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Citations sur La chimie des larmes (18)

J'ai pensé pendant des années que l'horlogerie devait calmer toutes les tempêtes qui grondent dans votre poitrine. Je le pensais, j'y croyais, je me trompais complètement.
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Il m'a dit que les larmes produites par les émotions sont d'une composition chimique différente de celle des larmes dont nous avons besoin aux fins de lubrification. Ainsi, a-t-il expliqué, mes honteux petits mouchoirs contenaient maintenant une hormone participant au processus de satisfaction sexuelle, et une autre qui faisait diminuer le stress ; avec, enfin, un puissant anti-douleur naturel.
"Comment l'appelle-t-on ? ai-je demandé.
- La leucine encéphalique", a-t-il souri. J'en ai pris note.
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Ce n'est pas parce qu'on est obsessionnel qu'on est fou, ai-je pensé.
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Mort, et personne ne me l'avait dit. Je suis passée devant son bureau et son assistante sanglotait.
-Que vous arrive-t-il, Felicia ?
-Oh, vous n'êtes pas au courant ? M. Tindall est mort !
J'avais compris « M. Tindall a tord ! ». J'ai pensé : pour l'amour du Ciel, reprends-toi !
-Ou est-il, Felicia ?
C'était un peu désinvolte de dire ça. On était amants depuis treize ans, mais M. Tindall était mon secret et j'étais le sien. D'habitude, j'évitais son assistante.
Elle avait la bouche toute barbouillée de rouge à lèvres et fripée comme une vieille chaussette.
-Où il est ? A-t-elle sangloté. Quelle affreuse, affreuse question !
Je ne comprenais pas. J'ai redemandé.
-Mais Catherine, il est mort ! Et la voilà repartie à sangloter.
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Je chialais et je chialais et c'était moi maintenant qui avais une bouche grimaçant comme une marionnette faite avec une vielle chaussette.
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« Cent fois, aux petites heures du jour, je me suis réfugiée auprès d'Henry Brandling, dont l'écriture légèrement automatique masquait en partie l'étrangeté des événements qu'il décrivait. Son histoire constituait, au meilleur comme au pire sens du terme, un récit intrigant. De fait, on était souvent déconcerté ou frustré par ce qu'il avait omis. La narration était pleine « d'embardées » brutales et déconcertantes. »
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Mort, et personne ne me l'avait dit. Je suis passée devant son bureau et son assistante sanglotait.
-Que vous arrive-t-il, Felicia ?
-Oh, vous n'êtes pas au courant ? M. Tindall est mort !
J'avais compris « M. Tindall a tord ! ». J'ai pensé : pour l'amour du Ciel, reprends-toi !
-Ou est-il, Felicia ?
C'était un peu désinvolte de dire ça. On était amants depuis treize ans, mais M. Tindall était mon secret et j'étais le sien. D'habitude, j'évitais son assistante.
Elle avait la bouche toute barbouillée de rouge à lèvres et fripée comme une vieille chaussette.
-Où il est ? A-t-elle sangloté. Quelle affreuse, affreuse question !
Je ne comprenais pas. J'ai redemandé.
-Mais Catherine, il est mort ! Et la voilà repartie à sangloter.
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« Nous savions, elle et moi, écrivait Henry Brandling en 1854, comment un enfant pouvait enchanter votre âme ou vous tordre les veines et vous emplir en permanence de crainte et de tremblement. »
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