La guérison des 5 blessures

j'avais un sein beaucoup plus petit que l'autre (blessure de rejet) maintenant ils sont égaux

Le déni est une manifestation de l’ego à son plus fort.

L’ego se croit capable de rendre les autres heureux

L'âme se réincarne tant et aussi longtemps qu'elle ne s'est pas libérée des excroissances mentales, entretenues par l'ego, à la base des problèmes non réglés. Elle véhicule tout le bagage mental et émotionnel accumulé au fil de tes nombreuses vies.

Lorsqu'une des cinq blessures de l'âme te fait souffrir, c'est que tu n'es pas à l'écoute de ton cœur, ni de tes besoins.
Un livre "outil" qui accompagne toute personne en introspection et qui souhaite avancer vers la guérison de ses blessures existentielles.

Tu sais que tu es sur la voie de la guérison lorsque tu es conscient qu'une blessure est activée, que tu es capable d'observer la douleur de la blessure et que tu te permets d'être humain.
Tu peux vérifier que tu as franchi les étapes lorsque tu ne sens pas le besoin de porter le masque à la blessure et que tu n'as donc aucune réaction.
L'acceptation entraîne un soupir de soulagement, fait disparaitre la douleur graduellement et te ramène dans le moment présent.
Tu vois alors l'ensemble de la situation comme une leçon de vie.

Comme l'ego ne meurt jamais parce qu'il fait partie de ta création mentale, tu avais déjà des centaines de croyances à la naissance. Tout ce que tu enregistres au cours des différentes vies tant sur le plan émotionnel que mental est inscrit dans ton âme qui est immortelle.

Je te rappelle qu'il faut d'abord ressentir beaucoup d'amour pour haïr quelqu'un.

Beaucoup d'entre nous se demandent pourquoi les maladies se multiplient alors que la science est très avancée. En ce qui me concerne, je crois que c'est parce que nous utilisons la médecine uniquement pour nous soigner et que nous ne voulons pas prendre la responsabilité de notre attitude intérieure.

Il n'y a absolument rien qui est laissé au hasard. La vie est d'une telle intelligence qu'il est impératif que nous acceptions ce fait.