Lady Mechanika, tome 1 : Le mystère du corps mécanique

J'ai tardé à m'y mettre mais j'ai bien fait de franchir le pas.
Cet univers steampunk est génial. Il est complet, abouti, noir et violent à souhait et jusqu'à présent il arrive à montrer de la violence sans tomber dans le gore. Cette « pudeur » dans les scènes de violences me plait beaucoup.
Les dessins sont très beaux et très détaillés. J'ai eu besoin d'un petit temps d'adaptation pour la lecture des bulles qui sont placées de manières pas très intuitive pour moi : beaucoup de dialogues tiennent dans un unique case et c'était un peu compliqué pour moi de bien tout lire dans le bon ordre. Lady mechanika est une héroïne excellente qui m'a conquise et son ennemie est intrigante. Une série comme je les aime et dont je vais lire la suite surement très rapidement.

Une très jolie découverte que ce comics de Joe Benitez. D'ailleurs si vous ne connaissez pas encore l'oeuvre de Joe Benitez, vous en aurez un très bel aperçu en lisant Lady Mechanika.
L'histoire de cette jeune femme à la recherche de son passé et de ses origines est très prometteuse et si en plus les dessins sont beaux à regarder, le pari est gagné.
Lien : http://aumilieucoule.org/fr/..

Encore merci à Witchblade pour cette découverte.
Mystère, steampunk et ambiance victorienne... beaucoup de questions dans ce premier tome où notre lady Mechanica cherche depuis des années qui l'a transformée en une créature semi mécanique et trouve une adolescente qui a subit le même sort qu'elle. Qui? Pourquoi? Comment? l'occasion de se retrouver confrontée avec de vieux ennemis également...
Une ambiance assez sombre, un scénario bien ficelé, des dessins particulièrement chaleureux, fourmillant de détails, bref, je suis conquise...
vivement la suite.

De magnifiques illustrations mais une bonne histoire aussi. Un personnage féminin fort et intense qui fait preuve de compassion comme de sang froid. de l'humour malgré les horribles mutilations. Une enquête sur le passé du personnage qui commence seulement mais donne envie de continuer.

Les comics ne sont pas ma tasse de thé, le steampunk n'est pas mon genre de lecture de prédilection, donc lady Méchanika et moi n'étions pas faites forcément pour nous rencontrer.
Pourtant, j'aime bien l'univers steampunk et l'ambiance de ses villes victoriennes où foisonnent les gadgets en laiton et à vapeur, les femmes en dentelles et en crinoline et les messieurs en veston et monocle. Ca me dépayse toujours autant.
Alors forcément, la bombasse de la couverture m'a tout de suite tapée dans l'oeil. Parce que secrètement, j'aimerais aussi parfois pouvoir casser la mâchoire de malotrus à coups de hauts talons.
Mais la donzelle est plus qu'un corps parfait et une paire de talons hauts.Elle est en quête. En quête de vérité, de savoir de mémoire. La belle est amnésique. Qui est-elle ? Qui l'a crée ? Ce tome d'exposition nous dévoile déjà quelques éléments sur les protagonistes et ce qui va se jouer : des créatures mi-humaine mi-mécanique sorti d'un cerveau fou qui attise la convoitise d'un industriel sans scrupules qui aurait les dents longues s'il avait encore une mâchoire. Celui-ci s'en adjoint les services d'une rousse incendiaire, ex alliée devenue Némésis de notre héroïne bottée de cuir.
Rien de bien original coté scénario, mais le dialogue bien écrit et les illustrations vraiment très réussie m'ont donné envie de poursuivre le voyage dans les bas-fonds de Méchanika.

Mon dieu, ce dessin, ces couleurs ! La première chose qui vous saute aux yeux, c'est que Joe Benitez et Peter Steigerwald n'ont pas oublié que la BD est un art graphique.

Lady Mechanika est une cyborg à la mode steampunk, mélange d'une jeune femme et de mécanique, qui ne se souvient pas de son passé. Si vous aimez Jules Verne ou the Shield (chacun son époque), vous aimerez Lady Mechanika. Dans un univers victorien mêlant science et fantastique, dans la lignée d'un Frankenstein, la jeune femme part à la recherche des ses origines au milieu de personnages de caractère, comme autant de pièces d'un puzzle.

Le bouquin du jour (suite) : Lady Mechanika, Tome 1 : le mystère du corps mécanique, de Benitez et Steigerwald.

Premier volume du petit bijou graphique de Joe Benitez.
Quand dans une BD, je trouve à la fois des dessins magnifiques et une bonne histoire, qui plus est dans la veine Steampunk, je suis comblée ! 😃

À découvrir si vous aimez les beaux comics et l'univers Steampunk.

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Le quatrième de couverture :

Dans un monde fait de magie et de science, une femme enquête sur son passé...

Elle est l unique survivante d une terrible expérience qui l a laissée avec deux bras mécaniques. N ayant aucun souvenir de sa captivité ou de son existence passée, elle s est construit une nouvelle vie d aventurière et de détective privée. Elle use de ses capacités uniques pour agir là où les autorités en sont incapables. Mais la quête de son passé perdu ne s arrête jamais. Les journaux l ont appelée : Lady Mechanika !
Nouvelle pépite de Joe Benitez, Lady Mechanika raconte les chroniques d une jeune héroïne forte mais tourmentée. Une véritable quête d identité dans une Angleterre victorienne revisitée et très steampunk, où la magie et la superstition se confrontent aux découvertes scientifiques. Un premier arc en deux tomes.

Cette histoire, c'est d'abord une enquête de l'héroïne sur son passé, ravivée par la découverte de la mort d'une fillette lui étant étrangement semblable. L'intrigue est passionnante de bout en bout, entre mystère et belles scènes d'action. Si l'univers reste cohérent et fidèle à tous les codes steampunk, il n'empêche que le cadre des investigations de Lady Mechanika se réinvente au fil des pages, des sous-terrains aux jolis salons jusqu'à une superbe et inquiétante séquence de fête foraine. Beaucoup de rythme donc dans ce premier volume qu'on n'a plus envie de lâcher dès lors qu'on a posé les yeux sur la féline Lady aux origines si mystérieuses.

Le petit bémol, à mon sens, ce sont les dialogues, non pas dans le fond mais dans la forme qui m'ont semblé un peu brouillons, notamment dans l'accumulation de bulles. Ce ne sera pas ça, en revanche, qui m'empêchera de me ruer sur la suite, ne serait-ce que pour avoir le plaisir de passer de longue minutes à m'extasier devant les portraits magnifiques de Lady M que Benitez et Steigerwald (à la couleur) ne manquent pas de glisser au début de chaque chapitre.
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J'ai découvert Lady Mechanika grâce à un collègue, fan de comics, qui me l'a conseillé en connaissant mes goûts pour le steampunk. Il a frappé en plein dans le mille en me le recommandant. Je ne suis pas une grande connaisseuse des univers comics - ma critique sera donc totalement exempt de comparaisons avec d'autres BD/éditeurs/auteurs.
En feuilletant le livre pour la première fois, je m'attendais à un univers très sombre et assez violent, avec une protagoniste très froide. Certes, c'est le cas par certains aspects, mais l'histoire est également parsemée de touches d'humour et de personnages attachants (à commencer par Lady Mechanika elle-même). L'intrigue est prenante, je me suis laissée volontiers embarquer au fil des pages.
Le graphisme et les dessins sont superbes. Ils illustrent à merveille cet univers entre ombre et lumière.
Ce fut donc un véritable coup de coeur pour moi. Il me tarde de replonger dans les prochains volumes (déjà parus à l'heure où j'écris cette critique).

Dans un monde steampunk où lady Mechanika enquête sur son passé et son créateur, une jeune fille mécanique est retrouvée morte dans une gare. Équipé de circuits mécaniques semblables aux siens, le corps de la jeune fille est enlevé alors même que Lady Machanika cherchait des indices. Les seuls éléments qu'elle a pu récupérer la conduisent dans un cirque manouche. Un univers extraordinaire, des personnages intéressants et une histoire dont on a envie de lire la suite. Un beau premier tome.