Le protectorat de l'ombrelle, tome 2 : Sans forme

L'Angleterre à l'époque victorienne : un mélange de raffinement et d'avancées technologiques et scientifiques. Ajoutez à cela quelques grammes de surnaturel - des loups-garous, des vampires et des fantômes par exemple - et vous aurez une idée du petit monde dans lequel évolue Alexia Tarabotti, notre héroïne. Dans ce deuxième tome, elle va tâcher de découvrir pourquoi les êtres surnaturels sont soudain privés de pouvoir...

J'ai eu du mal à rentrer dans ce deuxième volume des aventures de notre jolie enquêtrice, car depuis ma dernière lecture, j'avais oublié pas mal de termes "surnaturels" propres à la série, ce qui fait que j'avais du mal à comprendre ce que je lisais, tout simplement. Heureusement, c'est assez vite revenu et j'ai rapidement été conquise une nouvelle fois par le ton élégant et drôle de l'auteure. Ça donne un coup de fouet bienvenu à la bit-lit ! Et la fin de ce tome, surprenante, donne irrésistiblement envie de s'attaquer à la suite...
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J'avais aimé le premier tome, sans toutefois être subjuguée par l'histoire. Je me souviens que j'avais eu un peu de mal à rentrer dans l'histoire, m'attachant toutefois petit à petit à Alexia et Lord Maccon. Cette fois-ci, pas de difficultés à entrer dans le roman, j'ai tout de suite adoré chaque ligne et j'ai grand hâte d'en lire la suite !

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J'avais passé un excellent moment avec le tome 1 de cette saga : l'époque, le personnage principal, l'histoire, tout m'avait plu. J'ai rapidement acheté le tome 2 à sa sortie poche mais depuis il patientait dans ma PAL. Et puis il y a quelques semaines, en faisant mon petit tour des blogs, j'ai lu une chronique sur cette saga qui m'a donné envie de m'y replonger. Ce que j'ai fait...

J'ai donc replongé dans l'univers d'Alexia Tarabotti avec plaisir. J'ai retrouvé dès les premières lignes le style qui m'avait conquise lors de ma découverte de cette saga. On est dans un roman steampunk qui mélange l'époque victorienne avec des inventions plus futuristes. Je ne suis pas une grande connaisseuse de ce genre littéraire mais jusqu'ici je dois dire que j'apprécie assez ce mélange, qui permet de créer des vraies intrigues avec de l'action dans une atmosphère très guindée et pleine de retenue, deux termes qui sont loin de pouvoir être associés à notre chère Alexia. Il faut dire que j'adore ce personnage, elle possède une répartie à toute épreuve qui m'a fait sourire à de nombreuses reprises. Elle est tellement décalée avec son époque, avec son mari, avec son ami Ivy! de quoi provoquer de nombreuses situations cocasses.

Une suite dans laquelle on ne s'ennuie pas - Pour ceux qui me suivent, vous avez peut-être vu que j'ai mis près de 2 semaines à lire ce tome. Pourtant je ne me suis pas ennuyée du tout, et je n'ai pas trouvé de longueurs ou autre, mais je crois que le style de cette saga est tellement " compact", qu'il me faut toujours du temps pour la lire et pour profiter de tous les échanges entre les différents personnages. Parce qu'en effet, si je dois choisir ce que je préfère dans ce roman, ce sont bien évidemment les joutes verbales d'Alexia et Maccon, Alexia et sa soeur, Alexia et Lady Kingair, Alexia et.... oui je suis fan de cette héroïne mais surtout de son caractère. Elle n'a pas sa langue dans sa poche et j'adore sa façon de dire des choses désagréables avec l'embelissement dû au langage de cette époque, comme on dit " on peut tout dire, tout dépend de la façon de le dire" et pour le coup c'est une professionnelle!

J'aurais aimé que la relation entre Alexia et Maccon soit un peu plus présente, qu'on puisse les suivre en tant que couple, mais cela arrive assez tard dans le roman. En même temps, on ne va pas changer un célibataire de plus de 200 ans en quelques mois, et Alexia est également habituée à faire sa vie sans rendre de compte alors finalement ils se retrouvent dans cette façon de fonctionner.

Quant à l'intrigue, elle est peu secondaire pour moi, parce qu'au final, rien que de suivre les aventures d'Alexia me suffit, et je dois dire que j'étais plus intéressée par l'intrigue secondaire, qui ne se dévoile que dans les dernières pages et qui m'a laissé un gros regret au moment de tourner la dernière page... Il ne me reste plus qu'à me procurer le tome 3 maintenant!

Encore un très bon moment passé en compagnie de la "briseuse de malédiction", avec un final qui ne laissera personne indifférent! Vite la suite!!!!!!

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Le Tome 1 m'aura vraiment malmené au tout début, pour finir sur un presque coups de coeur. Une fois, que le style de l'auteur bien appréhendé, on se retrouve happé par l'histoire. Je dois avouer que j'en ai même failli louper mes arrêts de trains avec ce tome 2.

Ce qui plait d'abords dans cette saga, c'est le personnage d'Alexia, nous la suivons la plupart du temps dans ses aventures quand elle ne nous laisse pas en plan à la place et avec les pensées d'un autre protagoniste. Pour autant, cela n'est pas toujours évident de suivre ce changement mais on y parvient, on l'apprécie à sa juste valeur. Gail Carriger a su créer son propre style dans un genre qui a souvent les même bases, elle n'a pas choisit la facilité et s'en sort avec brio.

Alexia est pleine de ressources et ne semble pas appartenir à cette époque. D'où le côté steampunk qui ressort un peu plus dans ce tome 2 avec l'arrivée d'un nouveau personnage haut en couleur... oui bien plus que son mari Lord Maccon ou son ami vampire Lord Akeldama. Je vous le laisse découvrir... Il y a aussi les voyages dans les aires avec les dirigeables, les chambres à ascensions, les ombrelles modifiées et autres artefacts des temps modernes ou anciens ! Un éventail de termes techniques viennent nous dérouter pour mieux se mêler à l'aventure et à l'enquête policière qu'Alexia, en tant que Mujha de la Reine, devra résoudre.

Et pour finir en beauté, ce tome se finit en OMGWTFBBQ ! Il est impossible d'attendre (de languir trop longtemps) pour lire la suite, ayez le tome 3 sous le coude où c'est la crise assurée ! Un excellent moment, je ne regrette pas de mettre accrochée après les quelques pages du tome 1. Un vrai régal cette italienne, sans âme et pragmatique ;)

★☆★ Alexia et son balourd de mari, vont à nouveau devoir mener une enquête.

Alexia est toujours aussi amusante, impertinente, caustique et pleine de bonnes répartie. Les joutes verbales avec son mari, Lord Maccon, sont très amusantes et piquantes.

Une intrigue bien menée, sans aucun temps mort.

Du fantastique à l'époque victorienne, c'est très original et bien traité. Et décidément, j'aime la plume de Gail Carriger. ★☆★

Note : 2.5/3

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Une petite lecture bien sympathique dans laquelle on se plonge avec bonheur dans la seconde aventure "d'alexia".
Nous voila à nouveau dans une énigme dans un monde à part où l'on cotoie les paranaturels, les loups-garous, les vampires...avec une belle plongée dans le monde scientifique avec les ballons dirigeables et les "étérographes".
Une histoire belle en couleur, rempli de suspense, d'action, d'humour.

ATTENTION SPOILER : Des éléments de l'intrigue du premier tome sont directement évoqués dans cette chronique.

Dès le début de ce second opus, nous avons l'impression de reprendre l'histoire là où nous l'avions laissée.
Nous retrouvons donc Alexia et Conall, désormais mari et femme. Par cette union, Alexia est devenue la femelle Alpha de la meute de son époux et avec son caractère bien trempé elle compte bien s'imposer comme tel.
Avec un mari qui vit la nuit et sa nouvelle position de "Muhjah" pour la reine Victoria, la vie de notre héroïne n'est pas de tout repos ! D'autant qu'un mystérieux phénomène touche la ville depuis peu : des êtres surnaturels semblent perdre leurs pouvoirs et redeviennent humains, comme s'ils étaient au contact d'un "sans âme" à grande échelle...
Comme si cela ne suffisait pas, de nombreux loups de la meute, commandés par un certain Commandant Channing, débarquent et s'installent sur la pelouse de la propriété. En prime, la mère d'Alexia lui colle sa soeur, Félicité, dans les pattes ! Et pour finir, une intrigante Mme Lefoux, modiste d'origine française et créatrice de gadgets en tous genres, ne semble plus vouloir la lâcher d'une semelle...
Mais tout cela n'empêchera pas notre intrépide héroïne de mener son enquête afin de découvrir ce qui se cache derrière le mal étrange qui touche sa ville... Même si pour cela, elle doit aller jusqu'en Ecosse !
C'est donc avec une compagnie plutôt originale qu'Alexia va se rendre dans la demeure de l'ancienne meute de Lord Maccon afin d'y trouver quelques réponses... Et plus encore !

Une fois de plus, Gail Carriger nous entraîne dans son univers fantastique si particulier. de nouveaux personnages singuliers font leur apparition, pour notre plus grand plaisir, et le plus marquant est certainement celui de Mme Lefoux. Cette femme aux allures d'homme et à l'imagination fertile, aussi mystérieuse qu'originale et apparemment fraîchement débarquée de sa France natale, a décidé de se faire remarquer…
Comme pour le premier opus, l'humour est omniprésent et les personnages toujours aussi originaux. Les échanges entre Lord Maccon et Alexia restent aussi piquants que sulfureux !
A cela, vient s'ajouter l'incorrigible naïveté d'Ivy Hisselpenny ou les réflexions acides de Félicité, la soeur d'Alexia…
Seul regret : Lord Akeldama et le professeur Lyall sont vraiment peu présents cette fois-ci, même s'ils ont une importance certaine dans le cours de l'histoire.

Un mystère à résoudre, une ombrelle originale, un voyage en dirigeable un peu trop "planant", un étrange appareil de communication appelé "Ethérographe", une ancienne meute à la rancune tenace, une compagnie féminine des plus envahissante et le passé de Conall qui refait surface… Ajoutez à cela des vampires qui perdent leurs dents, des loups-garous qui perdent leurs poils et des fantômes étrangement exorcisés… Et vous avez la recette pour faire un second roman réussi, qui se lit avec facilité pour un bon moment de détente.
Cette fois, le rythme va crescendo pour nous amener à une fin des plus surprenante et inattendue !
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Le premier tome était génial et donc c'était impatience que j'avais commencé ce tome.
J'ai mis du temps à lire ce livre. Ca fait au moins deux mois qu'il traînait. Tout ça parce que j'ai lu la fin et qu'elle m'a énervée puissance dix mille. J'ai donc fait la tête au livre (rien n'est évident dans ma vie ;- )). Si il n'y avait pas eu cette erreur stratégique (mais toujours mainte fois répétée) , je l'aurai lu en trois jours.
J'ai adoré ce livre ! Alexia cherche la cause des zones où les surnaturels perdent leurs pouvoirs. Pour cela, elle rencontre Mme Leroux qui va être un personnage intriguant, passionnant qui va l'accompagner dans son périple en dirigeable pour atteindre l'Ecosse, ancien fief de son mari.
Elle est accompagnée de son amie Ivy avec ses chapeaux improbables et de Félicité, sa soeur non aidante au possible.
Le voyage va être agité et plein de mystère. le récit est toujours aussi drôle à lire du fait du ton décalé de l'héroïne et palpitant car il est parsemé de nombreux rebondissements.
A la fin de ce tome-ci, je n'ai qu'une envie, c'est de commencer le tome 3 de suite.
Cette série réussie à me rendre accro à ces histoires de loups-garous, vampires et fantômes alors que je n'ai jamais aimé ce genre, c'est dire !
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Extrait :
"la fin peut être quelque peu prévisible, mais réserve néanmoins quelques surprises au lecteur. Quant au dernier chapitre du livre...QUOI ???? Mais ... mais on ne peut pas faire ça à ses lecteurs ! C'est cruel, inhumain !
Je veux la suite tout de suite non mais !

En tout cas si vous n'avez pas encore lu le tome 2, ne faites pas comme moi : attendez que le tome 3 soit là, sinon vous en sortirez frustré(e) !

Une petite chose que je regrette : les erreurs de frappe et/ou de correction et/ou d'impression. Ça gâche un peu l'ensemble. C'est vraiment dommage, et du coup j'espère que ce sera corrigé au passage en poche. "
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La vraie chronique, c'est celle de Phooka et elle est ICI. J'aime bien passer après d'ailleurs, parce que vous causer de Steampuck et d'Urban Fantasy... euh, je ne sais même pas ce que cela veut dire ! Et non, je ne veux pas de cours. Moi j'ai juste envie de vous dire que ce que j'ai lu m'a plu, et que j'ai autant aimé ce tome ci que le premier.

Quel plaisir de retrouver cette série et la plume de Gail Carriger, son humour pince-sans-rire tout en retenu. Ce langage châtié et qui malgré tout arrive à nous faire imaginer les scènes les plus "hot", sans qu'elles soient écrites ! J'adore.
La suite sur le blog ;)
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