Le protectorat de l'ombrelle, tome 3 : Sans honte

Déjà le tome 3 des aventures d'Alexia Tarabotti, devenue Lady Maccon. Après avoir appris la nouvelle de la grossesse d'Alexia dans le tome 2, Lord Maccon l'a accusé de l'avoir trompé. Au début de ce tome, on retrouve Alexia dans sa famille. Mais très vite il apparaît que l'on cherche à la tuer. Bien décider à échapper à la mort et à découvrir comment elle a pu tomber enceinte (alors que son mari est techniquement mort), elle décide d'aller à la rencontre des Templiers en Italie.

Bon, encore une fois, l'histoire de fond n'est pas très épaisse et c'est l'humour qui sauve tout. Car clairement, il ne se passe pas grand chose. Lord Maccon est absent pendant la quasi totalité du roman, les personnages hauts en couleur font de brefs passages. Alexia va jusqu'en Italie, échappe à deux-trois attaques, en profite pour faire la lecture et comme par magie tout est bien qui finit bien (ou presque).



On a quand même quelques révélations sur le monde des preternatural et sur le futur enfant d'Alexia. J'ai d'ailleurs hâte de voir cet enfant en action.

Dans ce tome, l'auteur met en avant des personnages qui étaient un peu en retrait des les autres tomes. J'ai vraiment découvert Lyall et j'ai vraiment envie de voir comment il va évoluer par la suite.



Comme dit plus haut, le point fort de cette série, c'est son humour 100% British!! Les réparties d'Alexia sont à mourir de rire, et il n'y avait que Gail Carriger pour transformer le pesto en arme. C'est une série à lire pour son humour décalé et non pas pour son histoire de fond!

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J'ai adoré Sans Ame, bien aimé Sans Forme, et ici encore je dois dire que j'ai passé un agréable moment de lecture. Néanmoins, j'ai regretté que le sujet qui nous intéresse principalement dans ce livre (la rupture entre Lord et Lady Maccon qui marque brutalement la fin de Sans Forme) ne soit mentionné qu'à la fin de celui-ci, et ce, sur quelques pages seulement, car à mon avis, les répliques les plus drôles viennent du duo des deux terribles époux. La question de la nature de l'enfant elle aussi reste en suspens alors qu'elle est au coeur de l'histoire.

Le fait que l'action se passe à tant d'endroits différents (Londres, Paris, Nice, Florence) était un peu désorientant également, notamment car un des procédés narratifs auquel l'auteur a recours est de laisser en suspens une des scènes au moment où cela devient intéressant pour aller voir ailleurs. Un peu fatigant à la longue, l'impression d'être traînée d'un lieu à un autre dans une folle cavalcade. Pas assez de temps mort, l'héroïne est sans cesse assaillie par toute sorte de créatures, des vampires aux templiers.
Les personnages gagneraient aussi à être davantage fouillés.
Une bonne série d'aventure pour rire et goûter à l'humour anglais grâce à ses personnages impayables, mais qui peut néanmoins se révéler lassante à la longue.

Le temps de la lecture, l'objectif a été accompli : je me suis marrée comme une baleine à plusieurs reprises.

Ce troisième tome se situe bien dans la lignée des deux précédents. Quand le premier nous parlait plutôt vampires, que le second était centré loup-garou, ce troisième opus s'intéresse beaucoup aux paranaturels. Les explications à ce sujet sont très intéressantes et enrichissent encore l'univers créé par Gail Carriger. J'aime particulièrement les passages où on en apprend un peu plus sur l'histoire de leur monde. Alexia est toujours aussi drôle, mais celle qui m'a peut-être fait le plus rire dans ce tome et qui en plus m'a surprise, c'est Ivy, son amie aux chapeaux incroyables. La citation que je vous mets plus bas m'a fait m'écrouler de rire. Un nouveau personnage, M. Trouvé, est très sympathique. J'étais aussi contente de revoir Mme Lefoux, toujours aussi subtile, et Floote, qu'on avait peu côtoyé jusque là. Il est fidèle à lui-même ! On passe également beaucoup de temps avec le Professeur Lyall, personnage que j'aime beaucoup. Il a dans ce tome l'occasion de montrer l'étendue de ses compétences.

Ce que j'ai aussi beaucoup apprécié, c'est qu'il y a plusieurs moments émouvants. Je pense notamment à un passage avec Lord Akeldama. L'intrigue m'a peut-être légèrement moins plu que dans les deux tomes précédents, mais de nombreux éléments ont été posés qui ne vont pas manquer de me plaire dans la suite.

J'avais déjà remarqué à certains moments dans les deux premiers tomes des erreurs de traduction. Il manque parfois un mot, qui enlève tout sens à la phrase. Il y en avait encore plus dans ce tome, et je trouve ça un peu exagéré de la part d'une maison d'édition comme Orbit. Je ne me fais pas d'illusion sur les tomes suivants, mais bon, c'est vraiment dommage.

Gail Carriger continue de me convaincre. J'en aurai certainement fini avec la lecture du Protectorat cet été, puis je pourrais me lancer dans Finishing School.
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Quel plaisir de retrouver Alexia malgré la situation dans laquelle son crétin de mari l'a plongé. Heureusement qu'elle peut compter sur ses amies Ivy Hisselpenny et Mme Lefoux , et bien entendu, l'imperturbable Floote ! Sa situation est LE scandale du moment. Pour fuir le scandale et trouver des information sur sa situation, elle décide de retourner en Italie, la terre de son père surnaturel …. Et des Templiers qui pourraient avoir des informations. La seule personne à Londres qui auraient eu la connaissance suffisante, Lord Akeldama à disparu.
Dans ce nouveau tome, les actions s'enchainent parfois rapidement ce qui donne un rythme parfois étrange …. Certaines événements qui devraient laisser des interrogations soient parfois facile à élucider et d'autre m'ont paru un peu tiré par les cheveux. Et je trouve que les explications éthérique sur l'âme sont parfois peu claire. Mais l'originalité de certaines séquences (les coccinelles par exemple) est un vrai plaisir. Et au final, on en apprend bien peu sur la situation d'Alexia ou sur son père, qui semble être un personnage assez intéressant !
De nouveau personnages secondaires apparaissent aussi différents et laissant des gouts agréables ou amers …. Quand à ceux qui nous sont bien connus, on ne se lasse pas d'eux : Ivy toujours aussi théâtrale mais surprenante dans son « nouveau » rôle, Lord Maccon est …. Pitoyable ! et Lyall est le loup garou le plus précieux que l'on puisse avoir avec soit (j'espèce que Maccon s'en rend compte !).
Au final, des actions saccadées, de l'humour à souhaits et surtout …. du pesto !

[...] Pour conclure, j'en dis très peu pour éviter les spoils mais "Sans Honte" prend la suite directe de la toute dernière page du tome précédent. Les réponses sont là et l'intrigue tient la route. Encore une épisode fort sympathique ; action, réaction, mystère et tasses de thé. J'adhère à cette série de bit-lit originale, à suivre de très près (^-^)
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Il y a des livres que l'on trouve trop court, "Sans Honte" est de ceux là ! Serte l'intrigue est assez simple mais la galerie de personnages si savoureuse que l'on souhaiterait rester avec eux plus longtemps ! Une mention spéciale au Professeur Lyall et à Floot pour leur flegme tout anglais, et aux "duo" qu'ils forment respectivement avec Lord et Lady Maccon. Cette lecture est petit moment jubilatoire comme on aime en avoir de temps en temps !

Dans ce troisième tome du "Protectorat de l'ombrelle", de Gail Carriger, nous retrouvons notre héroïne sans âme en Italie, invitée malgré elle dans l'antre secrète des templiers.

Difficile d'en dire plus sans divulguer des éléments de l'intrigue donc je me contenterai de critiquer celle-ci. J'avais adoré les deux premiers romans alors qu'ici j'ai manqué d'engouement pour tourner les pages. J'ai trouvé que certains passages étaient vraiment longs et lourds avec des détails assez inutiles.

L'Alexia du 1er tome me manque : sa curiosité, sa légèreté, sa façon de s'en contrefaire des convenances, tout cela a disparu dès son mariage avec le Comte, c'est dommage.

On est toujours un peu plus dur quand la suite d'une histoire n'est pas à la hauteur de ce qu'on imaginait. Cela n'enlève en rien le talent et l'imagination de l'autrice, c'est pourquoi je continuerai à lire cette saga steampunk avec plaisir car il reste bien des mystères à découvrir ...

MON AVIS

J'ADOOOORRRRREEE


❤❤❤❤❤


Non mais c'est frais, piquant, original. Alexia est juste l'héroïne dont je pourrais tomber amoureuse, son côté sans âme l'a rend pragmatique, logique, réfléchi, les émotions et les états d'âmes sont relégués au second rang.


Un bit-lit steampunk sur fond d'époque victorienne si je ne me trompe pas sur la concordances des dates, ça doit porter un nom spécifique si ça se trouve ce style mais bon il y a tellement de définition, de noms de genre ect de livre que je m'y perds !


En résumé, Londres, époque victorienne, belles robes encombrantes, manières à ne pas oublier, des loups-garous, des vampires et un univers tourné vers le steampunk, Octopus et inventions mécaniques sont bien présents.


Dans ce Londres bien différent, les êtres surnaturels ont fait leur coming-out. Il y a donc les surnaturels, ceux qui ont un excès d'âme (artistes, inventeurs, scientifiques ect) peuvent prétendre à l'immortalité soit en devenant un vampire après avoir reçu la morsure d'une reine, soit en devenant un loups-garous après s'être volontairement fait déchiqueté par un Alpha (autant dire que cette alternative à l'air moins glamour dans la transmission, mais il y a aussi une catégorie de personne bien différente… Alors qu'il y a les « normaux », les surnaturels, il existe les paranaturels, c'est-à-dire ceux qui sont nés sans âme ! Ils sont normaux, à quelques détails près, mais surtout très très rares ! Alexia Tarabotti fait partie de ces derniers.


Elle se retrouve, avec plaisir, mêlé à une affaire de vampires sans ruche ni reine qui ne connaissent pas les conventions d'usages de la bonne société londonienne. C'est alors qu'elle s'associe au BUR, la police surna disons, et surtout à Lord MacCon pour mener l'enquête, bien malgré lui qui aurait préféré qu'elle ne meleypas son ombrelle à ses affaires .


Je n'en dis pas plus mais après ayant lu les 4 premiers tomes je suis conquise. J'ai seulement peur d'ouvrir le dernier et 5e tome pour arriver sur la FIN que je n'ai pas envie de terminer en fait ! Je repousse l'échéance au maximum 😂

Toujours plus déjanté avec son humour parfois caustique et son action échevelée, le récit de Gail Carriger m'a transportée, amusée, charmée. J'ai vraiment passé un excellent moment, léger certes, mais en bonne compagnie. Alors que je pensais me lasser rapidement des histoires de son héroïne, j'en redemande et je vais me précipiter sur le tome suivant !

Suite à la fin précipitée de Sans Forme, on retrouve Alexia en cavale avec Mme Lefoux et son fidèle Floote, un personnage que j'apprécie énormément : calme et efficace.
On sort pour la première fois du Royaume-Uni et on découvre l'Italie version Steampunk, ou plutôt version Templiers, un voyage qui s'annonce plein de rebondissements. On en apprend sur le mystérieux père d'Alexia.
Et surtout... Alexia découvre le café et le pesto !!