Citations sur La Fille aux cheveux rouges, tome 1 : Le chemin de ce.. (79)
La nourriture, c’est la vie…
une chaudière dont la puissance aurait pu propulser un paquebot. Vous imaginez ?
Avec un minois comme le sien, on pouvait se faire admettre dans les cercles les plus fermés, les hommes sont tellement bêtes, tellement esclaves de leurs hormones sexuelles…
Nerveux, il s’appliqua à se décontracter, tel un parachutiste attendant l’ordre de saut.
Qu’avait-il à faire de leur approbation ou de approbation ou de leurs pauvres récompenses ? Les grades, les médailles ? De la verroterie pour indigènes ! Des couronnes en fer-blanc pour rois de théâtre !
La bâtisse, ébranlée par les explosions, ne résistait à l’effondrement qu’au moyen d’étais calés sur sa façade. Ainsi appareillée, elle évoquait un vieillard agrippé à ses béquilles.
il ne se laissait pas aveugler par la joliesse de Brit. En jugulant ses appétits, il préservait sa lucidité. Depuis quelque temps, il se voyait comme une sorte de moine soldat, d’ascète des services de renseignement. Un loup maigre, aux yeux fiévreux, toujours à l’affût, et qui ne s’en laissait pas compter.
Il faut apprendre à survivre sur le terrain en se servant des autochtones.
Les filles de son âge ne s’intéressaient pas aux avions. Aux aviateurs, oui, pas aux avions.
Tout le monde doit participer à l’effort de guerre. Personne ne peut demeurer en retrait.