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Citations sur L'Hôpital (22)

Ca vous un côté sinistre la photographie... c'est de la mort en image.
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Se faire une conviction, s'engager... dans la prime jeunesse on peut encore, ça s'appelle avoir un idéal... par la suite ça devient plus coton... A moins qu'on en vive...qu'on en fourgue... que ça soit sa boutique.
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Le progrès, c’est surtout technique… les gadgets, le confort de se carrer les miches… dans les âmes, les cœurs, les mœurs, je vois rien venir depuis que nous sommes tous devenus des automobilistes.
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On leur fait des conférences, des symposiums, paraît-il, on les éduque… ça ne doit tout de même pas être facile de les rendre sucre, miel et sourire, compatissantes et secourables.
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En cabane, on peut se dire que si les matons sont rébarbatifs adjudantesques, viceloques à vous surprendre en défaut, qu’on expie comme ça nos forfaits, que ça fait partie du châtiment, qu’on avait qu’à ne pas y aller… mais à l’hosto, ça s’explique plus du tout, c’est l’injustice féroce absolue. On a juste le tort d’être pauvre et d’être malade. On subit, bien forcé… souvent on nous la profère la raison « Si vous n’êtes pas content… n’avez qu’à aller en clinique… ! »
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L’étude de Bergson sur le rire, je devrais la lire, elle est on ne peut plus pertinente… en voici l’illustration. On s’amuse toujours plus ou moins des malheurs, des tares d’autrui. Le vrai civilisé, le sage ne rit pas…
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Ça me gênait un peu qu’il soit si repentant. Moi aussi, au fond, je regrettais presque de m’être enrôlé derrière l’oriflamme du général, ça me paraissait fou d’avoir risqué le grand cimetière sous la lune pour. Si je me suis dégagé définitif des options politiques et patriotiques ! Au bout du compte il faut pouvoir accepter de mourir et de tuer les autres, on a beau tortiller de la dialectique, on en arrive là fatal… même avec des idées bien généreuses au départ, ça se termine toujours avec des poteaux d’exécution, des barbelés, des tortures…
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Un homme abjure pas sa foi, après huit piges aux durs, pour une grappe de raisin, une banane.
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L’argot, ce sel de la langue, se crée, s’apprend, se rode dans les taules. Sans lui le français tourne chochotte, se sclérose, meurt à l’anglaise. J’ai comme une frontière linguistique… certes je peux m’exprimer, quand il le faut, en français presque académique, mais je ne comprends vraiment, je ne pense qu’en argot.
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J’ai le naturel un peu fouineur, j’aime assez écouter les gens, leurs lubies, leurs aventures, le pourquoi de leur comment…
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