En Egypte, au temps des pharaons, un orphelin qui s'appelé Khay suit discrètement les pilleurs. Dans une salle qui est gardée pas une statue de dieu chacal Anubis le jeune garçon vole la momie que le dieu gardée. Il l’emmène dans une barque il a l'idée de montrer la momie à des passants et en échange un peu d'argent ou de nourritures. Un peu après avoir volé la momie Khay sauve un chacal de la noyade. Le chacal restera avec lui tout au long de son aventure. Mais Khay a volé la momie d'un pharaon qui a cause de ça l’empêche de dormir éternellement.
ce livre m'a plus car non seulement il y avait une belle histoire d'amitié et malgré la pauvreté il a reussi a survivre et a perssister dans son aventure et le plus triste c'est quand le chacal a du partir et khay na plus jamais revue son ami mais il y avait un petit chacal et lhistoire je vou la laisse lire.......juste Magnifique livre Bravo....
Ainsi, tout s'effaçait de la mémoire des hommes. [...] Mais, sûrement, le scribe l'avait écrit, et ce qui est écrit ne meurt jamais.
L'amitié ne doit pas être une prison.
Il hésita un moment. Que faire, maintenant ? Continuer ?
Oui, il continuerait sa route au-delà de la frontière. Il reprit la corde dans sa main.
C'est alors que le chacal se mit à gémir.
"Viens donc, le persuada Khay, il n'y a rien à craindre le long du fleuve."
Mais le chacal jappait plaintivement, sans faire un mouvement.
Khay est très jeune, il vit en Egypte. Il souhaite avidement devenir pilleur de tombeaux. Tout commence lorsqu'il pille une tombe avec quatre autres dangereux acolytes. Les circonstances le conduisent à s'enfuir avec une momie, flanqué d'un chacal. Il ne sait pas encore qu'il aura à traverser, avec son page, beaucoup d'épreuves. Peur, sécheresse, famine rien ne lui est épargné.mais quel role joue pharaon ?
Pour les pilleurs de tombes, une porte n'est pas un problème. Le problème, c'est après, quand on est dans le couloir sombre.
Bien sûr, son monde se limitait aux rives du fleuve, mais le Nil était si long, si long, que jamais personne n'en avait vu la source. La source, elle se trouvait hors de portée de l'homme, entre les mains de ce bon génie qui arrosait l'Egypte de ses bienfaits.
Khay songea au scribe de l'oasis, qui notait chaque jour ce qui se passait. Jamais il ne retournerait là-bas, car il ne voulait plus rien savoir de tout cela. Mais, sûrement, le scribe l'avait écrit, et ce qui est écrit ne meurt jamais.