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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Dans l'hopital militaire de Scutari (guerre de Crimée) le docteur Parks va faire son possible pour soigner les blessés. Et c'est là le point de départ d'une incroyable découverte qui va par la suite marquer à jamais son parcours de médecin. C'est également là qu'il fera la connaissance de Mme Holmes et de l'infirmière qui joue aujourd'hui les garde malade auprès de M. Holmes.

L'histoire continue son chemin. Les flahs back sont très nombreux dans ce tome permettant de remonter le temps jusqu'à l'époque au Sherlock Holmes n'était qu'un bébé. Sa mère, femme décidée à aider les soldats de la guerre de Crimée, va tout faire pour aller en Turquie. Quitte à laisser son mari avec ses deux enfants en France.
En parallèle nous suivons cette triste affaire des bébés de l'east end, les bas fond londonien. Une victime accusée comme meurtrière...

Une belle série, très réussie. Une histoire qui nous fait découvrir Sherlock Holmes d'un point de vue original. Et illustré par de très beaux dessins monochromes. Soit sépia pour le passé, soit gris pour l'époque où Watson et Wiggings mènent leur enquête.

Il nous faudra attendre encore un peu pour avoir la suite des révélations. Mais on a hate bien sur!
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C'est toujours avec un mélange de plaisir et d'appréhension que j'ouvre un nouvel album de ce duo dont le premier tome était sorti en 2006.

Plaisir de voir paraître un nouvel album et peur que la série ne s'enlise et ne commence à tourner en rond comme un chien après sa queue.

Voici donc (enfin !!) le quatrième opus d'une saga qui devrait en compter neuf (c'est vous dire que je les attends comme le Messie, ces albums).

Bon, assez de suspense, le chien ne tourne pas en rond après sa queue et il a même reçu un os à ronger avec ce nouvel album qui m'a fait saliver de plaisir.

Dès l'ouverture, ce sont de belles couleurs sépias qui ont fait briller mes mirettes. Nous sommes en 1854, à Scutari, en Turquie, durant la guerre de Crimée (1853 à 1856). Une belle entrée en matière pour aiguiser ma curiosité et me mettre en appétit avec la présence de Miss Nightingale.

On pourrait être surpris de pareille entrée en matière dans une saga consacrée au Grand Hiatus de Sherlock Holmes (1891 à 1894), mais c'est oublier qu'en 1854, en pleine guerre de Crimée, Sherlock Holmes voyait le jour (date de naissance sujette à caution) et ce quatrième tome nous permet d'assister à la naissance – en direct – du futur Grand Détective !

Si ce quatrième tome n'éteint pas les multiples questions que je me pose encore, il clôt certains événements qui se déroulaient dans le troisième, tout en ouvrant la voie à d'autres mystères, comme ceux avec Mycroft Holmes ou avec leur mère, Violet.

Les dessins sont toujours dans des tons gris (monochrome) pour les événements du présent et le trait est, comme toujours, à tomber à la renverse tellement il est élégant, sobre, avec des tas de détails dans chaque case, à tel point qu'il me faut plusieurs lectures avant de tout détecter.

Tous en assistant à quelques moments de la famille Holmes en 1854, nous découvrons aussi la suite de l'investigation que mène le docteur Watson sur son ami décédé dans les chutes, notre cher Wiggins mène toujours son enquête à Londres et le scénariste ne se prive pas non plus de nous faire découvrir des pans de la vie à Londres sous la reine Victoria.

Il est des piques, dans les dialogues, qui sont aussi meurtrières qu'un javelot lancé à pleine puissance dans la poitrine d'un homme, notamment en ce qui concerne les nobles et les officiers qui, lors de la guerre de Crimée, envoyaient les soldats se faire hacher menu, ne voulant même pas voir que les méthodes de guerre avaient changées depuis la dernière fois.

Un excellent tome, une fois de plus, qui, bien que ne résolvant pas tout, nous éclaire sur la vie de Sherlock et de sa mère, Violet. Évidemment, c'est de bonne guerre, si d'un côté on lève le voile sur certaines parties antérieures de l'histoire, on noie dans le smog londonien d'autres afin de ne pas dévoiler tout.

L'auteur pratique avec maestria l'art de l'effeuillage… en montrer suffisamment pour nous donner envie d'assister à tout le spectacle, mais pas trop d'un coup et surtout pas la pièce maitresse !

Encore 5 tomes avant la mise à nu… Survivrais-je à cette longue attente ?? Nul ne le sait, mais il faut à tout prix que vous suiviez cette saga !

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Après avoir emprunté à la bibliothèque les trois premiers tomes de Holmes, et avoir appréciée ce début d'histoire, même si j'ai commencé à me lasser, j'ai décidé de lire le tome IV, dans l'espoir d'en apprendre davantage sur Sherlock Holmes. J'ai été un peu déçu par le deuxième tome, je m'attendais à plus de révélations, l'enquête à au final très peu avancé. J'ai également été déçu par le troisième tome, parce que je me suis un peu perdu dans l'histoire… Mais j'ai vraiment apprécié ce tome car j'ai trouvé qu'enfin, nous avions des rebondissements et que l'histoire a avancée.

Ce tome commence avec les chapitres 5 et 6, qui sont un mélange de passé et de présent. Il est centré sur le personnage de Violet Sherrinford (Holmes), la mère de Sherlock. On en apprend également davantage sur Gloria Dumbley et comment elle s'est retrouvé avec une jambe de boit. Je n'en dirais pas davantage pour ne pas gâcher le suspense ou spoiler l'histoire.

Comme pour les précédents tomes, les dessins sont vraiment très beaux, personnellement j'ai adoré, que ce soit les visages ou les décors ils sont splendides !

Qui est réellement Sherlock Holmes ? L'enquête continue, je vais lire le prochain tome avec un peu plus d'enthousiasme.
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Ça y est, après trois longues années d'attente, l'enquête redémarre !

J'ai relu les précédent premiers tomes avant d'enchaîner sur ce nouvel album et force est de constater qu'en quatre tomes... on n'a pas appris grand choses tant Luc Brunschwig, plus retors que le professeur Moriarty, entretient le secret autour des Holmes nous révélant presque à contre-coeur certains éléments tout en multipliant les fausses pistes ou en détournant notre attention sur certains faits et personnages.

En habile marionnettiste, Brunschwig se joue du lecteur faisant surgir du peu de réponses plus de questions encore. Entre ses mains, le lecteur est captif de ce récit dans un état de frustration et de tension qu'accentue le dessin toujours aussi parfait que monochrome d'un Cécil au sommet de son art.

Aussi, tout comme Wiggins, John et Mary, le lecteur est loin de percer le mystère entourant la famille Holmes, mystère qui, au lieu de s'évaporer, s'obscurcit de plus en plus au fil des tomes.
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4eme tome sur une serie qui s'interroge sur la mort du celebre detective.
Dans le premier tome Watson remet son manuscrit ou il explique la chute d'Holmes et de son implacable ennemi Moriarty dans les chutes de Reis...
Oui mais voila la famille d'Holmes, Mycroft en tete mais aussi sa mere, Moriarty lui meme conteste cette version des faits. Pour eux Holmes s'est suicidé et la publication de Watson porte atteinte à l'intégrite du porfesseur Moriarty. Watson n'y croit pas et decide de visiter l'un après l'autre ceux qui ont partagés la vie d'Holmes. Ce qu'il va découvrir va le mettre en danger.
Dans ce 4eme tome, il s'interesse au parcours de la mere d'holmes venue porter secours aux soldats de la guerre de Crimée. Il rencontre Melle Nightingale qui va lui raconter les quelques semaines passées avec cette curieuse mère. le dessin est classique et magnifique. le scénario plein de chausse trappes. Un seul défaut (mais énorme) : à ce rythme de parution quand connaitrons nous le fin mot de l'histoire?
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Un tome 4 qui nous emmène loin.
On voyage dans le temps(c'est dans le titre 1854/1891?) et l'espace (sud-ouest français, Londres, Turquie).
On y rencontre Madame Nightingale, que toute infirmière a en photo dans son casier.
Les choses se précisent : on en apprend un peu plus sur maman Holmes.
Les dessins et les couleurs sont toujours autant du grand art.
Vite la suite.
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Une bande dessinée que le hasard a mis entre mes mains. Je n'ai pas été déçu par les cinq tomes parus qui composent cette histoire : #ladieuabakerstreet (tome 1), #lesliensdusang (tome 2), #lombredudoute (tome 3), #ladamedescutari (tome 4) et #lefrereaine (tome 5).
J'ai apprécié l'originalité du scénario dans lequel le docteur Watson enquête sur le décès de son ami. Accompagné de son épouse et du jeune Wiggins, Watson découvre le passé de Sherlock.
Ce personnage de fiction est presque devenu un homme ayant véritablement existé. Les notes en fin du premier tome sur son créateur Arthur Conan Doyle sont d'ailleurs très intéressantes. J'ai également aimé la distinction des couleurs entre les chapitres traitants du passé et ceux du présent. Cela permet de situer d'un coup d'oeil la temporalité des événements. Maintenant, j'attends le dernier tome avec impatience ! Et j'imagine que le final sera à la hauteur de la série à n'en pas douter.
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Il faut se faire une raison, les auteurs prennent leur temps et distillent les informations lentement pour faire durer le suspens et nous parlent aussi de sujets annexes. Dans ce livre IV, on en apprend davantage sur la mère de Holmes et son implication en tant qu'aide bénévole pendant la guerre de Crimée. Même si le mystère reste complet on en sait désormais plus sur le lien entre certains personnages (gouvernante, docteur Parks, infirmière du père de Holmes). le changement de couleur entre les sépias (pour le passé) et les tons gris/bleus (présent) permettent de suivre facilement le récit.
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un beau graphisme un scénario bien construit avec beaucoup d'aller retour dans le temps.
La sortie en tome successif rend l'histoire malgré tout un peu trop tortueuse
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...
Vivement la suite !
Lien : http://www.yuya.fr/chronique..
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