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4,22

sur 735 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
C'était mon 5e Michel Bussi. J'ai adoré Nymphéas noirs ainsi que Sang famille, mais cette dernière publication n'a pas su gagner mon coeur...

Je me sens comme une extra-terrestre, je ne vois pratiquement que des bonnes critiques au sujet de ce roman! J'avais hâte de le lire, mais je ne suis jamais parvenue à entrer dans l'histoire. Il avait pourtant tout pour me plaire! Malheureusement, je ne ressentais pas le suspense, je ne me suis pas attachée au personnage principal et le récit ne me captivait pas le moins du monde. Ouch, je n'aime pas écrire ce genre d'avis!

Je vais couper court à ma chronique, car je n'étais visiblement pas la bonne lectrice pour ce livre. Je ne doute pas qu'il plaira davantage à d'autres!
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Ça me fend le coeur de mettre un 2/5 à un Michel Bussi, c'est un de mes auteurs préféré, mais là, je suis très très déçue.

Je pensais, au début, que je n'appréciais pas le livre à sa juste valeur car je ne le lisais pas dans le meilleur des contextes. Mais, j'ai fini par me pousser à aller jusqu'au bout. Et, comment dire, j'aurai peut-être même mieux fait d'abandonner. (Ah, que ça me rend triste, vous ne pouvez pas savoir, de parler comme ça d'un Michel Bussi, moi qui l'aime tant).

L'histoire, c'est celle de Folette qui voit, à l'âge de 7 ans, sa mère tuée car elle est tombée d'une plateforme en hauteur. Est-elle tombée ? Son mari alcoolique qui la chassait en la menaçant l'a-t-il poussée ? Ou est-ce un troisième potentiel coupable, Richard Vidame, l'assistant social qui aidait cette famille, dans les apparences, qui l'a tuée ?
Bon, déjà, je trouve que la trame est basé sur rien de particulier. L'histoire aurait pu s'arrêter quand le père de Folette a été arrêté pour féminicide. Sauf que, pour on ne sait qu'elle raison, alors qu'elle n'a que 7 ans, Folette a comme idée, qui germe bien profondément en elle, que ce n'est pas seulement son père qui a assassiné sa mère, mais il y a aussi Richard Vidame qui y est pour quelque chose.

Ma question, c'est : Comment, alors que tu n'as que 7 ans, tu arrives à formuler cette hypothèse et à retenir tout plein de détails sur la nuit où tu as vu ta mère se faire tuer ? Comment ça se fait que tu nourrisses un désir de vengeance au point où tu dédies ta vie à ça, c'est-à-dire te venger sur une hypothèse ?! Tout ça manque cruellement de réalisme, et même, de fond.

La personnage principale est trop pénible avec sa vengeance. Elle pourrait aller de l'avant mais non, toujours à ressasser le passé, on dirait qu'elle se complait dans son malheur.
La fin est d'une banalité. Certes, Michel Bussi arrive encore et toujours à bien maîtriser les codes du suspense, car oui, il en est le maître, et arrive toujours à nous étonner. Mais, ce n'est pas pour autant que ce qu'il nous raconte est à en décrocher la mâchoire. (Snif, encore une fois, ça me fait mal au coeur de parler de lui comme ça)

Puis, le style d'écriture est très particulier. Tout le récit est raconté par Folette sous le prisme du « tu ». Ce tutoiement en parlant de tous les autres est parfois agaçant, mais ça colle au personnage, tu me diras. On a aussi une formulation des phrases très poétique, c'est-à-dire à base de vers, de rimes, de rythmes. C'est très joli et bien ficelé, mais je n'ai pas l'impression que ça ait sa place ici. Je veux dire, dans une romance ou un roman plus léger, ça ferait plus de sens, mais là, j'avais même l'impression que ce n'était pas Michel Bussi qui avait écrit son roman tellement cette plume dénotait de son style d'écriture habituel.

Enfin, les personnages sont tous fondés sur des clichés et stéréotypes des plus banals. On a le caïd, le père alcoolique, la mère endetté, l'assistant social profiteur, la jeune assoiffée de vengeance, une jeune fille qui a développé des attributs physiques trop jeune et qui en profite.
À la limite, les seuls personnages que j'ai vraiment aimé, c'est Steevy et Bolduc, le chat.

Aussi, dernier point, mais ça c'est en raison de mes valeurs, je ne suis pas d'accord avec le fait de pardonner quelqu'un qui a battu sa femme. Qu'il ait tué sa femme ou non, qu'il ait des problèmes d'alcool ou non, pour moi, c'est non. Tu auras beau avoir jugé, été incarcéré et purgé ta peine, moi, mes valeurs seront toujours bien profondément encrées en moi, et pas de pardon. Donc tout le long du roman où Nina et d'autres insistent sur le fait que Folette doit passer à autre chose et pardonner son père, pour moi, c'est pas ok de diffuser ce genre de principes au grand public, de laisser passer les violences conjugales et d'insister pour les pardonner, surtout quand on est un auteur aussi populaire que Michel Bussi.

Alors, Michel Bussi, si vous tombez sur cet avis, ne pensez pas que je critique juste pour critiquer négativement, non, c'est d'ailleurs la première fois que je publie un avis sur un livre. J'ai toujours apprécié votre plume et votre talent, attendu et lu vos romans avec la plus grande attention, et je les ai toujours refermé en me disant "Wow, il fort". Seulement, celui-là, il n'était pas pour moi, mais vous me direz, il en faut pour tous les goûts, et j'attendrai votre prochain avec impatience !
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Dans ce nouveau livre de Michel Bussi, nous sommes centrés au coeur de Rouen où Ophelie voit son père tuer sa mère. Nous suivons alors sa quête de vérité et de vengeance pour découvrir ce qu'il s'est passé le soir de l'accident.

C'est l'une des premières fois que je mets autant de temps à lire un livre de cet auteur et que j'en ressors déçu. En effet, je n'ai jamais été embarqué par la quête d'Ophelie à retrouver la vérité, le suspense est un peu absent et on n'identifie pas de twist comme l'auteur est habitué à nous montrer.

C'est à se demander si le fait de sortir un livre par an ne commence pas à empiéter sur la qualité des romans.
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J avais hâte de lire à nouveau Bussi après les nymphéas noirs et un avion sans elle mais j'ai abandonné !
A un 1/4 du livre, je trouve le récit plan plan...
Je n ai pas accroché à la histoire, aux personnages.
J'ai certainement quitté trop tôt mais la lecture reste une question de feeling 😊
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