Roman allégorique, où tout est dans le titre, la mémoire vive, triste et enfouie d'une ville -Oran- et de tous ses "Djaafar".
L'eau suit son cours et le retour aux sources est inéluctable.
Jamais écrit dans le roman, cet adage que devait dire le grand père "Ne restent dans l'oued que ses pierres" revient en écho à chaque page...
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ce roman revient sur l'origine de la ville d'Oran et son fondateur Djaffar l'Andalou.
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" C'est là, disait le vieillard en désignant l'immeuble de la rue en pente, c'est là que Djaffar a bâti sa maison au bord de l'oued. C'était la première maison de la ville, de notre ville et tu comprends maintenant pourquoi elle porte son joli nom: les Deux Lionceaux, Wahran, Oran."