Les livres sont comme ça, chacun y voit une petite part de lui. Ils peuvent être des réponses à des questions qui nous tourmentent, et même à celles que l'on ne s'est pas encore posées. Les livres ont un immense pouvoir.
Posséder ne rend pas heureux.
Ce qui rend heureux, c’est la capacité de créer.
la foule nous offre quelque chose qui ressemble beaucoup à la solitude, vous ne croyez pas ? Nous décidons de ne pas voir, de ne pas entendre
Ils somnolèrent tout le reste du voyage, leurs mains se cherchant de temps en temps. Le silence était redevenu un endroit dans lequel ils pouvaient se retrouver. Ce n'était pas une barrière, mais plutôt un lien entre leurs pensées.
Et tu sauras
Que ta route se construit chaque jour
Car demain
N’est pas une terre assez ferme pour y construire quoi que ce soit
Et le futur parfois
S’effondre en plein vol.
Un jour, tu sauras
Qu’on se brûle à trop s’approcher du soleil
Et tu cultiveras ton propre jardin
Tu embelliras ton âme
Au lieu d’attendre
Que quelqu’un t’apporte des fleurs
Rien ne peut te rendre plus libre qu’un livre. Entre ses pages, il y aura toujours une place pour toi. Et c’est toi ensuite qui décideras quoi en faire.
Les livres possèdent quelque chose de spécial. Du fait de leur nature même, ils contiennent potentiellement des réponses à toutes sortes de questions. C'est pourquoi la fascination que les livres disparus exercent sr nous est double : parce que chacun projette en eux ses propres espoirs.
Tu sais qui tu es et ce que tu veux. Ce n'est jamais un problème pour toi. Regarde-moi et dis-moi : à part ta femme, je suis quoi, moi ?
Les livres possèdent un grand pouvoir, celui d'allumer ce qui est déjà en toi, comme des étincelles. Ce sont des révélateurs. (page 191 ligne 17)
Les livres, dans sa prison, étaient une fenêtre sur le monde, sur les lieux dans lesquels elles se rendaient en imagination.