Après de véritables chefs-d'oeuvre (Il n'y a pire aveugle,
Les fureurs invisibles du coeur,
le garçon en pyjama rayé,
La vie en fuite),
le syndrome du canal carpien fait un bide total. A croire que ce n'est pas
John Boyne qui l'a écrit, comme l'une des protagonistes du roman qui utilise une prête-plume ! Présenté comme un roman actuel, plein d'humour etc..., ce roman est pénible dès le premier quart et j'ai survolé le reste ( merci la lecture rapide !) pensant être surpris, mais hélas la fin, à la
Walt Disney, est encore pire que le début !
Passez votre chemin, environ 500 pages, mais 400 de trop !