La ballade de l'enfant gris

J'ai beaucoup aimé la plume de l'auteur. La façon dont il racontait son histoire et formait ses phrases, ses mots. C'est également en soit une belle histoire. Mais je reste cependant perplexe concernant son cheminement, j'ai trouvé que cette histoire était quand même relativement confuse.

Je vous avoue ne pas trop savoir quoi penser de cette lecture. Je n'ai pas été transportée. Peut-être un peu déçue ? Mais en même temps ravie de voir que Baptiste Beaulieu m'a encore donné à réfléchir et à observer le monde différemment.
Nous suivons une histoire en deux temps : avant et après la rupture. Noah, le patient et Jo le médecin.
Jo part en quête de l'histoire de Noah. J'ai beaucoup apprécié les réflexions faites autour de la maternité.
Pour autant, je trouve que ça n'est pas le meilleur ouvrage de l'auteur. Je m'attendais à mieux.

Je ne connaissais Baptiste Beaulieu que de nom quand j'ai découvert "La ballade de l'enfant gris" chez Oxfam. J'ai voulu voir de quoi il retournait sachant que l'auteur est aussi médecin.

L'enfant gris, c'est No (Noah), 7 ans. Il se trouve à l'hôpital à cause d'une maladie du sang. Sa mère vient le voir très rarement ce qui lui vaut des regards noirs et des remarques du personnel hospitalier.

L'enfant aurait besoin d'une greffe, mais sa mère n'est pas compatible et son père est inexistant.

Un jeune interne en pédiatrie, Jo, se prend d'amitié pour l'enfant et enrage de voir que le petit est seul la plupart du temps.

Maria est la mère du petit. Elle écrit l'histoire de sa vie et de la naissance de l'enfant dans un carnet. Ce sont les messages de la mère que j'ai préférés.

Au début, je n'ai pas trop adhéré au récit. J'ai même pensé l'abandonner, mais j'ai persévéré et, finalement, je me suis attaché au petit et à son protecteur.

Un matin survient ce que l'auteur appelle "la déchirure" et tous les chapitres se passent avant ou après la déchirure.

L'auteur emmène ses lecteurs dans un hôpital, mais aussi à Rome et à Jérusalem où Jo recherche la mère.

Même s'il s'agit d'une fiction, cette histoire sent le vécu. Baptiste Beaulieu se sert certainement de ses expériences médicales pour écrire ses romans.

Ce livre n'est pas un coup de coeur pour moi, un roman auquel j'aurais peut-être plus adhéré s'il avait été écrit différemment.

PS Dans ma PAL se trouve "Les mille et une vies des urgences" que je lirai donc un jour et qui a connu un beau succès de librairie.

Avez-vous lu ce roman ou un autre livre de B. Beaulieu? Si oui, qu'en avez-vous pensé?
Lien : http://phildes.canalblog.com..

Jo' est le médecin, No' est le patient. Avant la déchirure, Jo' fulmine de voir que la mère de cet enfant qui attend l'inéluctable ne vienne presque jamais le voir, et il compense comme il peut. Après la déchirure, Jo', obsédé par l'enfant gris qu'il voit partout, plaque tout pour partir au bout du monde sur les traces de cette mère si incompréhensible.
J'ai eu un peu de mal à avancer dans ce roman. La plume en est très belle, très ornée, très poétique. Les chapitres avant et après la "déchirure" créent à la fois un bon dynamisme de lecture et un implacable compte à rebours. le secret de la mère indigne, soigneusement entretenu, différé, n'est finalement pas le coeur du roman, il n'est que le point de départ d'un voyage initiatique du médecin qui explore la vie de quelqu'un d'autre. Et cette partie-là, plus spirituelle et plus intime, m'a moins plu. Moins ma came, dirais-je

Trouvé sur un marché aux livres, l'histoire avait l'air touchante. C'est donc dans l'attente d'une histoire triste et émotive que je l'ai embarqué.

On suit Jo', un étudiant en médecine, qui un jour fait face à une déchirure dans sa vie. En effet, Jo' s'était bien attaché à No', un enfant gris à l'hôpital, mais comme souvent dans ces situations, la vie de No' s'éteint et celle de Jo' change à jamais. Peut importe où il va, le fantôme de No' le suit, et afin de le libérer, Jo' va s'embarquer dans une quête à la recherche de la maman de No'. de manière générale, je ne sais pas trop quoi penser de ce livre. Je dirai que j'ai bien aimé mais je ne me suis pas vraiment attachée aux personnages et la fin m'a pas mal confuse. Au final, je n'ai pas ressenti autant d'émotions que ce à quoi je m'attendais.

Je recommande si vous aimé les fins un peu confuses qui vous poussent à re réfléchir à l'histoire.

3/5

Au fil de la lecture, je me suis fortement demandée où en voulait venir l'auteur. Cela m'a rendu perplexe et encore plus vers la fin où je me suis demandée si la partie "Après la déchirure" ne se déroulait pas seulement dans la tête du narrateur. ( Ai-je bien tout compris? 🤔)

J'ai plus apprécié le dernier chapitre qui démontre bien qu'il ne faut pas faire de jugement hâtif sur le comportement des autres, on ne connaît aucunement leur vécu (malheureusement le jugement fait parti intégrante de notre société (pour se sentir plus fort?))

J'ai beaucoup aimé la quête, la recherche du narrateur, je n'ai pas tellement aimé le récit autour de la mère et de l'enfant, je crois que je suis passée à côté de quelque chose. Mais comme j'aime beaucoup Baptiste Baulieu (ce que je lis de lui sur intagram), je pense que je vais lire d'autres ouvrages de sa confection.

Jo est un brillant interne. La vie lui sourit. Il vit en couple avec Marion qu'il adore et dont il est fou amoureux. Sa famille est aimante et fière de sa carrière en construction.
Un jour, il rencontre No hospitalisé dans son service de pédiatrie, un petit garçon de 7 ans, et sa mère Maria. de cette rencontre, sa vie va basculer.

Tout au long du récit, j'ai senti le vécu derrière les mots. Des morts forts, émouvants, poignants. Des mots qui retournent et font réfléchir. Des mots doux, tristes et déchirants. Des mots qui font un roman fort et plein d'humanité. La maladie, la mort, l'enfance, le rêve, les regrets, l'espoir sont ce que je retiendrai de ce roman.

Une belle plume simple et fluide que j'ai aimé retrouver. Un style poétique qui m'a encore une fois bien plu. Ce roman se lit rapidement.

Petit bémol, cette annonce de la déchirure dès le début du récit. Cette déchirure qui nous est rappelée tout au long de l'histoire, page après page et pour laquelle on a l'explication tout à la fin. Cette répétition m'a un peu ennuyé. Je me suis souvent demandée si je n'avais pas raté quelque chose. Je suis revenue régulièrement en arrière pour relire certains passages.

J'ai passé un bon moment de lecture.

Le destin de trois personnes qui se retrouvent lié pour toujours.
Un Roman qui traite de l'hospitalisation d'enfants malades, de l'équipe médicale qui les entourent et dont tout pour leur rendre la vie plus joyeuse. Des sentiments que l'on éprouve lors de la perte d'un être cher, ou d'un patient auquel on s'est attaché... Ce Roman traite aussi de la religion et de la sexualité...
C'est une belle histoire... C'est en tout cas ce que je me suis dit à la fin de ce Roman. Ce qui est dommage c'est qu'à traiter trop de sujet, ça devient long et parfois lassant... J'ai perdue souvent le fils, le fait que les chapitres vont d'avant en arrière dans le temps n'aide pas non plus.
Du coup mon avis est bien mitigé...

Un jeune médecin, Jo, est confronté à la mort de son jeune patient, No, d'une leucémie qui lui avait donné un teint gris propre à cette maladie d'où le titre, La ballade de l'enfant gris. Tout de suite après No réapparaît sous forme de fantôme et se met à suivre Jo partout. Celui-ci, traumatisé par ce décès, décide de tout plaquer et de partir à la recherche de la mère de l'enfant, Maria, qui a été très peu présente au chevet de son fils, dans l'espoir que le petit fantôme cessera de le hanter quand il aura retrouvé sa mère. On suit Jo en Italie où il va peu à peu lever le voile sur l'énigmatique Maria et comprendre son incompréhensible absence de la chambre d'hôpital de son fils mourant. J'ai eu du mal avec le thème de ce roman : la maladie et la mort d'un enfant. La quête un peu désordonnée de Jo qui cherche à ramener No à bon port et à surmonter le traumatisme de son décès m'a paru un peu longue. Je suis néanmoins allée jusqu'au bout de ce roman car j'avais envie de savoir qui était Maria et de comprendre son étrange attitude. Un bilan de lecture un peu mitigé…
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