Nicole aimait ce garçon pudique, timide. Elle lui retira sa veste, déboutonna sa chemise et parcourut son torse de baisers, lui lécha la poitrine, sa main cherchant la réaction de sa virilité. Nicolas se déchaîna ; plus question de timidité et de pudeur. Il dévêtit sa partenaire en se dirigeant vers la chambre. Sur le lit, ils s’enlacèrent, se caressèrent. Elle frémissait au contact de ce corps jeune, musclé à souhait, débordant de vitalité, de passion. Il la pénétra avec douceur et ils connurent le spasme merveilleux de l’amour.
Elle se surpassa dans l’art de faire l’amour. Il ne fallait surtout pas le décevoir. A la fin de ces caresses excitantes, sensuelles, il la pénétra. Tous deux gémirent de plaisir et se séparèrent après avoir connu de grands frissons, un feu d’artifice qui projette deux amants jusqu’au septième ciel.
Je ne t’ai rien demandé de peur que ça se transforme en dispute et que tu en profites pour partir. Chaque nuit je faisais le même cauchemar, j’entendais mes filles appeler Nicole maman. C’est la peur de les perdre qui m’a rendue si soumise, acceptant l’inacceptable comme tes réflexions blessantes.
Tu vois Franck je t’aimais tellement que d’années en années je t’ai mis sur un piédestal si haut que j’avais oublié que tu n’étais qu’un homme, un homme qui rejette tout ce qui ne lui fait pas redresser son bout de viande qui lui pendouille entre les pattes.
- Regarde, je t’ai mijoté un petit plat tu m’en diras des nouvelles.
- C’est de toi que j’ai faim. Au diable la bouffe, j’ai plus besoin de ton corps qui m’excite que de nourriture.