L'unique raison de cette lecture tient au fait que j'ai emprunté ce tome en même temps que le précédent à la médiathèque. Je l'ai donc lu sans réel espoir de constater une amélioration par rapport à "Qui a tué Jean Grey ?".
Suite directe de l'opus susmentionné, l'intrigue est légèrement plus compréhensible mais tout aussi risible. Pour commencer les dessinateurs ont pris le "Noir" de cet collection au pied de la lettre pour nous refourguer des planches plus sombres les unes que les autres. Ensuite, l'histoire n'a aucun intérêt et se perd dans des rebondissements à deux balles du genre "Ah ah ! J'ai fait semblant de succomber à votre lavage de cerveau ! Je ne suis pas devenu l'esprit diabolique de mon frère jumeau décédé ! Ah ah je vous ai eu !" Une seule pensée m'est venue à l'esprit : "Pauvre tâche !".
Oui je suis méchant parce que c'est quand même se fou*** de la gueule du lecteur que de proposer ce genre de retournement de situation. A un moment donné soit le scénariste a écrit ça vite fait dans le métro entre deux stations pour payer ses factures, soit il ne mérite pas son titre de scénariste.
Pour finir, j'ai un peu mieux compris pourquoi je n'avais pas accroché dès le premier volume : tous les personnages sont antipathiques. Pas un pour rattraper l'autre. Pas un qui nous accroche. Ils pourraient tous mourir durant leur aventure qu'on ne verserait pas une larme, qu'on n'aurait pas un instant un regret ou autre. C'est vide d'émotion...
Bref, je déconseille vivement cette lecture ! SURTOUT ne l'acheter pas !!!
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Cette transposition de l'univers marvel dans le monde du polar n'est pas une réussite. Les dessins semblent figés dans une trame sombre et pesante, ce manque de dynamisme nuit à la compréhension d'une histoire déjà bien confuse.
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- Les armes atomiques vont rendre les guerres traditionnelles obsolètes et impossibles à gagner. Formés, dirigés, les individus asociaux comme mes X-Men seront les agents idéaux dans le conflit imminent contre les Bolcheviks.
Artist Interview: Dennis Calero (Derby City Comic Con 2012)