Calendar Girl, tome 1 : Janvier

Déçue
Avec tous les bons commentaires que j'ai lus je suis déçue Voici une saga pour les adolescentes de 10 à 12 ans qui ne savent pas quoi lire. Une littérature sentimentale a l'eau de rose qui manque de peps
Certain le classe comme érotique mais pourtant a érotique du tous bien au contraire. Je vais lire le mois de février car j'ai téléchargé les 2 en même temps, mais s'il n'y a pas d'évolution je m'arrêterais là

ATTENTION :

Si vous suivez le blog depuis quelque temps déjà, vous le savez, ou vous vous en doutez fortement : n'étant pas une grande fane de romance j'ai encore plus horreur de CE genre de romance qui est clairement de l'érotisme… On pourrait alors se demander pourquoi avoir lu une telle « chose ». Ma réponse sera simple et peut-être bidon, mais c'est à titre d'expérience ! N'en ayant jamais lu, j'avais besoin de matière pour me faire mon propre avis, besoin de preuves écrites pour pouvoir mieux critiquer le genre. J'ai été servi ! Il y a de quoi parler !

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L'histoire :

Je ne vais pas vraiment me concentrer là-dessus : c'est juste une fille qui va entrer dans une agence d'escorting (que tient sa tante, qui l'encourage par la même occasion) afin de rembourser les dettes de son père. Pour ce faire elle passera les douze différents mois de l'année chez un homme (qui a les moyens) différent. Dans son contrat il est stipulé qu'elle n'est pas obligée de coucher avec l'homme en question, MAIS si elle le fait elle a une promotion. Que dire de plus ? le « suspense » (dans la mesure du possible) fait de l'histoire un récit très prévisible et ennuyeux. Je préfère donc me consacrer sur tous les trucs à faire ressortir de ce livre.

Tous les clichés :

Attention la liste va être très longue.

– NUMERO 0. Sa tante et sa meilleure amie l'encouragent à se lancer dans cette aventure et d'en profiter à fond. Elles conseillent à Mia de se décoincer et de profiter de sa jeunesse pour accéder à plein de richesses matérielles. Voilà. Continuons…

– NUMERO 1. Une femme doit forcément être très grande et très fine (mais avec plein de formes) pour être belle (Wups erreur ! On dit bonne dans ce livre). C'est logique on est d'accord qu'une femme qui n'a pas les dimensions des mannequins Victoria Secret ne l'est pas ? #humour Honnêtement, au début du livre Mia se disait de taille grande mais avec des formes patati patata je me suis dit « chouette elle doit avoir les mêmes pseudos-abdos que moi !) La grosse blague. En fait elle a juste le gabarit « à la mode » ou « Instagramable » qui correspond aux idéaux féminins actuels. Tous les corps sont beaux, arrêtez de nous faire complexer.

« Tu mesures quoi – à peu près un mètre quatre-vingt-cinq ? Et tu pèses soixante-trois kilos ? »

– NUMERO 2. Encore une fois des formes ce n'est pas uniquement avoir de la poitrine et des fesses. C'est super d'en avoir et de ne pas en avoir. Chacun est beau à sa manière. Cette phrase je l'ai trouvé hyper offensante.

« – Ça te plaît ? je demande en me déhanchant, consciente que ça accentue mes courbes. Car je sais que mes courbes lui plaisent. Il m'a dit des tonnes de fois qu'il était amoureux de mon corps. Il aime les femmes avec des formes – pas les brindilles avec un corps d'enfant. »

– NUMERO 3. Les insultes sont très nombreuses. Je suis peut-être mal placée pour critiquer ce fait mais JAMAIS au GRAND JAMAIS je ne parlerai comme cela à une amie. C'est vulgaire, méchant et mal placée. A ne pas utiliser.

Exemple 1 :

« – Salut ma salope ! Ça fait longtemps ! crie Ginelle d'une voix agacée. / – Salut ma pute, désolée de ne pas t'avoir appelée, mais je travaillais ».

Exemple 2 :

« J'éclate de rire. / – Pour voir ton cul de salope en bikini ? Beurk. / Je fais un bruit de régurgitation et je fais semblant de m'étouffer. / – Tu es tordue, tu sais. Je crois que je vais annuler ton statut de meilleure amie, crache-t-elle. / – Tu ne peux pas révoquer mon statut – je le suis et puis c'est tout. Comme les dix commandements, c'est comme ça. / – Tu viens de comparer notre amitié aux dix commandements ? Tu es sérieuse ? / – Euh… ouais ! / – Tu vas aller en enfer, déclare-t-elle. / – Si c'est le cas, tu auras intérêt à être là pour venir me chercher ! / Elle glousse et je souris en serrant fort mon téléphone. / – Bien sûr que je serai là. / – Je t'aime. / – Je t'aime aussi, salope. ». Que dire de plus ?

– NUMERO 4. C'est triste comment les gens peuvent se servir du sexe pour obtenir ce qu'ils veulent. Je trouve ça vraiment très triste que les sentiments et les valeurs de certaines passent après ça. Je suis peut-être bloquée dans un rêve ou dans l'espoir d'une vraie romance… Pour moi ce livre est tout sauf ça…

« Je suis sûr qu'il y a beaucoup de choses que tu peux faire, Chérie, mais j'ai besoin d'aider ma nana pour me sentir viril. Et puis, tu es sympa de jouer le jeu. / … mon Dieu, cet homme est un sex-toy géant. Depuis cette conversation, ils baisent comme des lapins. Mon Dieu, c'est affreux. Je n'ai même pas encore quitté Wes que je salive devant la photo du prochain. Peut-être suis-je une salope, finalement. »

Toutes les remarques :

– Douze. C'est tout bête mais j'aurai trouvé comique qu'il y ait 12 chapitres dans une série de livres qui se décompose pour former les 12 mois de l'année. L'impact aurait été différent que celui de diviser la saga en 12 tomes mais ce genre de situation comique/mise en abîme m'aurait bien fait rire. (P.S. : je suis bon public)

– Vulgaire. Je ne sais pas si je suis la seule qui ait été choqué par un certain type de vocabulaire, après c'est une romance érotique il ne faut pas trop lui en demander, mais les expressions « baiser » et « à poil » je trouve ça vraiment moche. Dans un moment qui se voudrait « sensuel » baiser ne s'utilise pas… On peut dire à la limite « faire l'amour », même crac-crac (coucou les Sims) c'est mieux ! Et que dire de « à poil » ? C'est juste moche… Ça fait gros beauf… Bref ça n'a rien de romantique comme « romance ».

– Instant de prévention. ON N'OUVRE PAS UN PRÉSERVATIF AVEC LES DENTS ! Je veux bien que nos personnages soient dans le feu de l'action hop hop hop il se passe des choses, peut-être que la nana a trouvé ça « sexy », « animal » ou que sais-je de tordu mais BON SANG DE BONSOIR on n'ouvre PAS AVEC LES DENTS ! Je vais faire la personne reloue mais le préservatif peut être endommagé, voir directement percé et il n'y a alors plus aucune utilité de l'utiliser ! (P.S. même s'il n'est pas directement percé mais « juste déformé » sous l'échauffement du latex la protection peut se rompre pendant l'acte)

– OUVRONS LES YEUX. Franchement l'idée aurait pu être plus exploitée. C'est à la base un peu originale mais dans un sens plus éthique ça aurait été plus intéressant. Je vais vous ressortir la phrase clichée de 50 nuances de Grey pour démontrez quelque chose qui me gêne beaucoup « si Christian Grey n'avait pas été millionnaire et s'il avait vécu dans une caravane ça aurait été un épisode des Experts ». L'histoire de Mia semble sortir de l'ordinaire car une jeune et belle femme de Las Vegas (Oui L.A. à prononcer aile-haille pour accentuer le truc) qui enchaîne les beaux millionnaires de la contrée… Et tout le monde trouve ça excitant… Pourquoi ne pas parler des femmes qui sont obligées de vivre ça pour payer les vraies dettes de leur famille dans des pays ou la prostitution est « leur première option » pour avoir un « boulot » stable ?

Je vous laisse un petit reportage « Bangladesh : dans le bordel de Daulatdia | ARTE Reportage » qui fait bien réfléchir…



Les éléments paradoxaux :

Il y a deux petites choses qui m'ont intrigué lors de ma lecture. Ce sont des petites citations pas si bêtes que ça, avec lesquels je suis extrêmement d'accord. Je ne m'attendais juste pas à les retrouver dans un livre pareil surtout avec le nombre incalculable de mots ou d'idées négatives et pas constructives écrites.

– NUMERO 1. « Lorsqu'elle refroidit et qu'elle durcit, elle appuie sur ma peau pour arracher tous mes pauvres petits poils, me laissant davantage comme une petite fille que comme une femme. C'est déprimant, et je ne comprends pas pourquoi des femmes font ça volontairement si elles ne sont pas payées une fortune. Je sais ce que j'y gagne, moi – c'est quoi leur excuse, à elles ? » Bon je ne suis pas d'accord avec la partie où elle est excusée. Chaque femme devrait être libre de faire ce qu'elle veut de son corps et arrêter de s'infliger le maquillage, l'épilation et tout ce qui va avec pour correspondre aux standards. Je vous renvoie vers une superbe vidéo de la Carologie pour vous expliquer ça :


– NUMERO 2. « – Est-ce que tu as déjà été amoureux ? / Il tourne brusquement la tête vers moi en souriant légèrement. Il s'allonge sur le dos en se redressant sur ses coudes, et il secoue la tête. / – Non, je ne crois pas. J'ai cru l'être, une ou deux fois, mais comme je l'ai dit, les choses n'étaient jamais simples. Je crois que lorsqu'on aime quelqu'un, c'est censé être facile. Les choses doivent trouver leur place naturellement, sans forcer, non ? / Je hoche la tête. / – Les planètes, les lunes et les étoiles s'alignent et tout fonctionne, c'est ça ? je réponds en souriant. / – Quelque chose comme ça, ouais, dit-il en riant. Et toi ? ». Cette définition de l'amour est bien trop jolie pour se retrouver dans ce livre. Oui je suis une rageuse.

Les autres réflexions :

Il y a encore tant de choses à dire. Tant de clichés, de stupidités à démonter. Voici quelques liens de choses qui m'ont intriguées ou fait réfléchir :

Sur la blogosphère :

– L'article d'Aurelalala parlant de son rapport avec la romance et l'érotisme. C'est drôlement intéressant et sa vision des choses permet de comprendre la situation « particulière » de la place de l'érotisme dans le milieu de la romance PAR quelqu'un lisant justement de la romance… Bref je ne vous en dis pas plus heureusement que le Tempo des Livres à reblog son article parce que c'était fort sympathique ! L'article en question : ICI

– Là pour le coup ça n'a pas été un article en particulier, la réflexion et l'envie d'écrire sur ce livre sont un peu la faute (encore :p ) du Tempo des Livres avec qui j'ai beaucoup échangé ! D'ailleurs si vous le pouvez, aller faire un tour sur son blog elle lit des genres et histoires vraiment intéressants ! le lien :ICI

Autres articles, presse :

– « Réactionnaire », « stéréotypée » : la romance érotique, un genre faussement sulfureux ? explique l'image de « l'homme dominant », « C'est Barbie et Ken qui baisent », « Ça reste du fantasme »…

– « Ma fille a lu un roman érotique » cet article je l'ai trouvé « un peu trop » dans l'excès. Ce sont les intrigues de parents ayant appris que leur fille a lu un roman érotique… Il n'y a rien de si choquant que ça j'ai été assez surprise même. Calendar Girl est certes mon vrai premier livre de ce genre mais j'ai eu une période (sombre) ou je ne lisais que des Harlequin. C'était des romances plus douces et même si, effectivement, il y avait des passages un peu olala soit je zappais, soit je lisais et puis disons que ça apprend des choses. Ce n'est pas pire que tous ces sites X… Je pense qu'il faut savoir doser entre l'addiction à ce genre de chose et la curiosité. Je pense que si c'est lu avec une prise de recul ça peut effectivement être intéressant. Tant qu'on reste dans le respect de ces valeurs et celles d'autrui, tout va pour le mieux.

Le dernier mot :

Comme vous avez pu le constater j'ai adoré ce livre !

Non soyons honnête… Ce n'est vraiment pas un livre que je recommande et ça me fait très mal de savoir que c'est une femme qui l'a écrit.

A titre de curiosité je pense que ça peut être intéressant de le lire. Il y a peu être des amateurs de romance qui parfois aiment lire d'autres choses… Mais je pense que c'est dangereux de laisser ça à de jeunes filles. C'est dévalorisant, l'image de la femme est réduite, trop de fausses idées sont véhiculées. Ce N'EST PAS ça l'AMOUR. Il n'y a pas d'histoire d'amour simplement de sexe…

Femmes, rebellez-vous !


Lien : https://labouquinerieimagina..

Avec tous les bons commentaires que j'ai lu je me suis laisser tenté et j'ai téléchargé les 2 premiers tomes Quel horreur très mal écrit plein de fautes de français et d'orthographes L'auteur fait beaucoup de phrases inutiles alors qu'elle pourrait le dire en un seul mo. Manque de langages crues manque de sentiments et d'érotisme

Ici nous suivons Mia, une jeune femme dont la vie amoureuse a toujours été chaotique. Mensonge, trahison, Mia ne croit plus à l'amour. Son dernier ex, usurier, a profité de la faiblesse de son père alcoolique et accro aux jeux et ce dernier lui doit un million de dollar. Tabassé et envoyé dans le coma, c'est à Mia de rembourser la dette si elle ne veut pas finir comme lui. La jeune femme se lance donc dans l'escorting de luxe grâce à sa tante mère maquerelle pour pouvoir éponger les dettes familiales.
Dans ce livre, on plonge directement dans le vif du sujet et la mise en situation est plus que brève et succincte. Je ne vais pas m'éterniser sur l'histoire et les personnages qui manquent cruellement de développement et où on a du sexe cru à la pelle sans s'embarrasser de l'histoire des deux héros. Je vais surtout vous dire que j'ai trouvé cette lecture problématique. Déjà prôner que la prostitution c'est trop fun et c'est le meilleur moyen de se faire de l'argent rapidement, moyen. Ensuite on a l'écriture, avec des propos grossophobes, des personnages décrits par leurs poids et tour de taille, à deux doigts de te faire culpabiliser si tu ne t'habilles pas en S.
On pourrait dire que ce livre plein de clichés est à destination des ados, mais vu les propos tenus et les messages peu glorieux qui y sont véhiculés, éloignez vos ados de cette histoire par pitié. J'ai énormément de mal à comprendre l'engouement qu'il y a eu autour de cette saga. Il est évident que je ne lirai pas la suite.
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la médiathèque réouverte a fait plein d'acquisitions et propose désormais un très large choix de lectures dans les différents domaines. Au hasard de mes flâneries dans les rayons, je tombe sur ce roman ou plutôt cette série dont la presse a beaucoup parlé et que j'ai vu en tête de gondole en supermarché, librairie ...
Bon, allons essayer de comprendre ce "phénomène" ... Première incursion dans la new romance. Je m'attendais à pas grand chose donc je n'ai pas été déçue ! Avec tout mon respect pour l'auteure, le moins que je puisse dire c'est que:
- ça se lit très vite : le style est fluide, j'en déplore la vulgarité, mais en 2h30 maxi c'est plié
-on ne se tue pas un neurone avec l'histoire, c'est fait pour être distrayant, comme les téléfilms de l'après-midi un jour de semaine où l'on est amorphe malade dans le canapé devant la tv en sourdine
-c'est cousu de fils blancs, mièvre au possible : Mia est un mélange de Pretty woman (elle même y fait allusion et elle aussi c'est un "aimant à nullards" qui joue les escorts avec option sexe non obligatoire mais hautement conseillée pour rallonge pécuniaire le tout pour sauver papa poivreau endetté tabassé et dans le coma et pour permettre à sa petite soeur de vivre sans tracas ! c'est Tatie qui joue les maquerelles, mais chut faut pas dire que c'en est une car la prostitution est interdite, elle ne fournit que de la compagnie, hein ! A noter que Mia a quand même mieux négocié son temps et son corps que Vivianne - le personnage de Julia Roberts, à moins que : tout augmente, c'est l'inflation !) , le premier client, Wes est le beau gosse pété de tunes et dieu du sexe et scénariste à succès qui paie mais se conduit en gentleman... Bien sûr, au début de leurs 24 jours de contrat, ils se le jurent : "Non non ne soyons pas amoureux", mais bon au but de ces 3 semaines tout a été si merveilleux dans tous les domaines que si on tombe amoureux un peu quand même ... Et boum, on comprend que l'auteure a lancé le truc qui sera son fil d'Ariane pour les 11 prochains volumes : Mia et Wes vont-ils finir ensemble après une année séparés ? on s'attend donc à retrouver Wes par petites touches au fil des livres, histoire de bien maintenir l'attention/la tension du lecteur ! Mention spéciale pour les scènes érotiques et surtout les "merveilleux" dialogues pendant : toute ressemblance avec Cinquante nuances de Grey (sans le SM) est bien sûr fortuite ! bref, j'ai beaucoup ri ! je me suis mise au défi de lire au moins la moitié de la série, pour ne pas juger trop vite ! mais vous constaterez que mon opinion est déjà en grande partie arrêtée, au moins j'aurais essayé avant de juger ... mais, des livres, il en faut pour tous les goûts !

Clairement destiné à un public en recherche d'émoi et de frisson sexuel. Personnellement j'ai trouvé l'histoire sans intérêt et la redondance des exploits sexuels (puisque tel est le cas avec le bel Apollon présent en Janvier) assez fades et peu stimulants, pourtant le vocabulaire peut parfois être cru et assez imagé .

Calendar Girl, avec ce principe d'un livre par mois, m'intriguait et je me suis laissé tenter par le premier tome 1, Janvier, sans savoir de quoi il s'agissait. Je cherchais une romance détente, un livre sans prise de tête.

Calendar Girl, c'est l'histoire de Mia, une jeune femme originaire de Las Vegas et vivant avec son père et sa petite soeur. Son père boit, joue et se retrouve à devoir de l'argent à des gars pas très rigolos. Pour venir en aide à sa famille, Mia devient escort. le principe est simple : un mois, un client et au bout d'un an elle aura remboursé les dettes de son père.

Si l'idée de départ ne m'a pas vraiment emballé, la manière dont le sujet est traité m'a franchement déplu. Ok, elle n'est pas prostituée mais escort girl. Ca signifie tout de même qu'un gars paie pour qu'elle soit à sa disposition. Ca n'a rien de romantique et c'est pourtant la manière dont le sujet est traité. Oui le client est riche, beau, sexy et gentil et oui le personnage de Wes n'est pas désagréable, mais ça n'a pas pour autant rien d'une rencontre romantique et le client aurait tout aussi bien pu être un vieux dégueulasse ! En plus, j'ai trouvé des réactions assez bizarres, comme la mère de Wes qui est tout de même celle qui a « choisi » Mia et qui l'invite au brunch en agissant comme si c'était sa petite amie…

Je ne lirai pas les tomes suivants parce que ce type d'histoire ne m'attire pas et si c'est pour répéter le même schéma onze autres fois, ça risque de vite être répétitif. En outre, le roman fait 150 pages, même si les tomes sont à 10 Euros, je trouve que ça fait tout de même un sacré budget sur une année pour une lecture très rapide.

J'aimerais bien lire plus de romance. Et même si parfois ça peut aller dans le cliché, si c'est agréable ça peut être une bonne lecture détente. Mais je ne recommande pas cette saga.

Lien : http://raconte-moi.net/2017/..

Le concept de cette série qui se décline en 12 tomes (un an) est intéressant en soi. Mais ce n'est pas suffisant pour me faire lire jusqu'au bout. le personnage de Mia est très agaçant et il faut dire ce qui est elle s'allonge très vite. Je veux bien que notre cher Wes soit craquant mais il y a des limites. Après je sais que c'est un roman érotique mais au moins attendre deux nuits le temps de laisser monter un peu le désir serait plus intéressant. L'histoire de cette femme devenue escort girl par la force des choses aurait pu être tellement mieux traiter. Là les scènes de sexe sont tellement crus que c'est juste vulgaire et non exitant. de la même façon j'ai beaucoup de mal avec les amitiés où on se traite de sa***pe à chaque phrase. Bref je vais m'arrêter là. Je suis très déçue. Je m'attendais à beaucoup mieux.

Grande déception. Ce livre dont on a tant entendu parler, qui a tellement été comparé à fifty shades (soit dit au passage, note aux médias: ce n'est pas parce qu'il y a une ou plusieurs scène(s) où deux adultes se retrouvent dans un lit que ce sera tout de suite un Fitfy shades.) est tellement plat, creux, mou, vide et sur-joué. Au premier regard tous le monde accepte Mia (qui rappelons le en passant, est là pour jouer l'escort-girl pendant 1 mois, dans la vie de Wes.). Les personnages n'ont aucun tempéraments. Les scènes « érotiques » sont d'une banalité monstre, décrite avec une plume peu originale. Soit on se lance dans la description des ébats, soit on ne s'y lance pas, mais lire 6 fois la même scène en 15 pages … merci !
Ceci dit, la syntaxe reste accessible à bon nombre de lecteurs, écriture simple (trop simple d'ailleurs à mon goût mais les goûts et les couleurs … ) les idées s'enchainent (trop) rapidement.

Je suis plutôt bon public niveau lectures, j'aime bien les romances, mais alors là je crois que je n'ai jamais rien lu d'aussi mauvais...
Une personne qui a normalement les mêmes goûts que moi me l'a recommandé. J'ai trouvé 8 des 12 livres de la série en seconde main à 1€, j'ai donc pris les 8 au vu du prix (et parce que je suis stupide).
Dès le premier livre j'ai regretté.

J'ai bien pris en compte que c'était une New Romance, avec des passages explicites, ça ne me dérangeait pas. le titre et le résumé annoncent la couleur, c'est érotique il faut s'y attendre. Pour le coup je ne comprends pas les commentaires choqués à ce sujet. Ce n'est pas une lecture à donner à une fille de 12 ans.

Mais plusieurs choses me posent problème :
1 - C'est vraiment mal écrit. le style d'écriture est assez pauvre et beaucoup de passages sont inutilement détaillés et n'apportent rien à l'histoire. C'est aussi très vulgaire. Bien sûr en ayant lu le résumé je ne m'attendais pas à quelque chose de très sophistiqué, mais quand on voit que l'héroïne et sa meilleure amie s'appellent entre elles "coucou ma p**e" "coucou ma sa***e" on est carrément sur du mauvais goût.

2 - Certains passages sont carrément problématiques en ce qui concerne les descriptions physiques féminines. L'auteure a visiblement un problème avec les femmes très minces puisqu'au long des 3 premiers tomes elle les qualifie d'adjectifs tous plus sympathiques et dégradants les uns que les autres : "Il aime les femmes avec des formes – pas les brindilles avec un corps d'enfant" ??? wtf ?? "Apparemment, la dernière mode est aux lèvres boudeuses et à l'anorexie" et j'en passe !! Elle parle au contraire de "vraies femmes" pour celles qui font du 38 au 44.

3 - L'héroïne est une pick-me dans toute sa splendeur. Impossible de m'attacher à elle.
Le héros lui aussi est toxique et sans intérêt.

Je me suis littéralement forcée à lire les 7 autres tomes que je possédais (maintenant que je les avais achetés et qu'ils sont rapides à lire), mais je n'exagère à peine en disant que c'était une souffrance. Les pires livres qu'il m'ait été donnés de lire.