Jean-Marie n'avait été ni plus ni moins incommodé qu'un autre jour par la chaleur épaisse qui précédait l'arrivée quotidienne de l'orage. Pas davantage il n'avait cédé à l'effervescence affolée de ses concitoyens et de ses collègues lorsque la rumeur avait commencé de courir. Cette histoire de couvre-feu n'était au plus qu'une mauvaise plaisanterie. Au pire une erreur.
Très vite, cependant il remarqua que les chats avaient déserté la ville. Personne ne voulai... >Voir plus