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J'avais vu passer la comm' d'actusf sur cet ouvrage sans trop savoir qu'en penser (Actusf fait la promo de ses auteurs, et ils ont raison, mais c'est parfois un peu exagéré) ; des collègues ne m'en ont pas fait des retours folichons, mais comme il est apparu dans la sélection du Prix Imaginales des Lycéens, je me suis donc lancée dans la lecture. Et je ne le regrette pas !

Cet ouvrage, dont le titre se réfère à un roman américain dont on entendra beaucoup parler dans l'histoire, La Lettre écarlate, se présente comme une enquête. On démarre sur les chapeaux de roue avec une scène de crime atroce dans un théâtre, que l'on découvre avec l'agent Thomas Jefferson (comme le président) et son équipe de choc. Il y a beaucoup de violence dans ce roman, et j'ai été surprise de sa sélection au PIL : outre le crime sanglant, il va y avoir de nombreuses agressions, tentatives (ou réussite) de viol, et descriptions détaillés. Ça a pu me mettre mal à l'aise à certains moments - je me sais toutefois très sensible de ce côté là.

Les personnages sont toutefois très sympathiques, Thomas Jefferson en tête, avec son humour pince-sans-rire. Il apporte une fraicheur très bienvenue - la petit running-joke "Comme le président ?" passe très bien, et n'est pas lourde grâce au procédé du carnet. Bref, dans l'ensemble, j'ai trouvé l'humour plutôt fin - et nécessaire - au milieu de toute cette noirceur.

A première vu on se demande où est l'aspect SFFF de cette histoire, qui se déroule comme un roman policier, et nous entraine dans la moiteur d'un été à Providence. L'ambiance est bien posée, et le contexte détaillé ; on sent que Philippe Auribeau a bossé le sujet, et qu'il s'est documenté. Il y a aussi de nombreuses allusions à Lettre Écarlate (le roman), et je déplore de ne pas l'avoir lu - je pense que je suis passée à côté de beaucoup de choses. On rencontre également des visages connus du milieu littéraire...

Quant à l'enquête, elle piétine longtemps, mais ça n'est en rien ennuyeux, car l'action y est pour autant omniprésente. Jusqu'à un final inattendu, et qui met le point final sur nos questions, nos attentes... Tout en nous laissant une liberté folle pour interpréter ce dénouement ouvert. Ça m'a à la fois frustrée, et beaucoup plu.

L'ensemble est très bien ficelé, et je suis restée accrochée tout au long de ma lecture. Ma seule déception va à la 4e de couv', qui, finalement, en dévoile déjà un peu trop. Heureusement, je ne l'ai lu qu'après avoir fini le roman !
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Le mythe du Cthulhu, qu'est-ce que c'est ? Je sais que pour les lecteurs qui ne lisent pas forcément de la SFFF, cela peut paraitre un terme un peu farfelu. Voici donc un petit point info Wikipédia (qui a un article assez complet pour vulgariser la thématique). « le mythe de Cthulhu est un univers de fiction collectif, développé par de multiples auteurs à partir de l'oeuvre de l'écrivain américain Howard Phillips Lovecraft. le monde du mythe de Cthulhu est un reflet du monde réel, mais où des entités extraterrestres — aussi puissantes qu'anciennes — cherchent à rétablir leur ancienne domination sur le globe terrestre. L'une d'entre elles est Cthulhu, qui apparaît dans la nouvelle L'Appel de Cthulhu (1928) et dont August Derleth a repris le nom pour désigner l'ensemble du « mythe ».

Ce roman est très bon ! Je ne connaissais pas du tout Philippe Auribeau mais j'ai adoré ce que j'ai découvert : la plume, l'univers, l'enquête… Bref, on ne s'ennuie pas une seule seconde.

On fait la rencontre de Thomas Jefferson (oui, comme le président) qui est membre du BOI (Bureau Of Investigation) qui est l'ancêtre du FBI (Federal Bureau of Investigation). Jefferson est envoyé sur une scène de crime particulièrement horrible : une troupe de théâtre a été littéralement massacrée sur scène lors d'une répétition de leur pièce de théâtre : La lettre écarlate. Une seule personne survit mais reste dans un état inquiétant.

Thomas Jefferson et son équipe (composée de son chauffeur et d'une détective privée) : Caleb Beauford et Diane Crane vont enquêter et essayer de comprendre qui et comment on a pu commettre un tel massacre. Honnêtement, l'auteur maitrise très bien les scènes sanglantes. Moi qui suis une petite nature, je n'ai jamais eu la sensation que l'auteur en faisait de trop : c'est équilibré et il y a des tripes là où il faut. Je pense que je suis un bon curseur pour celles et ceux qui seraient frileux pour cette lecture à cause de cela.

L'ambiance est très bonne. Nous sommes dans les années 1930 en Amérique. Nous avons donc encore ce regard particulier sur les hommes & femmes noirs. Nous sommes aussi en plein dans la prohibition. On a cette atmosphère particulière qui se dessine : le brouillard, ne pas vraiment savoir où l'on va, à qui on peut faire confiance… Bref, on est vraiment dans une enquête des années 30.

Les personnages sont très intéressants. le trio principal est vraiment bien dessiné et se complète parfaitement. Il n'y a pas de différence entre Thomas, Caleb et Diane. Diane est acceptée sans aucun souci même si, dans ces années, la place de la femme peut être un sujet un peu tendu… Ajoutons à cela le fait que Caleb est noir et que Thomas fait partie d'une grande lignée et nous avons un trio atypique mais équilibré. Cependant, il ne faut pas oublier que l'on est dans les années 1930 : si le trio se traite avec respect et à égalité, il reste quand même des thématiques comme la xénophobie, le racisme, le machisme… Sinon, ce n'est pas drôle !

Nous avons aussi un panel de personnages secondaires qui se dessinent : principalement des suspects. Les personnages sont bien travaillés mais peut-être un peu attendus : le gardien italien, le directeur du théâtre… Je m'attendais à ce genre de caractères.

La narration va nous proposer de suivre le parcours de ces trois personnages dans cette enquête. J'ai adoré suivre Diane dans son enquête sur le passé d'un des personnages. Purée, j'ai adoré et détesté l'auteur en même temps sur cette période de lecture. de plus, l'ajout du mythe de l'homme noir vient ajouter une dimension fantastique très intéressante. En revanche, la fin m'a laissée perplexe. Je n'ai pas trop compris les dernières pages. Cela n'a pas gâché mon entrain pour ma lecture vu que c'est la fin mais j'avoue que je reste un peu sur ma faim pour le coup.

L'auteur fait le choix de chapitres courts qui vont dynamiser le roman. En effet, je trouve que le roman ne souffre d'aucune longueur. On va au principal sans oublier de mettre quelques détails pour épaissir un peu l'ambiance. C'est rondement mené par une plume fluide, dynamique et précise. le style est bon et je relirai un roman de l'auteur sans aucun problème.

En définitive, malgré quelques personnages un peu attendus et une fin qui me laisse sur ma faim, je reste agréablement surprise par ma lecture. En effet, mélanger l'oeuvre de Lovecraft avec La lettre écarlate est une idée formidable. le côté fantastique s'ajoute par petites touches à l'intrigue de base. C'est très intelligent. L'atmosphère est fine et bien détaillée. On est vraiment dans une enquête des années 1930 qui est cassée par le trio atypique que l'auteur nous propose de découvrir. J'aime beaucoup l'idée de venir casser les stéréotypes des enquêteurs qui fument le cigare sous un lampadaire sous la pluie calfeutrés dans leurs impairs. C'est chouette ! L'enquête est très bien menée, il y a beaucoup d'actions, cela permet au lecteur de ne pas s'ennuyer. Bref, je recommande fortement !
Lien : https://satinesbooks.wordpre..
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Avis de Lauryn :

Pour ce roman, l'auteur s'est inspiré des écrits de Lovecraft et de “La lettre écarlate”, par Nathaniel Hawthorne. Si l'histoire de ce dernier est importante dans l'intrigue du roman, ce n'est pas le cas de l'oeuvre de Lovecraft. Ceux qui éviteraient ce livre de peur d'être perdus par un rappel constant de l'univers de Cthulhu peuvent donc être rassurés : il n'y a aucun risque et, même si je connais les ouvrages de Lovecraft, j'ai apprécié ce point, car je sais que cela peut vite devenir très lourd.

Philippe Auribeau situe donc son intrigue dans la ville de Providence, en pleine prohibition, et il a pris un soin particulier à la description de cette période particulière de l'histoire américaine. Tout y est : armes, voitures, conventions sociales, racisme, problèmes économiques, organisation des speakeasies pour contourner la prohibition d'alcool… Il n'oublie rien, sans pour autant s'appesantir dessus, au risque d'alourdir son roman. Car le rythme est un point important dans cette histoire particulièrement sanglante, empreinte de mystère et de folie.

Dès le début, le lecteur est plongé dans l'horreur : un massacre odieux dans un théâtre, où gravitent des personnages peu recommandables et particulièrement antipathiques. Très vite, le lecteur est submergé par les mensonges, les secrets abominables et les délires d'une secte aussi dangereuse qu'énigmatique. Il devient difficile de discerner une raison logique à tous ces meurtres, et une évidence finit par se faire jour : la folie est derrière tout cela. Dès lors, les pages se tournent dans l'attente du final, qui ne peut être qu'en accord avec le reste. Les pages défilent à toute vitesse, l'histoire est addictive et la fin, très réussie, offre même le luxe d'une interprétation différente en fonction de votre perception des choses. J'ai trouvé cela vraiment excellent !

Côté personnages, le trio d'enquêteurs est aussi étrangement assorti que bien décrit : un agent fédéral issu d'une famille riche, une enquêtrice privée au caractère explosif et un chauffeur noir, ami du premier. Tous sont bien travaillés, différents sans être trop éloignés les uns des autres, et cette enquête va les marquer profondément. D'ailleurs, c'est un autre point très positif du roman : l'auteur n'hésite pas à malmener ses personnages sans se soucier de leur statut de “héros”. Vu l'histoire, c'est un choix logique et salutaire, car il sert vraiment l'intrigue de manière à accrocher le lecteur pour ne plus le lâcher.

Le style, très dynamique et “rentre-dedans”, offre lui aussi un cadre idéal à l'histoire pour se développer. J'ai parfois été surprise par la construction des phrases, avec une absence de rappel du sujet en début de phrase, mais au final, ça ne m'a pas dérangée plus que cela.

Si vous aimez les histoires sanglantes, bâties sur un fond de légendes et de personnages timbrés, ce roman est fait pour vous. Lancez-vous, vous ne serez pas déçus !
Lien : https://www.bit-lit-leblog.c..
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Le commentaire de Cathy :
À la lecture du résumé de ce roman, j'ai été intriguée, la couverture ne donnant aucun indice, il me tardait de commencer ma lecture.
Thomas Williams Jefferson, agent du Bureau of Investigation, se rend à Providence dans un théâtre, où un massacre à eu lieu.
Plusieurs personnes faisant partie de la troupe ont été retrouvées dépecées, démembrée.
Les acteurs travaillaient sur l'adaptation d'un roman célèbre " la lettre écarlate ". Jefferson, accompagné de Diane Crane et Caleb Beauford, va mener l'enquête qui va se montrer complexe.
Cette histoire se déroule en 1931 donc on peut dire que cela change par rapport au roman que j'ai l'habitude de lire.
C'est un excellent roman policier que nous a concocté Philippe Auribeau, j'ai aimé suivre l'enquête menée par Jefferson, une enquête à l'ancienne sans toutes les techniques que nous connaissons actuellement.
L'intrigue prend un tournant un peu fantastique à un moment, ce que j'ai beaucoup apprécié.
L'auteur m'a fait découvrir cette époque, ces années 30 en pleine prohibition, où la place des femmes est loin d'être idéale et où la ségrégation est énorme.
L'équipe d'enquêteurs m'a énormément plu, ils forment un trio hors du commun pour l'époque, mais tellement complémentaire.
J'ai passé un excellent moment de lecture, je me suis retrouvé plongée au coeur d'un suspense, très prenant, il m'a été impossible de découvrir le coupable avant la toute fin.
Lien : http://lesmilleetunlivreslm...
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On est ici en présence d'un thriller horrifique/fantastique de très bonne qualité, avec des personnages bien campés, une intrigue bien ficelée et relativement complexe, des clins d'yeux à la littérature américaine (Lovecraft, Hawthorne), des meurtres sanglants à souhait, une enquête menée tambours battants par un excellent trio inspecteur du BOI/détective privée/homme de main afro américain, le tout dans une ville de Providence à l'époque de la Prohibition et des speakeasies…

Mais ce roman, c'est surtout une vertigineuse descente vers une partie bien sombre de l'histoire des États-Unis, celle des sorcières de Salem et du culte de l' »homme noir »…
Lien : https://chroniquesdacheronti..
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Ecarlate est un roman noir et fantastique qui s'appuie sur l'intertexte lovecraftien et le roman La Lettre écarlate de Nathaniel Hawthorne pour dépeindre une enquête policière dans la Providence des années 1930 effectuée par un trio d'enquêteurs pour résoudre un crime sordide.
Le triple meurtre du théâtre du Palace permet à Philippe Auribeau de dépeindre les problèmes de société qui secouent et gangrènent les Etats-Unis de l'après Grande Dépression, tels que le racisme, le sexisme ou l'homophobie, auxquels vont se confronter les trois personnages du récit, Thomas Jefferson, Diane Crane et Caleb Beauford. Ces enquêteurs plongent alors dans une horreur bien humaine, qui affecte leurs corps et leurs esprits, au point de remettre en cause la fiabilité de leur narration et leur perception d'événements pour le moins ambigus.
Si vous cherchez un roman qui joue avec l'oeuvre de Lovecraft, je vous le recommande !
Chronique complète et détaillée sur le blog.
Lien : https://leschroniquesduchron..
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Globalement, j'ai aimé.

Trois corps sont découverts affreusement mutilés dans l'enceinte d'un théâtre. L'enquête commence dès les premières pages et c'est au travers de celle-ci que l'on fait connaissance avec les trois personnages principaux.

Mais, avant de parler des personnages, parlons de l'époque : les années 30 aux États-Unis. Une période durant laquelle le sexisme, le racisme ainsi que l'homophobie étaient monnaie courante et je dirais normalisé.

Pour en revenir aux personnages principaux, Thomas Jefferson, agent du BOI (avant que cela ne devienne le FBI) emploie son ami Caleb Beauford, officiellement en tant que chauffeur, ainsi que Miss Crane qui est détective. Un sacré trio pour l'époque puisque constitué d'un homme blanc fortuné, d'un homme noir et d'une femme. Grace à eux, on se rend rapidement compte des mentalités (moyenâgeuse et abjectes) d'une partie des gens de l'époque.

Thomas est un personnage intéressant qui n'a aucun problème à enfreindre les règles pour parvenir à ses fins, et le fait qu'il possède une fortune personnelle l'y aide forcément.

J'ai trouvé que c'était surtout le sexisme qui était mis en avant dans ce roman. Heureusement pas au travers de tous les personnages, mais les opinions et le comportement de certains m'ont clairement scandalisée. Que voulez-vous… je suis une femme et je ne pouvais pas ne pas me projeter.

Les trois personnages sont attachants et l'enquête se déroule au travers de leurs découvertes respectives. Les meurtres semblent avoir un lien avec un livre et un mystérieux homme en noir. Ce roman oscille subtilement entre réel et surnaturel et jusqu'au dénouement, on ne sait pas quoi en penser.

C'est la fin qui m'a posé problème. Je me demande encore ce que j'ai pu louper, car il se passe à un moment donné (lequel ?) quelque chose d'important qui fait basculer les choses… sauf que je n'ai pas réussi à me l'expliquer. Et, en ce qui concerne la toute dernière scène, il se passe quelque chose que j'ai trouvé intéressant, mais la réaction du personnage m'a laissée dubitative.

C'est plutôt étrange comme sentiment. Il y a certaines actions que je voyais venir, mais… en même temps… il me manque des éléments pour que cela me paraisse plausible.

En tout cas c'est un roman qui ne m'a pas laissée indifférente, ce que je trouve très bien.
Lien : http://lesvoyagesdemaplume.c..
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Polar mâtiné de fantastique, Écarlate est un roman sombre qui fleure le sang et les viscères. L'intrigue tourne autour de la Lettre écarlate de Nathaniel Hawthorne. Si vous ne l'avez pas lu, je ne pense pas que cela vous empêchera de savourer Écarlate, mais que ce soit l'occasion pour vous de découvrir cet excellent classique de la littérature américaine si bien écrit et passionnant.
L'histoire se déroule pendant la Prohibition juste après la grande crise de 29. Thomas Jefferson, agent fédéral, est chargé d'enquêter sur un crime atroce perpétré dans un théâtre. Les acteurs répétant une adaptation de la Lettre écarlate ont été sauvagement mutilés, une seule d'entre eux a survécu. La police locale n'est guère enthousiaste à l'idée d'enquêter, elle a trouvé un coupable idéal en la personne du gardien, mais c'est compter sans la détermination de Jefferson à découvrir la vérité. Flanqué de ses acolytes, Diane Crane et Caleb Beaufort, il entraîne son lecteur sur des pistes de plus en plus tortueuses.

La suite sur mon blog...
Lien : http://livropathe.blogspot.c..
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Je viens de terminer ma lecture qui m'a été envoyée dans le cadre d'une masse critique.
Nous suivons un agent fédéral qui est appelé à enquêter sur le meurtre de plusieurs acteurs de théâtre qui ont été assassinés en 1931 alors qu'ils travaillaient sur la pièce la servante écarlate de Hawthorne. J'ai beaucoup aimé l'atmosphère lourde qui entoure le roman, les imbrications littéraires avec la servante écarlate, mais aussi Lovecraft. J'aurais aimé que Philippe Auribeau creuse un peu plus cet aspect littéraire dans l'enquête. Je suis un peu mitigée par contre sur la fin du roman que j'ai trouvé un peu précipitée et qui ne m'a pas complètement satisfaite.


Pour résumé J'ai bien aimé ma lecture et je pense que ce livre est intéressant si vous aimez les enquêtes policières. Par contre si ce que vous recherchez c'est le fantastique, vous risquez d'être un peu déçu en effet, le fantastique est disséminé uniquement par petites touches tout au long du roman pour ensuite prendre de l'importance vers la fin.
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