L’actualité très récente fait écho au nombre croissant, constaté dans les services de pédopsychiatrie et de protection de l’enfance, d’enfants toujours plus jeunes exerçant une violence qui va en s’aggravant, à caractère sadique et perverse, apparemment inaccessible au sentiment de culpabilité, et face à laquelle la psychothérapie est impuissante. Confrontés à cette tendance pathologique de notre société, les professionnels sont rapidement épuisés et désespérés. Cet... >Voir plus