et décors récurrents de l'auteur sont bien présents : enfance maltraitée dans des familles pauvres, gens de bonne volonté qui font ce qu'ils peuvent pour donner un peu d'espoir et de tendresse. Ils savent bien que leurs efforts sont dérisoires mais ils les font quand même avec constance. Des héros fragiles, eux-mêmes abimés, qui sont terriblement humains et sympathiques. le cocktail est passionnant, l'humour désabusé toujours présent adoucit un peu le tableau. On aimerait donner un coup de main à ces deux kidnappeurs pour la bonne cause. Mais on n'est qu'un modeste lecteur, alors on lit, on fonce vers la conclusion en espérant qu'ils vont arriver à leurs fins en déjouant les complots des âmes noires.
Ah, j'allais oublier ! Il y a le chien, le petit clébard du début. Apparemment il s'appellerait L'Ambassadeur et, croyez le ou pas, il est presqu'aussi futé que Milou, celui qui sort souvent d'embarras son détective préféré. Vous verrez !
Il faut aussi que je vous dise que … Tracy a longtemps cherché l'âme soeur :
« C'était quand, la dernière fois qu'elle était allée au restaurant avec quelqu'un ? Il y a deux ans ? Avec ce type de l'agence de rencontres, chez Dino's à Bishopgate ?... "Vous êtes sacrément balèze, avait-il déclaré quand ils s'étaient rencontrés pour l'apéritif chez Whitelock's.
_ Ouais. Vous me cherchez ?" avait-elle répondu.
Après ça, franchement, les choses étaient allées de mal en pis. »
…qu'elle y a renoncé… mais qu'elle surveille quand même sa ligne :
« Son estomac gargouillait comme une vieille tuyauterie. Elle était au régime cottage cheese et pamplemousse depuis une semaine. Elle se demandait s'il était possible de mourir de faim tout en souffrant de surcharge pondérale. »
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J'avais beaucoup aimé Dans les coulisses du musée du même auteur, et c'est l'envie de découvrir un peu plus de son oeuvre qui m'a poussé à lire Parti tôt, pris mon chien.

L'intrigue se divise en deux temps : ce qui s'est passé en 1975, et ce qui se passe aujourd'hui. En 1975, une équipe de police découvre le cadavre d'une femme, morte assassinée depuis 3 semaines, dans son appartement. Un enfant de 4 ans est retrouvé vivant dans l'appartement. L'affaire sera vite classée. Elle restera cependant très présente dans la mémoire de Tracy Waterhouse, alors jeune recrue de la police, présente sur les lieux du crime.

Depuis quelques semaines, Jackson Brodie, détective privé, est engagé par une jeune femme recherchant ses origines. Adoptée très jeune, elle a envie de savoir d'où elle vient.

Mais tout n'est pas aussi simple qu'on pourrait le croire. le roman foisonne d'histoires secondaires, de faux-semblants, de personnages qui se croisent et qui vivent leur vie, en marge de l'intrigue principale.
C'est très riche, mais il faut bien rester concentré sous peine de perdre le fil. C'est d'ailleurs ce que je reproche à ce roman : la complexité des rapports entre les protagonistes et le fait que l'on se perde parfois dans les différents récits.

Roman difficile mais roman très fort, roman pessimiste sur l'âme humaine, sur la condition de l'enfant, sur le système juridique et policier. Reste toutefois une petite lueur d'espoir pour la petite Courtney, l'un des personnages principaux.
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Lors de mes promenades dans Babelio, je découvre des critiques qui me font entrevoir de nouveaux auteurs et rechercher certains livres. Premier Kate Atkinson, avec un titre inattendu « Parti tôt, pris mon chien ».
Tout commence par un meurtre. Mais ça c'était avant. Puis, on enchaîne.
L'ex-inspecteur Jackson Brodie, devenu détective privé, enquête pour retrouver des parents biologiques. Tracy Waterhouse, retraitée de la police, chef de la sécurité dans un centre commercial, « achète » Courtney à sa mère droguée et prostituée pour la sauver de la maltraitance maternelle. Tracy sait que c'est illégal et vit dans l'angoisse. On fera aussi connaissance avec Tilly, une actrice de série télé, guettée par Alzheimer, avec un commissaire de police crucifié par l'accident qui a coûté la vie à son petit-fils et avec, en fait, une multitude de personnes d'ailleurs, ce qui finit par m'étourdir. J'ai repris le livre, l'ai recommencé et je me suis forcée à lire. Mais sans conviction.
L'intrigue manque de vivacité, reste confuse. Trop d'histoires s'entremêlent, trop d'aller retours dans le temps. C'est pourtant bien écrit, avec style et parsemé de notes humoristiques, de remarques caustiques et de citations littéraires. Mais je n'ai pas aimé. Non que ce soit mauvais, c'est mou, il ne se passe finalement que peu de choses et je n'ai pas accroché.

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Voilà une auteur avec laquelle les retrouvailles sont toujours un plaisir.
Même si j'ai un faible pour ses premiers romans, j'apprécie aussi la série Jackson Brodie, inaugurée par l'excellent La souris bleue. J'ai failli me fâcher avec Les choses s'arrangent mais ça ne va pas mieux - que j'ai trouvé un peu fouillis et ennuyeux -, je me suis réconciliée avec A quand les bonnes nouvelles ? - plus palpitant -. Et je récidive avec le dernier - une balade tranquille dans les pas de Brodie dans tous les machinshire - on va pas cracher dessus -, un gentil toutou à nos basques, sur des chemins bien balisés entre passé et présent, à la recherche de la solution des intrigues, à première vue distinctes, mais qui finissent bien sûr par se rejoindre.

"Jackson repart pour une nouvelle chevauchée."

Une ancienne policière à la retraite qui se fait un coup de calcaire, une dame des antipodes à la recherche de ses origines, des policiers véreux, une actrice vieillissante qui yoyote du ciboulot, une gamine goulue et championne de l'adaptation tous terrains, un chien intelligent, de l'humour et un bon vieux Brodie au mieux de sa forme. Mettez tout ça dans un shaker, secouez, et dégustez.

On pourrait croire que Kate Atkinson écrit toujours le même roman, mais non. C'est sans doute ce qu'on appelle le talent, ça a un petit goût différent à chaque fois. Sans doute une question de dosage, à moins que ça ait à voir avec l'ordre d'introduction des ingrédients. En tout cas, ça s'avale sans soif. Mais au fait, d'où lui vient cette obsession pour les disparitions d'enfants ???


Lien : http://moustafette.canalblog..
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Comme d'habitude, Kate Atkinson entremêle les destins de divers personnages sans jamais se perdre et, surtout, sans jamais perdre ses lecteurs.
C'est ainsi que nous suivons simultanément les aventures de Tracy Waterhouse, de Tilly (une actrice assez âgée qui semble avoir des problèmes de mémoire) et celles de Jackson Brodie, le détective habituel d'Atkinson.

Les lecteurs qui apprécient les lectures faciles ou les récits "chronologiques" (j'entends par là les histoires qui nous sont racontées dans un certain ordre, sans aucun flash-back ou sans digression) n'aimeront pas ce roman. Car, comme dans les autres récits de Kate Atkinson, on est un peu promenés dans tous les sens : on visite la région natale de Jackson, le plateau du tournage de la série télé dans laquelle joue Tily et on prend même la route avec Tracy et la petite fille qu'elle a achetée à sa mère ! Car oui, j'ai oublié de vous le préciser : Tracy achète une gamine à une mère apparemment négligente/abusive, dont Tracy a fait la connaissance lorsqu'elle travaillait dans la police. Car, avant de surveiller un centre commercial, Tracy était flic. Et faisait bien son boulot.

Rocambolesque non ? Mais je vous rassure : Kate Atkinson mène tout cela de main de maître et, au final, les différentes aventures de ses nombreux personnages ne tombent jamais dans le ridicule. Au contraire, puisqu'on s'attache à tous ces "héros" abîmés par la vie. Jackson, qui n'a jamais de chance et qui reste hanté par le décès de sa soeur, Nihm. Tilly, qui ne sait plus trop ce qu'elle fait et qui ressasse ses souvenirs, ceux-ci lui revenant plus facilement en tête que le menu de son dernier repas. Et Tracy, cette ex-flic bourrue mais généreuse.

On ne peut pas dire que l'histoire de tous ces personnages se termine bien. Mais certains d'entre eux s'en sortent. C'est le principal et cela fait chaud au coeur.
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On ne peut trop en dire sur l'histoire sans risque de priver le nouveau lecteur de son plaisir. Sachez simplement que Jackson Brodie enquête dans tout le Yorkshire pour retrouver les parents biologiques de Hope MacMaster, une jeune femme adoptée par des Anglais qui se sont établis en Nouvelle-Zélande. Pendant ce temps, Tracy Waterhouse, une ancienne commissaire obèse reconvertie dans la sécurité d'un centre commercial de Leeds, fait un achat surprenant qui va bouleverser sa vie. Ajoutez à cela une vieille actrice qui perd la mémoire, des enfants enlevés ou abandonnés, un petit chien maltraité, des policiers véreux, un tueur en série, un vieux gangster rangé des voitures ou presque… Autant de pièces d'un puzzle qui nous balade entre 1975 et aujourd'hui et qui s'emboîtent les unes dans les autres, qui tissent autant de fils entre les personnages et se réunissent à la fin comme par magie, en ayant bien malmené nos neurones entretemps.

Le tout évidemment à la sauce Atkinson, plein d'humour, truffé de petits coups de griffe sur la société anglaise, et de références littéraires, Shakespeare et Emily Dickinson en tête, mais pas seulement. (On sent d'ailleurs la qualité de la traduction, où toutes ces références typiquement anglaises nous sont expliquées en notes.) « Jackson Brodie, l'homme aux semelles de vent » et Tracy Waterhouse nous emmènent dans une sorte de road-movie décalé, et finiront par faire la lumière sur une histoire assez glauque. Sans perdre une parcelle de ce flegme et de cet humour britanniques imparables.
Lien : http://desmotsetdesnotes.wor..
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Je sais que je n'ai aucune crédibilité quand je parle de Kate Atkinson dans la mesure où je suis complètement amoureuse d'elle. Et de Jackson Brodie. Et de Tracy. Et de Courtney. Et aussi (et surtout) du chien, le chien comme dans "Parti tôt, pris mon chien".

Je suis amoureuuuuuuuuuuuuuuuuuseeeeeeeeeeeeeeee! Ca veut dire que j'ai adoré retrouver le style Kate, ses fulgurances. Ce que j'aime chez Kate, c'est sa modestie, contrairement à d'autres il n'y a pas de signaux lumineux dignes d'un atterrissage de Boeing 747 pour dire : "attation les yeux, je vais vous péter une phrase d'une qualité hallucinante à graver dans le marbre tellement qu'elle est belle; bougez pas ça vient..." Non, chez Kate, c'est naturel. Les effets sont divers : on s'attendrit, on rit, on se pâme... elle sait varier les plaisirs dans le génie.

Bref je me suis attendrie, j'ai ri, je me suis pâmée... mais... ho purée, j'en reviens pas d'écrire ce que je vais écrire... mais question intrigue, pfuiii... je suis... mes doigts refusent de taper sur les touches... déçue...

Ca me crève le coeur de l'écrire mais... mais bordel, je ne vais pas être de mauvaise foi, ça ne me ressemble pas (arrête de rire, toi là bas dans le fond, j'te vois).

Bon voilà... emberlificoté pour pas grand chose au final... des intrigues non élucidées, des pistes lancées et non exploitées, un personnage qui, à mon sens, ne sert à rien...

Attention : ça vaut la peine d'être lu, plus que des centaines de choses que j'ai lu ces derniers mois (ok, je n'ai lu que des dizaines) parce que niveau personnages, Kate elle déchire grave, elle défonce tout... C'est incroyable ce talent, incroyable... Jackson devient poète et lettré en plus d'être ironique, drôle, tendre, torturé, désabusé (...) : il cite allègrement Emily Dickinson...Tracy, femme au coeur mou dans un corps de lanceuse de poids slovaque, est juste... pfuiii... exceptionnelle. Oui je sais, je répète ce que j'ai dit au début mais vous comprenez, il faut que je noie ma petite réserve du milieu de note sous des avalanches de compliments (mérités) pour ne pas que vous vous détourniez de Kate. Je pense à ceux et celle qui ne l'ont jamais lue parce que les autres savent, ils savent que lorsqu'on lit un Atkinson, quand on rencontre Jackson Brodie, on est ferré à tout jamais.

J'ai lu le grand format grâce à Dame Cathulu et je sais maintenant qu'elle fait des petites cornes aux pages, j'ai pu suivre son rythme de lecture, c'est rigolo (Quoi??? on s'amuse comme on veut!!!)...

Bon, sinon, la traductrice n'est pas une traductrice, c'est un génie (mais c'est quoi cette histoire de clou????)

Pour Atkinsoner avec sérieux, il faut être organisé, la série des Jackson a un ordre : "La souris bleue", "Les choses s'arrangent mais ça ne va pas mieux", "A quand les bonnes nouvelles", "Parti tôt, pris mon chien" (le prochain, ce sera le jackson's five!!!!!!!!!!!!!!) (Jackson n'aime pas les points d'exclamation, faut que j'arrête...)


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Je ne connaissais pas l'auteur - autrice Kate Atkinson. Néanmoins l'envie de la lire persistait en moi. Ayant trouvé ce titre intrigant surtout parce qu'il incluait l'histoire d'un chien, j'ai décidé de le lire. En vérité si je suis mitigée et que mon avis est partagé sur ce roman, je l'ai lu d'une traite. Les 488 pages sont passées très vite. Il y a au début des personnages à foison et des intrigues secondaires en surnombre ce qui rend le livre confus. Mais on se doute bien que chaque destin est important et que tout est lié. C'est l'une des forces du roman comme l'une de ses faiblesses. A force de flash-backs vers les années 70, des allers et retours incessants du passé lointain au passé proche puis au présent, il ne faut pas être à moitié endormie pour lire ce livre. C'est donc une lecture intense. Je n'ai pas aimé le personnage féminin de Tracy, qui est, sans révéler quoique ce soit, celle qui achète un bien illégalement et qui n'a pas de profondeur malgré les efforts de l'auteur pour la décrire comme dure à cuire. Cependant le deuxième héros Jackson est vraiment sympathique. Il sauve un chien appelé “Ambassadeur” et découvre toutes les joies d'être papa d'un toutou. En ce qui concerne les intrigues elles sont évidemment intéressantes. Principalement parce que l'on veut finir le livre pour savoir ce que deviennent Jackson et son chien, Tracy et son achat impulsif et illégal, mais aussi pourquoi tous ces personnages sont liés et qui a tué la mère /prostituée du début du roman ? Bref c'est un roman sûrement addictif puisque je l'ai terminé en 2 journées et que je voulais absolument connaître la fin malgré mon antipathie pour l'héroïne et le trop plein de références culturelles et littéraires difficiles à digérer lorsqu'on rentre d'une journée épuisante ;)


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Découverte des plus surprenantes. Ce roman est un joyeux bordel dans le sens où les protagonistes font des choses complètement invraisemblables. Pour autant on se laisse entraîner dans l'histoire qui vire au loufoque car on veut savoir comment les personnages vont s'en sortir. Roman étonnant et atypique.
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