Tout d'abord, je dois avouer que c'est bien la première fois que je lis un comics de toute ma vie ! 😅 Mais bon, comme on dit : il faut une première fois à tout. Pourquoi celui-ci me direz-vous ? Et bien pendant mes vacances, je suis allée à Annecy et je me suis arrêtée dans une librairie de comics (pensant qu'il y aurait des mangas aussi, mais ils avaient une autre librairie spéciale mangas… incroyable). Donc, je suis allée dans cette librairie et mes yeux se sont posés sur la couverture que j'ai trouvé magnifique. J'ai ensuite feuilleté un peu l'intérieur et j'ai adoré le style de dessin ! Et pour finir, il était à un prix découverte de 10€ : j'ai su à ce moment-là qu'il m'attendait.
J'ai donc ramené ce petit comics chez moi et j'ai lu il y a quelque jours seulement. Au début, je n'ai pas compris grand chose à l'histoire, car c'est assez complexe. Mais plus les pages défilent et plus on comprend se qu'il se passe et de quoi on parle. J'ai aimé le mélange entre anciennes mythologies et monde moderne. le comics est coloré selon le spectre de couleurs que voit Becky, l'héroïne, qui est atteinte d'achromatopsie : tout est en noir et blanc, excepté quelques touches de couleurs parfois.
Y sont inclus des personnages handicapés (comme l'héroïne) mais aussi des personnages LGBTQIA+ (les deux mères de Becky mais aussi d'autres personnages).
J'ai vraiment trouvé cette histoire originale, et même si ça n'a pas été le coup de coeur en la lisant, j'ai apprécié ma lecture et je suis curieuse de lire la suite (le tome 2 ne sort qu'en février 2021 😓)
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Rebecca Kumar, jeune news-yorkaise, artiste et atteinte d' achromatopsie est agressée le soir de ses 21 ans : on lui arrache le coeur.
Elle survit mystérieusement et découvre que le monde est plus vaste qu'il n'y paraît. La magie existe.
Un premier volume quebj'attendais avec impatience de lire, un peu pour le speech, surtout pour le graphisme. L'objet en lui même est très attirant, mais le graphisme, surtout, est magnifique. Et ça a été le cas tout au long de ma lecture. le traitement des couleurs et également superbe, judicieux. D'autant plus que le personnage ne voit pas les couleurs. Donc quand il y en a, ça a une signification.
A côté de ça, j'aime la mythologie donc, l'histoire est à mon goût. Et le personnage de Rebecca est intéressant. C'est encore très mystérieux, il n'y a pas beaucoup de réponse mais le peu que cette lecture donne m'a donné envie de lire la suite !
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Fantastique légèrement horrifique, combats, mysticisme, grand méchant qui dès le départ met Becky, l'héroïne, face à une course contre la montre pour sauver son coeur (littéralement), des "gentils" qui ne sont pas si "gentils"...
Ce 1er tome très réussi va à 100 à l'heure, plante un univers qui paraît très riche, et donne vraiment envie de découvrir où les auteurs vont emmener Becky.
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La somme de tous les éléments qui composent Nomen Omen a parfois des allures de cahier des charges soigneusement élaboré pour rafler la mise auprès du public young. Mais il faut admettre que se dégage de cette urban fantasy alternant couleurs chatoyantes et monochromie, selon le monde où se trouve Becky, une personnalité.
Lire la critique sur le site : BoDoi
Du côté de l’écriture des personnages et de leurs interactions, on retrouve des schémas relativement classiques : le mentor, le partenaire bourru mais au cœur d’or, l’effroyable antagoniste dont la vie est menacée par l’existence même du personnage principal... Toutefois, nous avons été convaincus par l’écriture du personnage de Becky, qui tire la couverture à elle au détriment de tout les autres.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Tu crois ? Si ma mère t'entendait, tu serais mort un bon millier de fois ! C'est bien ça, t'es juste un connard doublé d'un menteur et d'un porc qui a hérité de pouvoirs magiques et de la vie éternelle. J'ai oublié quelque chose ?