Tony a connu Véronica durant ses années d'étude, il n'est jamais arrivé à la comprendre, leur relation est bizarre, elle se donne à lui lorsqu'ils ont rompu. Tony apprend que Véronica sort avec son ami Adrian. Il leur envoie une lettre assassine où ils ne leur souhaitent aucun bonheur. Des mois plus tard il apprend qu'Adrian s'est suicidé. La vie continue, Tony la mène calmement, tranquillement, même son divorce se passe bien. La retraite suit le même chemin jusqu'au jour où il reçoit une lettre d'un notaire lui apprenant qu'il a hérité d'une petite somme et d'un journal de la part de la mère de Véronica. Il est surpris et souhaite récupérer le journal, c'est celui d'Adrian. Véronica ne lui envoie qu'une feuille, elle a brûlé le reste. Tony souhaite la rencontrer, elle n'a pas changé, toujours aussi froide et agressive. Les souvenirs de Tony remontent et il cherche à savoir ce que contenait le journal.
Livre moyen qui n'a pas su me captiver malgré un résumé alléchant.
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Quelle deception , je ne me suis pas passionnée pour cette histoire.
Pourtant , les critiques, le sujet ,le mot du libraire.....tout était présent .
Tony ne m'a pas touché , il m'a parfois même agacé, et comme pour aimer une histoire , un roman il faut en aimer les personnages .....
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L'Histoire n'est pas très prenante
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Tony, sexagénaire retraité, se souvient de ses années "lycée".
Il a mené une vie plutôt morne. Son ex-petite amie, véronique, vit avec son ex-copain Adrian (celui-ci se suicide à 26 ans). Tony a écrit à Adrian et Véronique, une lettre terrible qui ressort "40 ans" plus tard. Tony raconte sa vie, mais sa mémoire est-elle si parfaite??
le début est opaque, difficile de rentrer dans cette "histoire"
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Tony Webster, le narrateur du roman, est un jeune retraité sexagénère.
Tony fait défiler le film de sa vie : ses copains de lycée à Londres, ses études d'histoire à Bristol, son mariage puis son divorce sans drame d'avec Margaret qui lui a donné une fille, Susie, et avec qui il est resté en bons termes, etc. Tony se souvient de la "sylphide" Veronica, son flirt dans les années 1960, qui dansait si bien, mais qui avait fini par lui préférer son meilleur ami, le ténébreux et brillant Adrian Finn. En apprenant cette idylle, Tony, en rage, leur avait adressé une lettre odieuse. Or, peu après, Adrian s'était donné la mort... Culpabilité, incompréhension, oubli. Quarante ans plus tard, ce passé remonte à la surface et incite Tony à reprendre contact avec Veronica pour connaître enfin la vérité.
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Un roman qui m'a véritablement laissée sur ma faim. Dommage.
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