Trilogie new-yorkaise - Intégrale

Paul Auster est mon auteur fétiche par excellence (j'ai une étagère spéciale pour lui dans ma bibliothèque et je l'ai rencontré en 2008) mais je suis toujours restée hermétique à la Triologie. Heureusement que j'ai lu L'invention de la solitude en premier :-)

C'est bien écrit et je me suis laissé prendre au premier de ces romans sans être vraiment intéressé, pour l'amusement de ces identités gigognes. Une fois terminé, je ne sais pas très bien ce qu'il me reste de ce texte déroutant, si ce n'est une impression inconfortable et floue d'incertitude, d'identité variable et d'absurde. le deuxième roman est construit de la même manière, mais le premier m'ayant en quelque sorte initié, le déroulement m'a semblé plus simple et plus prévisible. du moins pour le déroulement du récit, car sur le fond, la finalité et les conclusions de l'expérience restent nébuleuses et chacun y trouvera ce qu'il veut. le troisième semble plus intelligible au départ, mais se termine dans un subtil mélange avec les deux premiers sur une fin tout aussi énigmatique. L'atmosphère qui se dégage de l'ensemble est intéressante avec une remise en cause de ce que chacun croit être, mais passé la curiosité, je reste sur ma faim. Heureusement que je n'avais pas commencé Paul Auster avec ce livre, car je n'aurais sans doute pas eu envie de découvrir ses autres romans.

Je me suis ennuyé... Pis encore, j'ai l'impression d'avoir perdu mon temps !

"Paul Auster, le Patrick Modiano New Yorkais"

Auster le New Yorkais et Modiano le Parisien ont presque le même age, la même allure, le même amour pour leur ville et ses rues et le même style: forme simple et directe, fond tortueux, à la limite de la compréhension.
Cette trilogie New Yorkaise, c'est presque "Pour que tu ne te perdes pas dans le quartier". Ca commence pareil, par un coup de téléphone qui annonce une enquête dans les rues de Paris ou ici de New York, qui peu à peu s'égare et devient incompréhensible et ennuyeuse malgré une écriture impeccable.

Donc: si vous voulez vous faire une idée positive de Paul Auster, évitez ce roman et lisez "Brooklin Follies".

J'ai dévoré 4 3 2 1 de Paul Auster et je me suis jeté avec enthousiasme sur la trilogie new-yorkaise, d'autant plus que j'adore la ville de New-York. Hélas, je n'ai pas (du tout) été convaincu. J'ai arrêté le livre après une centaine de pages.

J'ai été désarmé par le style du récit (notamment le discours de Peter Stillman ), l'intrigue en général et le personnage principal auquel je ne me suis pas du tout identifié. J'ai eu l'impression que le livre s'orientait vers des digressions et des analyses linguistiques, ce qui ne m'a pas intéressé plus que cela. Dommage !

Je me suis arrêtée vers la 20ème mn (livre audio). Je me suis dit que ce livre ne valait pas que je lui consacre mon temps. Déjà vers le 16è mn j'avais craint le pire (Queen faisait « ses affaires dans la salle de bain » … « devrait se lever sans s'essuyer ») mais quand peu de temps après le narrateur (qui est devenu Paul Auster) se demande comment la femme de Peter était quand elle était déshabillée (alors qu'il venait pour son mari – sic -), alors... je me suis dit « ras le bol » de ce genre d'auteur(e) qui ramène toujours la femme à un objet sexuel. Vraiment, je ne supporte plus ces artifices dans des romans. Je ne veux pas participer à cela. C'est du remplissage stérile. Etc.

non terminé !! Lu 72 pages seulement/450 , mais Je n'arrive pas à accrocher à l'histoire. Cet auteur m'avait bien plu il y a quelques temps, n'est-ce plus le cas actuellement ? À réessayer plus tard …

Lugubre.