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J'ai beaucoup aimé ma lecture et pour cause, je l'ai lu en deux jours !! L'écriture est fluide, addictive, et il y a deux points de vue racontés par les personnages principaux. L'un est celui de Yvon, relaté dans un journal de bord, et l'autre est celui de "Galathée", la petite sirène. D'autres personnages secondaires, dont les soeurs de la petite sirène font leur apparition et bien sûr, il y a la sorcière des mers.

Tous les ingrédients de la réécriture du conte sont présents. Cette histoire a frôlé le coup de coeur, mais avec le faible nombre de dialogues, ça m'a un peu gênée je dois avouer, car je trouve que les paroles rendent encore plus vivant un récit, mais ce n'est que mon avis.
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Ce livre est le tout premier que je lis des éditions Magic Mirror et le second roman édité par cette toute petite et toute récente maison d'édition est déjà en prévision de lecture. Autant vous dire que je guette la sortie de leur prochaine édition, prévue pour courant 2018, comme la prochaine saison de Game of Throne (si, si, c'est un compliment).
Claire Carabas signe une réécriture de la petite sirène d'Hans Christian Andersen (dont le conte original est à la fin du livre) bien loin du conte de fée quasi-idyllique que nous avait proposé Disney (Ce n'est pas une critique, j'avais adoré). Ici, dès le prologue, on s'attend à une histoire plus sombre, plus tragique, et on va en avoir pour notre argent, si j'ose dire.
La petite sirène, dont nous ignorons le vrai prénom mais qui va être baptisée Galathée (Toutes ses soeurs ayant un prénom commençant par un N, je suppose qu'elle doit elle aussi avoir un prénom en N), va, lors d'une excursion à la surface de l'eau, repérer et tomber folle amoureuse d'un humain en train d'effectuer un tour du monde en solitaire.
Comme dans le conte ou le Disney, le père de notre sirène n'apprécie pas, mais alors pas du tout, cette inclination. Mais là où le roi Triton avait une forte tendance à hurler mais finissait par se laisser fléchir, celui de « Galathée » est plutôt du genre impitoyable, prêt à sacrifier sa fille plutôt que de céder. Son attitude m'a vraiment choquée.
Le récit alterne entre le récit de Galathée et le journal d'Yvon, le marin de ses rêves. On a du coup les deux points de vue, ce qui donne de la profondeur à l'histoire.
Certaines des scènes du contes sont ici dignes d'un film d'horreur, notamment la scène où elle donne sa voix à la sorcière des mers.
Concernant les personnages, si je me suis assez vite attachée à Galathée, je suis restée assez froide vis-à-vis d'Yvon. Je lui ai préféré les personnages secondaires comme les soeurs de Galathée ou le meilleur ami d'Yvon.
J'ai beaucoup aimé la fin. En fait c'est la fin que j'aurais voulu avoir dans le conte d'origine et j'ai trouvé que l'auteur avait eu une super idée.
Quant à la fin, même si quelques pages avant j'avais compris de quoi il retournait, j'ai vraiment trouvé ça bien trouvé et original.
J'ai passé un excellent moment avec ce livre que je conseille à tous (enfin, pas aux plus jeune car l'histoire est bien plus sombre).
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La jeune sirène, fille du roi des mers, rêve d'ailleurs. Un jour qu'elle s'échappe vers la surface, elle est frappée par l'amour en découvrant Yvon qui sur son bateau à voile tente de boucler son tour du monde en solitaire. Elle quitte donc définitivement son monde et vend sa voix en échange de jambes. Guidée par l'amour, elle réussit à se faire une place dans la vie d'Yvon. Mais un homme et une sirène sont-ils fait pour s'aimer?

[Lire la suite]

Réécriture de la Petite Sirène de Hans Christian Andersen, le roman suit pas à pas le conte d'origine. Cependant, l'histoire se situe dans le monde contemporain, ce qui renouvelle considérablement le mythe de la sirène et du prince charmant. En effet, si la sirène attirée par le monde des hommes reste très proche de l'univers imaginaire traditionnel, le personnage d'Yvon est plutôt surprenant. Il ne ressemble pas au prince des contes: bourru, misanthrope, maladroit... Yvon glisse malheureusement souvent vers le personnage du garçon torturé par un sombre passé, typique, trop typique de la romance et il perd alors un peu de son intérêt.

Le roman fait alterner les voix de la sirène et d'Yvon dans un valse de points de vue. Si cette réponse intérieure des deux personnages permet de comprendre à quel point leur relation est tissée d'incompréhensions, j'ai parfois trouvé cette technique parfois répétitive et un peu confuse au niveau de la présentation.

Le roman a cependant réussi à me surprendre par bien des aspects: la précision du vocabulaire maritime donne une vraie force et un certain réalisme au récit. C'est surtout la fin que j'ai trouvé intéressante. le conte d'origine, souvent mal connu, s'achève de façon pathétique. Je me rappelle d'ailleurs avoir été bouleversée par la version animée que j'avais vu quand j'étais petite. Ici, l'auteur réussit le tour de force de rendre le récit encore plus sombre et peut-être plus profond. Cette fin rattrape pour moi les faiblesses du début du roman que je trouvais un peu lent et sans surprise.
Lien : https://betweenthebooksentou..
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Cette fois-ci on plonge sous la mer pour découvrir une nouvelle adaptation réécriture de la Petite sirène. Ainsi, tous les éléments que l'on peut attendre sont là exactement à la place à laquelle on s'attendait. Néanmoins, il faut tout de même souligner le manque malheureux d'éléments nouveaux qui sortent un peu de l'attendu. Pour peu que l'on connaisse déjà l'histoire originale et son univers, on connait déjà l'univers associé à ce roman, bien qu'il soit porté par des descriptions qui permettent de parfaitement l'ancrer dans l'esprit du lecteur.

Cette histoire est certes très largement inspirée du conte de la petite sirène, l'original, pas celui de Disney, on a quand même quelques éléments et rebondissement qui apportent un vrai plus au récit. Ainsi, le lecteur prend plaisir à découvrir ce récit, ponctuée d'évènements attendus, mais également d'éléments inattendus, apportés par l'utilisation de points de vue encore jamais explorés. Et ce vent de fraicheur est vraiment bienvenue : il intrigue le lecteur, rythme sa lecture. Bref, un vrai bon point.

J'ai eu un peu plus de mal avec les personnages. Si notre héroïne est très attachante avec sa curiosité, elle est exactement comme on peut s'y attendre : c'est une vraie petite sirène comme on peut l'imaginer. Mais le récit la fait évoluer pour notre plus grand plaisir ! Ainsi, on aime découvrir cette évolution au fil des pages, qui donnent alors l'impression de s'animer sous nos yeux. D'ailleurs, les autres personnages, notamment son love interest, sont vraiment très interessants. Ils sont pleins de vie et globalement réalistes, ce qui fait que l'on peut s'identifier à l'un d'eux facilement.

La plume de l'autrice est également assez charmante. Elle arrive à faire s'animer les mots pour qu'ils coulent sur la page comme l'eau dans une rivière. Alors, le récit nous parait aussi fluide que la nage d'une sirène. de plus, l'atmosphère est également très bien adaptée aux différentes révélations et aux évènements qui marquent le récit. Ni trop lourde, ni trop légère, elle permet de placer un voile de réalisme sur cette histoire qui parait alors encore plus attirante.

Une réécriture très sympathique à découvrir.
Lien : https://lecturesdunedevoreus..
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C'est dans le cadre d'un SP pour @magicmirror_editions que j'ai lu cette réécriture du conte de la petite sirène, un de mes contes préférés !
Et le moins que l'on puisse dire c'est que je ne m'attendais pas à ça !

On est donc dans une réécriture du conte, dans le monde moderne, loin de l'histoire d'amour idéale. Ici on tombe dans un univers bien plus sombre, rempli d'états d'âme, de désillusions et de remords.
Le double point de vue apporte un vrai plus à l'hisoire, on peut confronter les 2 regards, et j'aime beaucoup. Mais si j'ai de suite accroché avec le point de vue de Galathée, sirène rêvant de découvrir la terre, j'ai eu plus de mal avec le point de vue de Yvon.

La plume est fluide et poétique et ça a été un vrai plus dans ma lecture. Malheureusement j'ai trouvé certains passages un peu longs, j'avais envie que les choses avancent.

Ça reste une bonne lecture mais je pense que j'avais envie d'un peu plus de légèreté à ce moment là et que cette lecture est assez sombre. En tout cas si vous aimez les réécritures de contes je vous le conseille vraiment.

Et super idée de mettre le conte original en fin de livre !!
Lien : https://instagram.com/hedwig..
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Je vais être honnête : je n'ai pas vraiment aimé cette histoire, notamment à cause du style d'écriture, mais également à cause des personnages. Globalement, je me suis ennuyée... A partir du moment où je n'adhère pas à la plume de l'auteure, c'est assez compliqué d'apprécier une histoire...

J'ai trouvé les personnages peu intéressants et je ne me suis pas vraiment attachée à eux. le rythme est très lent et je n'ai pas vraiment eu l'impression qu'il se passait grand chose... Il y a énormément d'introspection (peut-être trop à mon goût), ce qui fait que l'histoire est ralentie.

Je me suis ennuyée au cours de ma lecture... J'ai néanmoins apprécié la fin de l'histoire, et également le fait qu'il y ait le conte original à la fin.
Lien : https://ariverofbooks.blogsp..
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Ici, ni crabe chanteur ou goéland farfelu. Yvon n'est pas non plus prince, il est marin, taciturne, et vit seul dans une bicoque. On est sur l'adaptation du conte d'Andersen et je trouve cette version à la fois plus belle et plus cruelle.

Le récit est écrit à la première personne, les voix de Galathée et Yvon s'entrecroisent, nous racontent leur quotidien, les questionnements, les non-dits, les quiproquos, les réponses auxquelles l'un et l'autre n'ont pas accès. On assiste à ce ballet en ayant toutes les cartes mais en étant impuissants face à la détresse du silence qui les entoure

Ils ne savent comment agir, ne se comprennent pas.

Autour d'eux gravitent deux autres personnages Martin le meilleur ami d'Yvon et Johanna qui va apprendre leur langue à Galathée (car celle-ci ne la comprend que partiellement gros plus de l'auteur d'avoir rajouté cet élément!!), va lui apprendre à lire, écrire et à signer.

Ce roman a une grande force psychologique (bien plus qu'il n'a d'action)
Galathée se heurte de plein fouet à la réalité, la douleur de son sacrifice, la douleur de l'incertitude, on la sent naïve, fragile, totalement perdu face à un Yvon qui ne semble pas reconnaître en elle la forme humaine aperçue en mer, j'ai eu beaucoup d'empathie pour elle.
J'ai moins apprécié Yvon, s'il semble fasciné, émerveillé par la jeune fille il semble aussi être un handicapé des sentiments et se laisse porter, n'agit pas, attend.
Peu à peu Galathée s'efface, devient mélancolique, passe de plus en plus de temps à retourner au bord de l'océan...

La plume de l'autrice est poétique, sublime, fluide, aérienne (même si ça se passe en mer et sur terre!), on est happé par son récit, par ses descriptions des profondeurs de l'océan.
L'histoire, à nouveau, est plus axée sur le plan de la psychologie, tout est dans les silences assourdissants, dans la détresse qui ressort des propos de Galathée.

Énorme plus sur le prologue (je déteste les prologue) je crois l'avoir lu au moins 3 fois.
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Cette histoire est atypique et surprenante. Tant par le style de l'auteure que par le choix de fin. J'ai apprécié les quiproquos et incompréhensions entre les deux personnages principaux qui conduisent à cette fin magistrale pour ne pas dire tragique. L'atmosphère de ce roman ressemble beaucoup à celle du conte d'Andersen et se rapproche de l'essence même des contes d'origine dont l'histoire était bien moins enjolivée, presque terrifiante.
Je recommande cette lecture sans hésiter !
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Une première lecture des romans proposés par Magic Mirror édition qui me donne envie d'en lire plus.
En effet, avec ses phrases poétiques sans être pompeuses, Claire Carabas nous plonge dans un monde aquatique sans que nous ayons à faire d'effort pour imaginer le paysage.

Si j'ai trouvé la première partie du voyage d'Yvon un peu longue, ça ne m'a pas empêchée de dévorer le livre en peu de temps. Comme beaucoup, j'apprécie le fait d'avoir droit au point de vue de l'homme dont la petite sirène tombe amoureuse, ce qui donne une toute autre dimension au récit ainsi que la réponse à de nombreuses questions. Cependant, j'aurais aimé voir les pages sur les pensées de Galathée plus présentes, cela m'a un peu manqué dans le récit là où au contraire je trouvais Yvon parfois trop omniprésent.
La façon de raconter l'histoire est fluide et on se laisse porter au fil des mots pour arriver à cette fin tragique, qu'est celle de la petite sirène. Cependant, au lieu de crier notre révolte face à l'injustice de la situation, nous comprenons pourquoi et comment nos deux protagonistes n'ont pu se rapprocher, faire le premier pas. En effet, chacun avait ses raisons et elles tenaient la route. Nous nous retrouvons donc spectateurs omniscients du drame et la seule chose que nous aimerions pouvoir faire c'est de réussir à réunir ces deux personnages.


Le livre est également ponctué de petites perles bien pensées qui lui donnent toute sa saveur. On nous explique le pourquoi, dans un monde réaliste où brille une touche d'inexplicable, de mystère et de merveilleux. parmi mes détails préférés :


Son ton contemporain et sa portée universelle de l'amour incompris permet également de rendre accessible ce livre à des lecteurs n'appréciant pas forcément les contes. Fiez-vous à la ligne éditoriale de la maison, il s'agit-là bien de romans dont nous parlons.
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3 mots pour décrire cet ouvrage : extraordinaire, époustouflant, bluffant ! Je dis ça sans surenchère.

Rien n'est laissé de côté dans ce conte. On sent le travail énorme de l'auteure, le souci du détail, de la précision. L'écriture est poétique au point de vous donner envie de le lire à haute voix pour savourer certaines phrases. Pour vous donner un aperçu et si je ne devais en citer qu'une, ce serait celle-ci : « Les craquements infimes et le battement de l'horloge qui égrenait ses coups comme un coeur tranquille que rien n'accélère ou ne fige.«

Nous avons un prologue au début, et….. vous savez ce que je pense des prologues… mais là, il rentre directement dans le top 10 des meilleurs prologues que j'ai pu lire, et ce n'est pas peu dire.

Le récit commence comme une devinette, une présentation imagée et détaillée de la fille du roi des océans, et en le lisant je me suis rendue compte que je ne le lisais pas, je le fredonnais dans ma tête comme une mélodie, tellement la poésie des mots vous saisit. C'est brillant et bien exécuté.

Nous avons un « bestiaire marin » large et détaillé, j'ai particulièrement aimé les « poissons de trait », c'est joliment imaginé.

Les termes marins sont utilisés sur une grande partie du récit : c'est précis, c'est savant, on y comprend rien, mais c'est pas grave on vit l'aventure comme si on était sur ce bateau. Je crois que même si j'avais regardé navigation TV pendant un mois et 24 heures sur 24, je n'aurais jamais été aussi précise, ni décrit avec tant de talent l'aventure en mer. J'exagère quand je dis qu'on n'y comprend rien, les rares termes dont j'ignorais le sens, il me suffisait d'appuyer dessus pour que mon Kindle m'en offre la définition. Quand je voyais dans la définition « terme marin », j'étais soulagée de me dire que mon surnom de « dictionnaire sur pattes » avait encore du sens, puisque je n'ai butté que sur les termes marins. Parce que quand il est écrit « Je conserve trois ris de grand voile et le foc de route. », je suis un peu perdue, j'avoue. Cela dit, en aucun cas, cela n'empêche de savourer le récit. Les termes marins sont tout simplement une énorme plus-value.

J'ai trouvé intéressant d'être tour à tour dans les pensées de la sirène, puis dans les pensées de notre marin, de les sentir à la fois si proches et pourtant si loin. D'être dans leurs têtes et au plus profond de leurs coeurs, vous met en immersion totale et croyez-moi vous n'en sortirez pas indemnes. J'étais plongée au coeur de ces êtres, je ne voulais pas en sortir, j'étais eux, je vivais et ressentais tout ce qu'il pouvait éprouver : expérience intense au point d'arriver à la fin sans s'en rendre compte, et sans même y croire. La fin je ne vous en parle même pas. Ce n'est pas ce à quoi je m'attendais, ni ce que j'espérais, mais c'est sublime.

Claire Carabas s'est mise dans la peau de la sirène qu'elle a créée, elle a regardé ce qui l'entourait comme si elle le voyait pour la première fois du simple pan de mur à la baignoire, tous les objets de notre quotidien auxquels on ne prête pas attention avaient une toute autre dimension et c'était remarquable de sincérité.

Mon admiration s'est portée spécialement sur les sentiments intériorisés par Yvon, notre marin, et Galathée, notre sirène (puisque c'est ainsi qu'il l'a prénommée). Yvon est une sorte d'handicapé des sentiments, complètement inapte à mettre un mot sur une émotion, prisonnier de la position dans laquelle il s'est placé vis à vis de Galathée. Il est extrêmement touchant et sensible. Quant à Galathée, elle est pleine de surprise, elle déploie des efforts insoupçonnés, elle se démène. Malgré son jeune âge, elle n'est pas faible, elle ne sait juste pas comment s'y prendre pour qu'Yvon se rapproche d'elle. Elle rêve non pas qu'il l'embrasse ou lui prenne la main, non son bonheur suprême serait qu'il démêle sa chevelure (c'est la chose la plus sensuelle qui soit pour une sirène), puisque le pouvoir ou du moins l'attrait des sirènes est dans leur chevelure et dans leur voix.

L'auteure a exploré la promesse de l'espoir d'aimer dans toutes ses largeurs, être autant attiré par l'autre, par la promesse des mots, par la promesse des gestes et des regards, espérer et être brisé, toujours sur la corde sensible et la symbolique avec la falaise dans le récit était parfaitement judicieuse : ma-gni-fique !

Pour tout vous dire, je fais de mon mieux, mais ma chronique quoi que je fasse restera bien pâle et les mots ne suffiront pas pour vous décrire mon ravissement. J'étais époustouflée tout au long de ma lecture, autant émue par le conte que par ce talent d'écriture : du génie !

Claire Carabas a un talent indéniable, et une finesse d'écriture rare. Les dernières phrases du conte vous mettent K.O.

Mon seul regret : ne pas connaître le vrai prénom de la petite sirène…

Procurez-vous ce conte le plus rapidement possible, je le trouve parfait pour cette saison d'automne qui commence. Laissez la mer vous murmurer ses secrets.

Bon voyage !
Lien : https://ettoitulisquoi.fr/20..
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