AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations sur Orgueil et préjugés (908)

Le défunt Mr Darcy m'avait désigné pour la prochaine vacance du meilleur bénéfice de son domaine...
Mais quand la vacance se produisit, ce fut un autre qui obtint le bénéfice....
Il y avait par malheur, dans le testament, un vice de forme, qui rendait stérile tout recours.

NDL : Je pense que Wickham et son père sont des manipulateurs qui ont trompé le vieux Darcy, lui imposant par la flatterie une sorte de légataire universel ( Wickham fils ) et que Darcy junior n'a fait que de récupérer le bien de famille. Mais je ne suis qu'à la pages 95, Peut être me trompe-je ...
Commenter  J’apprécie          318
La seule chose dont il fût redevable à sa femme était l'amusement que lui procuraient son ignorance et sa sottise. Ce n'est évidemment pas le genre de bonheur qu'un homme souhaite devoir à sa femme, mais, à défaut du reste, un philosophe se contente des distractions qui sont à sa portée.
Commenter  J’apprécie          310
La requête de sa fille ( car c'est ainsi qu'on pouvait la considérer) demandant à être de nouveau admise au sein de sa famille avant de partir pour le Nord, se heurta d'abord à un refus catégorique. Mais Jane et Elizabeth, qui souhaitaient toutes deux, pour ménager la susceptibilité de leur sœur et maintenir son importance dans le monde, que ses parents fissent autre chose que lui tourner le dos lors de son mariage, sollicitèrent M. Bennet si instamment, et cependant si raisonnablement et avec tant de douceur, de les recevoir à Longbourn, son mari et elle, sitôt après les noces, qu'il fut gagné à leur opinion et persuadé d'agir selon leurs vœux. Leur mère eut donc la satisfaction de savoir qu'elle pourrait montrer sa fille mariée dans le voisinage avant son bannissement dans le Nord.

Volume III, Chapitre 8.
Commenter  J’apprécie          310
La bonne nouvelle se répandit bientôt à travers la maison et, avec une célérité comparable, dans tout le voisinage. Les voisins l'accueillirent avec la philosophie qui convenait. Certes, il eût été plus propice à la conversation que Mlle Lydia Bennet fût devenue une femme de mauvaise vie ou, parmi les autres hypothèses la plus séduisante, eût été retranchée du monde et condamnée à vivre dans quelque ferme lointaine. Mais le mariage fournissait bien de la ressource aux cancans, et les bons vœux que les méchantes langues des vieilles dames de Meryton avaient précédemment formés pour la prospérité de Lydia ne perdirent que peu de leur acrimonie à ce changement de circonstances parce que, avec un tel mari, son malheur était considéré comme certain.

Volume III, Chapitre 8.
Commenter  J’apprécie          310
- Comme j'ai agi de manière méprisable ! s'indigna-t-elle. Moi qui tirais fierté de mon discernement, qui estimais tant mes capacités, qui ai souvent dédaigné l'esprit de charité de ma sœur et contenté ma vanité par une méfiance inutile et blâmable.

Volume II, Chapitre 13.
Commenter  J’apprécie          310
En vain ai-je lutté. Rien n’y fait. Je ne puis réprimer mes sentiments. Laissez-moi vous dire l’ardeur avec laquelle je vous admire et je vous aime.
Commenter  J’apprécie          290
Quand je dis qu'il gagne à être connu, je ne veux pas dire que ses manières ou sa tournure d'esprit s'améliorent, mais qu'en le connaissant plus intimement, on est à même de mieux l'apprécier.
Commenter  J’apprécie          290
- Vous aviez précocement résisté au pouvoir de ma beauté. Quant à mes manières... de ma conduite envers vous on peut dire à tout le moins qu'elle avoisinait toujours l'impolitesse, et je ne vous adressais jamais la parole sans sembler désirer davantage vous tourmenter que vous plaire. Soyez franc : m'admiriez-vous pour mon impertinence ?
- J'avais de l'admiration pour votre vivacité d'esprit.
- Vous pouvez tout aussi bien parler d'impertinence. Cela y ressemblait beaucoup. Le fait est que vous en aviez assez de la civilité, de la déférence, des attentions multipliées. Vous étiez dégoûté des femmes qui par leurs paroles, leurs airs, leurs réflexions quêtaient uniquement votre approbation.

Volume III, Chapitre 18.
Commenter  J’apprécie          290
N'est-il pas malheureux que vous ayez toujours une bonne réponse à me donner, et que je sois assez raisonnable pour m'en contenter?
Commenter  J’apprécie          280
Ne songez au passé que lorsque vos souvenirs sont agréables.
Commenter  J’apprécie          280






    Lecteurs (51621) Voir plus



    Quiz Voir plus

    Mr Darcy fan club quiz

    Elizabeth Bennet est immédiatement conquise par le charme et l'intelligence de Mr Darcy.

    Vrai
    Faux

    10 questions
    2424 lecteurs ont répondu
    Thème : Orgueil et préjugés de Jane AustenCréer un quiz sur ce livre

    {* *}