Il connut les honneurs, les embûches, les heures de disgrâce. Toujours, il s'est tenu au-dessus de la mêlée, refusant de s'inféoder à un clan, une idéologie, de s'incliner devant les pouvoirs en place. Un homme libre.
C'est ce qui fait la grandeur mais aussi la solitude d'André Giresse, de 1975 à 1985 président de la cour d'assises de Paris et incontestablement l'une des grandes vedettes judiciaires des années récentes. Son coup d'éclat au procès de Broglie, ...
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