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3,58

sur 2174 notes
Les dix petits nègres façon Bussi ça donne un énoooooorme coup de coeur ! encore une fois, il a tout compris !!! Plus je le découvre, plus je l'aime cet auteur … Quelle intelligence, quelle sensibilité pour un homme … ! sacrément malin aussi !!! le décor, les personnages, l'intrigue, l'histoire, le final : waow waow waow vraiment je n'ai rien à redire … je suis une lectrice comblée devant tant de talent ! je le relirai (chose très rare chez moi) tellement cette histoire est superbe et me laisse sans voix !
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Je ne suis pas une grande spécialiste de Michel Bussi, c'est seulement mon 5e roman de lui. Celui-ci rejoindra l'autre que j'avais moyennement aimé sur les 5 (donc j'ai passé un super moment avec les 3 autres !), mais ça ne reste pas moins une lecture agréable.

Au soleil Redouté se veut reprendre vaguement les codes des 10 petits nègres (pardon...Et ils étaient 10!), et il se trouve qu'en plus c'est l'histoire de 5 femmes qui voudraient être écrivaines (ça se dit?), et qui sont invitées sur une île, par l'éditrice d'un écrivain ultra connu, Pierre-Yves François. Bien sûr c'est lui qui reçoit les 5 femmes.
Écriture et meurtres, au programme des 2 jours du roman...

Je dirais que j'ai beaucoup aimé que ça se passe aux Marquises que je connaissais bien bien peu, et à propos desquelles j'ai appris plein de rites, de légendes et d'histoires.

J'ai bien aimé les deux personnages annexes qui sont Maïma la fille adoptive d'une des cinq femmes, et Yann le mari gendarme de l'une des autres. On a aussi la présence de la femme qui reçoit les autres dans sa maison et de ses deux filles, femme qui est la mémoire de son île. Mais tout en aimant bien les personnages, j'avais quand même envie que le rythme soit plus "haletant".

L'écriture de Bussi est fluide et je n'ai buté contre rien, sauf sur le fond, car je trouve son histoire bien trop longue d'une centaine de pages, et même si l'idée finale peut être intéressante, cela ne m'a pas vraiment plu. En gros quand je trouve un livre moyen je finis par me dire « oui bon pourquoi pas, bonne idée", mais parce que justement je ne suis pas dans le rythme et la magie ! Sinon je ne pense rien et je continue dans ma lecture, avide de connaître la fin ! Là j'en avais un peu assez les 30 dernières pages, je suis passée à côté de ce roman, donc boîte à livre ! :)
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Ce livre est une pépite

Nous suivons aux Marquises cinq lectrices choisies pour participer à un atelier d'écriture organisé par un maître des Best seller.

Mais ce séjour paradisiaque va vite se transformer en cauchemard.

Qui fait disparaître un à un les invités d'Hiva Oa ?

J'ai adoré ce huit clos au coeur des Marquises où l'auteur nous mène en bateau jusqu'à la fin.

Le contraste entre ce cadre idyllique et cette intrigue tellement pesante est une perfection.

Le meilleur est tout bonnement cette fin à laquelle personne ne peut s'attendre
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Que ce livre est prenant et....sait vous retourner la tête! Pourtant on nous prévient au début "ne vous fiez pas à vos sens, peut-être qu'ils vous trompent, méfiez-vous!". Et pourtant, on se prend aux récits des différentes lectrices sélectionnées pour cet atelier d'écriture aux Marquises.
Le roman s'ouvre donc sur un atelier d'écriture aux Marquises, qu'anime Pierre-Yves FRANCOIS, auteur renommé. Mais à peine quelques jours après le début de cet atelier, PYF (Pierre-Yves François disparaît) : disparition volontaire, jeu inclus dans l'atelier...toutes les hypothèses sont permises. Puis le lendemain, une des lectrices est retrouvée morte...Qui est le coupable? Ces lectrices ont-elles été sélectionnées UNIQUEMENT pour leur talent...?Et les 5 tikis disposés autour de la pension "Au soleil redouté" où logent les lectrices et leurs accompagnateurs, ont-ils un rôle dans la mort de cette lectrice...? à chaque page on se surprend à incriminer une personne puis une autre...on avance dans l'enquête avec les points de vue de chacun...avec un sacré retournement final! Et on découvre un peu de la culture Marquisienne au travers des pages.Absolument génial comme tous les romans de Michel BUSSI. Un régal on ne peut pas lâcher le roman, il faut connaître l'issue..!
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Les îles Marquises (avec ses Tikis et ses légendes). de jolies femmes (mais venimeuses ?). Un écrivain à succès (mais plus doué avec les femmes qu'avec l'écriture). Une ado perspicace (mais aussi facile à manipuler ?). Une disparition. Des meurtres. Voilà le Bussi 2020 !

Je n'avais pas trop aimé son précédent roman (cf la critique de « J'ai dû rêver trop fort » sur « Babelio »), mais c'est pleine d'excitation que j'ai commencé à lire. Dès les premières pages, on retrouve le « style Bussi » : récit construit sur des retours en arrière, chapitres où le lecteur ignore qui est le narrateur (et ces changements de points de vue permettent d'apporter des indices qui, mis bout à bout, apporteront la solution de l'énigme), des références culturelles… Un style que j'avais beaucoup aimé dans « les « Nymphéas noirs » , « Un avion sans elle » ou « «N'oublier jamais ».
Mais ici, le trait est trop appuyé ! Fallait-il citer Brel (le roman lui doit son titre) et insister sur le sens des Tikis par exemple aussi souvent ? A croire que le lecteur n'est pas capable de réfléchir par lui-même et qu'il lui faille (souvent !) l'aider à faire le point sur les indices trouvés : les enquêteurs, le policier Yann et l'ado Maïma, dressent des listes et se posent des questions (dûment numérotées !) à longueur de pages. de même pour ceux qui connaissent les romans de l'auteur, on retrouve les mêmes ficelles employées : je ne serai pas trop précise (car le but n'est pas de révéler qui est coupable !), mais on retrouve l'idée du téléphone qui prévient la victime (un peu tard ?) de l'identité du coupable.
Je dirais que ce roman est trop commercial : ses références peuvent être comprises par tous ( références au procès de Johnny Deep et de sa femme, à Johnny, à D Ormesson, à NRJ…), la fin est trop à l'eau de rose (mais chuut !) et que dire de l'écriture ? Dans les dialogues comme dans le récit, le vocabulaire se veut « dans l'air du temps » : des « ….se fout de moi », « ce salaud se planque», « tenait la route », « « numéro de flic qui se la joue…"….M. Bussi nous avait habitués à plus d'exigence ...Donc bien déçue !
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Un bon roman à lire en vacances.

Pierre-Yves François, écrivain célèbre et très apprécié par la gente féminine convie 5 lectrices et autrices amateurs à un atelier d'écriture sur les îles Marquises. Durant cette semaine sous le soleil de ce paradis du Pacifique, meurtres et disparitions vont jouer les invités surprises. Et quand une affaire de violeur tatoueur va refaire surface au milieu des coutumes et légendes polynésiennes, nos écrivains en herbe auront de quoi nous écrire un palpitant récit. Si et seulement si elles ne se retrouvent pas sur la liste des victimes ...

Dans ce huis-clos au soleil, j'ai beaucoup apprécié le rythme du récit. Pas de temps morts, les actions s'enchaînent. Peut-être au détriment de la psychologie des personnages, ce qui ne m'a permis de m'attacher à aucun d'entre eux. L'histoire est cependant bien ficelée et le twist final est plutôt bon, même si, à mes yeux, il n'est pas à la hauteur de celui de "Nymphéas noirs", qui m'avait littéralement laissée sur les fesses.
Même si ce n'est pas un coup de coeur, c'est quand même un très bon roman de Michel Bussi.
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Au soleil redouté (2020) est un roman policier de Michel Bussi. Cinq lectrices fidèles du grand écrivain Pierre-Yves François, se retrouvent pour un atelier d'écriture d'une semaine aux îles Marquises. Mais la disparition de l'auteur sème le trouble. Michel Bussi aime jouer avec ses lecteurs mais ce coup-ci l'intrigue est trop artificielle et les réactions des personnages souvent absurdes. Plaisant mais plutôt décevant.
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Dans ce roman, Michel Bussi nous embarquent aux Iles marquises, ce huis clos haletant n'est pas sans rappeler l'histories des Dix petits nègres d'Agatha Christie.
Cinq femmes, cinq apprentis écrivaines qui vont avoir un atelier avec un auteur de best-seller sauf que celui va disparaitre mystérieusement et ce ne sera pas le seul.
Un écrivain qui disparait,des morts qui s'enchainent, tout le monde soupçonne tout le monde.

Une fin assez inattendue, mais que j'ai vu venir , j'aime beaucoup Michel Bussi mais j'avoue que ce roman m'a perturbé et assez déçue.
Mais encore une fois, je ne remets pas en cause évidement son talent.
Néanmoins, j'ai beaucoup apprécié ce voyage au soleil et ses paysages fabuleux.
Une petite déception, affaire à suivre.



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Ce qui m'a donné envie de lire ce roman : un écrivain et son fan club pour un atelier d'écriture, les iles Marquises, un quasi huis clos.
Ce qui m'a donné envie d'abandonner le roman : une écriture très plate, des personnages peu convaincants, un manque de souffle.
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Un écrivain à succès, des groupies, des maîtresses, des rêves de célébrités, des meurtres, des énigmes, des légendes et surtout un paysage magnifique ! Voilà les ingrédients pour la recette de ce bon roman.
C'est un polar "léger", l'adjectif vient souligner le fait que l'on ne se retrouve pas confronté à des meurtres violents, sanglants ou encore hors du commun. Mais léger ne veut pas dire désagréable, au contraire ce roman nous dépayse !
On nous emmène aux îles marquises, on a l'impression d'y être, on découvre les lieux, les légendes et les croyances.
Le grand écrivain, PYF, emmène cinq lectrices à l'autre bout du monde pour un atelier d'écriture. Personne ne se connaît, mais le hasard et le talent n'ont pas été les principaux critères de sélection.
L'histoire, comme toute bonne histoire, commence avec avec la disparition de PYF, réelle ou mise en scène ? Bonne question ! Et après tout s'enchaîne... Un meurtre, deux meurtres, trois meurtres.. À la fin. Il n'en restera qu'un !
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