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4,23

sur 347 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Christian Kovak, médecin urgentiste, n'est pas au mieux de sa forme. Un peu agoraphobe, il a déserté les couloirs de l'hôpital pour dorénavant consulter en ligne. Qui plus est, il mélange, dans un cocktail explosif, médocs, drogue et alcool. Une situation qui inquiète ses parents. D'ailleurs son père, bien qu'habitant loin, décide de lui rendre visite. Un tête à tête qui n'aura pas lieu puisqu'il est victime d'un accident de voiture et meurt sur le coup, l'autre véhicule ayant visiblement fui. Devant l'écran de son ordinateur, il remarque un étrange rendez-vous en pleine nuit, de la part d'un certain Yesfir Fammous. le motif de cette consultation est on ne peut plus inquiétant puisque l'auteur l'informe que son père n'a pas été victime d'un accident mais d'un meurtre...
Au commissariat, le lieutenant Audrey Valenti, de la brigade Évangile, se rend sur la scène d'un accident : un TER a percuté une femme. Retrouvée coupée en deux. Sur place, les premières analyses montrent que la jeune femme ne s'est pas suicidée mais noyée. Étrangement, le meurtrier semble avoir laissé quelques indices volontairement...

Après "Le jour du chien" et "La nuit de l'ogre", voilà enfin le dernier volet tant attendu de cette trilogie mettant en scène le médecin Chris Kovak, le lieutenant Valenti et le Chien dont, évidemment, l'on apprend l'identité. Outre cette fin inattendue, Patrick Bauwen réussit parfaitement à nous embarquer une nouvelle fois au coeur de sombres histoires de meurtres, de vengeance, de chasse à l'homme, de société secrète, de secrets de famille et de … béhourd ! L'intrigue, parfaitement huilée et rondement menée, mettant en avant Kovak et Valenti, se révèle diaboliquement addictive. Campé par des personnages parfaitement dépeints, que ce soit le torturé Chris, la tenace Audrey, l'insaisissable Batista ou l'effroyable Chien, ce roman, porté par une plume chirurgicale et dense, ainsi que des dialogues percutants, clôt en apothéose cette trilogie.
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Memento mori.
Souviens-toi que tu vas mourir.
Sur ce, belle journée à tous.

Chris Kovak est au fond du seau.
Devenu agoraphobe, le gars parcourt sa maison en long, en large et en travers tout en tentant de se soigner à grandes rasades d'alcool et de brassées de médocs.
Pour un médecin, ça la fout mal, je trouve.
Avec un tel moral, on se dit que les jours à venir ne peuvent tendre que vers le mieux.
C'est là qu'intervient le double effet kiss-cool.
Le premier fait de ta vie un enfer.
Le second, histoire de se démarquer défavorablement de son frangin, fait désormais de toi et tous tes proches des cibles mortelles.
Allez, bon courage, Chris.
Nous sommes de tout coeur z'aveque toi.

Bauwen, j'aime.
La rime est nase mais toujours d'actualité.

L'heure du diable vient clôre une trilogie de très haute volée.
L'auteur aura su, une fois encore, perdre son lectorat pour mieux le surprendre.
Le programme est copieux.
Où il y est question de société secrète, d'historique familial contrarié, de Béhourd (sport existant réellement que les personnes atteintes d'ostéogenèse s'empresseront de rayer de leur wish-list), de tueur en série diabolique et de bien d'autres thématiques facétieuses parfaitement amalgamées par le chef Bauwen pour faire de vos nuits des parenthèses désenchantées.

Le ton est vif, alerte, alternant magistralement temps forts majoritairement sanglants avec accalmies bienfaisantes histoire de se poser un chouïa.

Les questionnements induits dans les deux précédents tomes trouvent ici toutes leurs réponses.
Et heureusement, aurais-je presque envie de gloser.

Bref, c'est très, très, beaucoup bien, encore.
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Après le jour et la nuit, voici l'heure.

Troisième tome mettant en scène Chris Kovak, médecin urgentiste devenu enquêteur malgré lui. le Chien, le méchant ambivalent de la série, n'a décidément pas l'intention de le laisser en paix.

Le Kovak du début est pourtant loin, sa part d'ombre ayant pris le dessus et il n'est justement plus que l'ombre de lui-même. L'homme dynamique à laissé place à un être plein de doutes et de peurs, cloîtré chez lui ; agoraphobie.

Une première mise au point : un bon point (et une image) pour l'auteur qui a réussi son affaire, ce roman ravira les lecteurs des deux précédents livres tout en captivant ceux qui arrivent en route. Ce n'est pourtant pas le moindre des exploits.

Voilà un nouveau roman qui répond totalement aux codes du thriller, meurtres, tension, rythme, surprises, retournements de situation… Mais la patte Bauwen, inimitable, est bien là : sa verve, son bagou à travers ses personnages et leurs dialogues. Ces échanges qui rajoutent tellement de sel à une intrigue étonnante.

Pour le coup, l'ambiance générale est différente des deux précédentes enquêtes. Dépressive, anémiante du fait de l'état de Kovak, plus sombre en général. Et c'est bien cette atmosphère qui rend le roman si prenant, parce qu'elle est en opposition avec une action qui ne faiblit pas.

Il serait injuste de dire que Kovak est seul. Audrey Valenti, lieutenant de la Brigade Évangile, spécialiste de la Sûreté des Transports Parisiens, et ses collègues, sont impliqués en parallèle. Chris et Audrey, choc (anaphylactique) qui va bouger les lignes (de vie).

On est loin de l'intrigue à encéphalogramme plat, ça bouge, ça pulse, ça surprend, ça choque, ça émeut, ça touche.

Tout a été plus ou moins écrit en matière de thriller, il ne reste que le talent pour arriver à sortir du lot. Et une voix. Patrick Bauwen a les deux. C'est sans doute son esprit de médecin (dans son autre vie) qui le rend capable d'inventer des histoires aussi dingues. C'est évidemment son empathie qui lui permet de donner vie à des personnages auxquels on s'attache tant et qui ont une personnalité marquée.

Je dois dire que l'état de délabrement de Kovak, et sa manière de se battre contre ses démons, m'aura beaucoup touché. Et c'est un ressort narratif diablement stimulant.

Avez-vous déjà entendu parlé du béhourd ? Une activité méconnue qui s'apparente à un sport de combat (mais pas en kimono ou en slip). L'uniforme requis est l'armure médiévale et les accessoires qui vont avec. L'histoire va faire entrer en confrontation nouvelles technologies et activités bien plus anciennes.

Je prends le pari que vous ne verrez rien passer des 475 pages de ce roman sous adrénaline (et amphétamine). C'est prenant au possible, étonnant et bien vu (il n'y a bien qu'un passage que j'ai trouvé vraiment too much).

L'art du thriller est un exercice de précision, chirurgical. Il faut savoir gérer l'urgence, ne pas perdre le rythme, tenir la distance. Docteur Patrick Bauwen est un expert dans la discipline, et ce roman en est une nouvelle preuve réjouissante et captivante. L'heure du diable aura l'heur de plaire à tous les amateurs de thriller, ce n'est pas un leurre.
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Atteint d'une sévère agoraphobie, Christian Kovac ne sort plus de chez lui. Il recourt à des livreurs pour s'approvisionner, et il exerce son activité de médecin par téléconsultations. Un étrange patient le soumet cependant à de surprenantes épreuves : il lui pose une question dont la bonne réponse conditionne la survie d'un tiers. Il ne s'agit pas d'un simple jeu : lorsque le Docteur Kovac ne trouve pas la réponse, la cible est exécutée, et sa mise à mort filmée puis envoyée à quelques personnes…

L'enquête de police s'avère vite très mouvementée. Un peu trop à mon goût, les scènes d'action prenant parfois trop de place et manquant de crédibilité.

Ceux qui ont déjà lu d'autres ouvrages de cet auteur trouveront probablement, comme moi, qu'il les construit souvent avec la même structure, ce qui nuit nécessairement au suspense. Cela ne m'a pas empêché d'apprécier cette lecture, rendue très agréable par le style et par l'alternance entre le récit de Kovac et celui de l'enquête de police, ces histoires se rejoignant inexorablement.
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Victor Novak, gentil professeur toujours rieur, qui résout tous les problèmes, sillonne la France sur sa moto. STOOOP !!

Erreur sur la personne : Chris Kovak est un médecin urgentiste, devenu enquêteur malgré lui. Maintenant, il a quitté son poste des urgences, il est déprimé, agoraphobe et n'ose plus sortir de chez lui.

Drogué aux médocs et autres substances qui feraient remuer la queue des chiens policiers, alcoolo, il reste confiné chez lui à se lamenter, à se torturer l'âme et à mesurer les mètres qu'il arrive à faire dans son jardin.

Si on en faisait une série, est-ce qu'elle serait bonne ? Je n'en sais rien, mais assurément, elle ne serait pas « tout public »… Ce que je sais, c'est que ce pitch donne un super roman addictif qu'on a du mal à lâcher avant la fin.

Chris n'est plus que l'ombre de lui-même, l'ombre d'un chien, l'ombre de ma main lui ferait peur et son agoraphobie le ronge. Va falloir se sortir les tripes et faire preuve d'ingéniosité pour enquêter à nouveau car le Chien est de retour et les défis sont là.

L'auteur mélange habillement des moments plus calmes avec ceux plus speedés et quand on pense qu'on joue dans du beurre, le lecteur n'est jamais à l'abri d'un revirement de situation ou de l'enquête qui prend un tout autre chemin que celui auquel il aurait pensé.

Les personnages sont bien travaillés, on s'y est attachés aussi, on les connait, on prend plaisir à les retrouver, même cabossé, en proies à des doutes, à la vindicte populaire qui augmente, à cause des réseaux sociaux qui surfent sur les émotions des gens.

Ce n'est pas le premier auteur qui nous met en garde contre les dérives du Net, contre le pouvoir immense du Web, contre ces réseaux sociaux qui n'ont de sociaux que le nom et qui servent plus à monter les gens entre eux, à diviser plutôt qu'a rassembler, sauf si c'est pour un lynchage car pour ça, il y a des gens prêts à se rassembler.

Moi, ça me glace lorsque je lis des appels aux meurtres, aux viols et j'en passe. Mais effectivement, je ne les utilise pas pour vilipender Pierre, Paul ou Jacques. Juste pour poster mes chroniques littéraires et mes bilans.

Le suspense est présent durant tout le roman, sans jamais qu'il ne diminue d'intensité. Ce thriller choral nous fait entrer dans les pensées de différents personnages, dont le fameux Chien, dont on se demande bien qui il est et je vous avoue que j'ai suspecté tout le monde.

Alors que j'étais plongée dans le récit, me rongeant les doigts à cause de l'adrénaline et du suspense, l'auteur est arrivé par derrière et m'a taclé sévèrement. Triple carton rouge ! Violent tacle qui m'a envoyé valdinguer cul par-dessus tête. Je ne l'avais pas vu venir et tant mieux car j'apprécie les surprises violentes dans mes lectures.

Un thriller addictif, réfléchi, engagé, possédant de multiples pistes qui nous emmènerons sur différents chemins à la poursuite du Chien, ce tueur que l'on ne sait attraper et d'autres encore qui ne sont pas des anges de sainteté.

Sans compter qu'il n'est pas le seul à foutre le bordel, que vous en apprendrez plus sur un sport de combat, le béhourd et sur comment faire des vidéos qui donnent l'impression que ce sont les flics qui vous ont attaqué… (à ne pas faire !)

Tout le monde est suspect, l'auteur joue avec sa narration, faisant osciller nos convictions sur qui est coupable et qui ne l'est pas. Il joue aussi avec sa manière de nous conter son histoire, jouant avec la pédale des gaz, rétrogradant l'allure de temps en temps, avant de nous faire bondir ensuite. C'est méchant pour le tensiomètre, entre nous, mais excellent pour le plaisir de lecture.

Un dernier tome qui clôt cette trilogie de la meilleure manière, qui est différent du précédent et qui peut se lire indépendamment des autres, mais cela vous donnerait l'impression d'arriver à une fête sans en connaître les principaux protagonistes et il vaut mieux les avoir rencontré au meilleur de leur forme.

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Encore une très bonne lecture avec ce troisième tome de Patrick Bauwen, j'aime toujours autant la plume de l'auteur et je me régale de certains passages que j'ai noté en citation, après avoir beaucoup apprécié les précédents, j'ai décidé de me lancer un pari stupide a moi-même en étant sur de le perdre.

Allez soyons joueuse si je le trouve au Relay de l'aéroport je l'embarque avec moi, bien sûr il etait bien présent donc direction l'avion a mes côtés ou j'en ai lu la moitie du decollage a l'atterissage, regrettant que mon vol ne soit pas plus long.

Il est difícile de résumé un tome 3 sans spolier les precedents tomes, ici nous retrouvons Chris Kovakqui n'est pas au meilleur de sa forme, nous retrouvons également Audrey Valenti lieutenant de police, il est également question du Chien, de Behourd, la traque du tueur va passer par différent pays et pistes.

J'ai beaucoup aimé en connaître plus sur certaines 'fraternités ' et j'ai aimé les chapitres courts et les révélations de ce roman.

Encore un três três bon Patrick Bauwen qui va rejoindre les deux premiers dans ma bibliothèque en attendant un jour de pouvoir le faire dédicacé comme les precedents tomes.
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Dernier épisode de la trilogie Evangile.

Toujours aussi bon thiller, il contient la formule magique :
une trame bien ficelée, des rebondissements et des retournements de situations jusqu'à la fin.

J'avais l'impression d'être au cinéma.

Les personnages sont étudiés et tellement attachants, tous.

Les mots sont fouillés étudiés et le rythme est infernal.
J'avais beaucoup moins aimé celui du milieu; La nuit de l'ogre. Mais celui-ci, lu bien des années après sa sortie, était très bien.

Une critique mentionne des problèmes de crédibilité sans les décrire, je serais curieuse de savoir.


D'un point de vue personnel, je retrouve Christian et Audrey, c'est principalement pour eux que j'ai lu le 3ème vu ma déception du deuxième.

Réussi selon moi.
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Un polar efficace, bien ficelé et haletant.
Chris Kovak ne sort plus de chez lui, il mène ses consultations par visio ; il est agoraphobe et un fou prend contact avec lui.
Audrey Valenti est appelée sur ce qui semble être un suicide ; une femme vient d'être déchiquetée par un train.
Bien sûr, les deux événements vont se rejoindre et ces deux-là vont devoir mener une enquête sur les chapeaux de roues ; il y a urgence, des vies sont en danger.
En toile de fond, de l'ésotérisme, des secrets de famille, une société secrète et des zinzins qui s'adonnent à un sport de combat médiéval.
On s'attache aux personnages et à leur histoire.
Un suspense assez classique dans sa construction, avec un style agréable et percutant.
C'est rythmé, sanguinolents et truffés de rebondissements.
Un policier qui se lit sans reprendre son souffle.

Lu dans le cadre du Grand Prix des Lectrices Elle
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Après le jour du chien en 2017, La nuit de l'ogre en 2018, Patrick Bauwen signe en 2020 L'heure du diable troisième opus de ce qu'il nous avait annoncé comme une trilogie.
On a connu Chris Kovak en bien meilleure forme. Il est addict aux médicaments et aux substances illicites, affligé de claustrophobie entraînant quelques amnésies. Il ne pratique la médecine que par téléconsultation. Il va cependant se livrer à sa propre enquête, notamment sur la mort de son père, totalement inexplicable, à la suite d'un message personnel de la part du « chien ». Alors ce « chien » … ; victime ou coupable ou encore infiltré chez les policiers à l'origine de fuites ou justicier ? Une bien étrange affaire qui démarre dans les bois par la confrontation d'une fliquette, Audrey, avec des adeptes de la reconstitution historique de combats moyenâgeux. En toile de fond une carrière à préserver pour le fiancé d'Audrey, futur Procureur de Paris et des souvenirs d'enfance de Chris baignant dans une confrérie type « fraternité médicale » déviant de sa fonction initiale. Des personnages ambigus et troublants et beaucoup d'hémoglobine.
Cet opus est annoncé comme le troisième et dernier de la trilogie : comment notre urgentiste (rappelez-moi la profession de l'auteur ?) s'en sortira-t-il …ou pas ? Sans divulgâcher, je peux dire qu'il n'est pas prêt à reprendre une activité hospitalière …
Complexe ce roman par le choc des ambiances, des intrigues imbriquées mais diablement efficace ! Je l'ai trouvé différent des deux premiers opus mais très agréable moment de lecture.
Notez que Patrick Bauwen devrait être le parrain de l'édition 2023 du salon Polar Osny
Lu en version numérique


Lien : https://collectifpolar.blog/..
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Résumé : Après avoir aidé les enquêteurs dans l�ire pre𰇎𰇞nte, nous retrouvons un docteur Kovak au plus mal, dépressif jusqu𠆚u trognon, agoraphobe, drogué. Il n’officie plus aux urgences mais en téle〜onsultation depuis chez lui, où un mystérieux patient le contacte.
En parallèle, Audrey Valenti et la brigade Évangile travaillent sur la de〜ouverte du corps d’une femme déguise〞 en sorcière. Par chance, il y a beaucoup d’indices, voire même un peu trop, comme s’ils avaient été laissés à leur attention. le Diable vient d𠆚pparaître dans le paysage, pour le pire.

Mon avis : Nous voilà donc réunies de nouveau, nous les Thriller Queens, quatuor de l𠆞nfer, afin d�hever cette trilogie dantesque. Pour rappel, nous avions adoré les deux premiers tomes, que nous avons dévoré. Ce dernier « chapitre » promettait du lourd, on allait enfin de〜ouvrir l’identité du Chien, fil rouge et grand me〜hant de cette aventure. Déjà dans le tome pre𰇎𰇞nt, l𠆚uteur nous avait distillé quelques indices par-ci par-là, mais le doute était entier. Quant à notre docteur Mamour, Chris Kovak, on le retrouve en très mauvaise posture, le pauvre a totalement la〬hé la rampe et est au fond du sac. Comme dans les pre𰇎𰇞nts livres, les points de vue des protagonistes se succe𰃞nt et rendent la lecture addictive ; difficile de s𠆚rrêter à la fin d’un chapitre, car on a le droit à des mini cliffhanger à répétition. J𠆚i parfois eu un peu de mal à suivre, entre les retours dans le passé et les Russes. Je n𠆚vais pas imaginé du tout ce dénouement, ni l’identité du Chien. J𠆚i été moins prise par cette affaire que les pre𰇎𰇞ntes, même si c㉺ reste une très bonne lecture pour ma part. On se trouve un peu désempare〞s, de quitter ces personnages.
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