AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,13

sur 71 notes
5
3 avis
4
7 avis
3
4 avis
2
5 avis
1
0 avis
Le scandale d'une relation coupable d'un professeur de musique avec Victoria, une élève adolescente, bouleverse la vie du collège, suscite une curiosité trouble teintée de jalousie chez les jeunes filles, et toutes sortes d'interprétations chez les professeurs et les parents.
On suit les évolutions d'Isolde, la soeur de Victoria, qui noue une relation sentimentale avec Stanley, jeune étudiant en école de théâtre, dont la promotion monte une pièce inspirée de ce fait divers, alors que Stanley ne connaît pas encore la véritable identité d'Isolde.
On assiste aux séances d'accompagnement post-traumatique d'un psychologue dépêché auprès les jeunes filles.
On écoute les conversations d'un professeur de musique qui endosse le rôle de confident, questionneur, empêcheur de tourner en rond, voire psychanalyste de fait, auprès des élèves et des parents qui défilent pendant ou après ses cours.
On entre dans les coulisses des cours de l'école de théâtre de Stanley aux méthodes d'enseignement particulières.

Un roman bien écrit, intelligent, à l'intrigue intéressante, qui creuse la psychologie des personnages avec finesse et une certaine impertinence sensuelle stimulante. Les désirs, les fantasmes et la sexualité sont des domaines complexes à appréhender où la vérité n'est pas toujours conforme aux apparences. La thèse défendue est un brin provocatrice, à contre courant des dénonciations systématiques, et s'éloigne des stéréotypes sur le méchant adulte masculin qui abuse de l'innocence des adolescentes victimes et non consentantes. Ici on nage en permanence dans l'ambiguïté, le voyeurisme et le fantasme inavoués avec un mélange de sérieux et d'ironie subtiles. C'est très bien écrit. le bémol est la structure non chronologique du récit, et j'aime le confort et la progressivité de la chronologie.
Commenter  J’apprécie          00
Ce roman est à la fois un exercice de style et une source de réflexion autour de la véracité, de la vérité, de la notion de réalité.
Côté exercice, outre la plume précise et fluide dont elle fait usage, Eleanor Catton tisse à la perfection les fils de trois narrations (au moins) : l'histoire d'une lycéenne qui a subi des abus de la part d'un prof de musique ; le déroulement d'une année d'enseignement dans un institut de théâtre ; les scènes d'une pièce créée par les étudiants de cet établissement.
Mais le roman se complexifie quand les acteurs en herbe décide de monter leur spectacle autour d'un fait divers lu dans le journal : l'histoire d'une lycéenne qui a subi des abus de la part d'un prof de musique. On apprend aussi que l'institut de théâtre occupe des bâtiments voisins de ceux de l'école de musique où se sont déroulés les agissements du prof libidineux. On voit les apprentis musiciennes croiser les étudiants en théâtre. On assiste à des cours de saxophone pendant lesquelles les filles passent moins de temps à jouer qu'à parler avec leur enseignante. Parler de leur vie, parfois très intimement ; parler, aussi de cette lycéenne, soeur de l'une, condisciple d'une autre au lycée de la ville...
Et quand les musiciennes commencent à entrer dans l'institut de théâtre, quand les éclairages commencent à changer au fil d'une leçon de saxo pour simuler l'intérieur d'un bar ou d'une voiture, quand le père de l'un des acteurs devient un personnage, quand les saxophonistes débutantes se mettent à jouer le rôle de certains adultes de leur entourage... la confusion s'intensifie.
Résumé ainsi, ce roman peut sembler impossible à suivre (et encore, je n'ai pas parlé du fait que les chapitres à l'institut sont étiquetés par des noms de mois, tandis que les parties à l'école de musique portent des noms de jours ... et que les uns comme les autres arrivent dans le désordre le plus total).
Pourtant, et c'est ce qui rend le talent d'Eleanor Catton admirable, l'intrigue suit un déroulement tout à fait clair, les évènements s'enchaînent, la tension monte malgré le mélange des histoires et les flash-backs (mais ne serait-ce pas plutôt des flash forward? Allez savoir !)
Et c'est là que l'on mesure toute la richesse des sujets sur lesquels l'autrice souhaite nous conduire à réfléchir : Qu'est-ce que la réalité, la vérité, la véracité? Quelle importance recouvre tel ou tel acte, telle transgression, voire la mort d'une personne, suivant que ces évènements font partie de la vraie vie, d'une histoire racontée, d'une histoire jouée sur scène ? Mais qu'est-ce que la vraie vie ? Et comment la différencier d'une scène écrite ou jouée ? Et comment un acteur ou une actrice doivent-ils rendre cette scène ? En puisant dans leur propre existence, leurs propres qualités, ou en devenant quelqu'un d'autre? Et comment raconter (ou jouer) une histoire "inspirée de faits réels" ? Car de toute façon qu'est-ce que la réalité, la vérité, la véracité?
Et qui croire quand bruissent les rumeurs ? Et quand elles diffèrent de la version exposée par la lycéenne amoureuse de son prof de musique ? A-t-elle vraiment subi un viol ? Ou construit une vraie histoire d'amour ? En rajoute-t-elle ou minimise-t-elle ? Est-elle dans le mensonge, l'embellissement ou le déni ? Laquelle de ces manières de maquiller la réalité a-t-elle choisi ? Et qui pourra le dire, de toute façon ? Qui dit la vérité ? Qui ment ? Les victimes? Les témoins? Les voisins du cousin de la boulangère qui ont entendu dire que... ? Les acteurs ?
De toute façon, ce n'est qu'un roman ; et qu'est-ce qu'un roman, sinon un tissu de mensonges ? Parfois inspiré de faits réels.
Commenter  J’apprécie          30
J'ai eu entre les mains Les Luminaires, le second roman d'Eleanor Catton, celui qui a reçu le prix Booker, mais il ne me tentait pas. La dernière fois que je suis passée à la bibliothèque, j'ai vu La répétition et je me suis dit « pourquoi pas ». La répétition est le premier roman de cette jeune auteure qui a passé son enfance en Nouvelle-Zélande. le thème m'a plu et a piqué ma curiosité. Comment l'auteure allait-elle traiter le sujet de la relation entre un prof et son élève et y intégrer les réactions de l'entourage de la jeune fille…
Au début, j'ai eu un mal fou à suivre. Avec ses chapitres très courts qui ne respectent pas la chronologie – on peut passer d'octobre à mars, de jeudi à mardi sans savoir au début s'il s'agit d'avant ou d'après – ce roman est un peu perturbant…
Les personnages ne sont pas franchement décrits, et ils ont déjà de la chance d'avoir un prénom, car le plus souvent ils ne sont qu'une fonction, « le maître d'interprétation », « le maître du mouvement », « la prof de saxophone »…
J'ai eu la sensation étrange de surprendre des conversations en passant dans un couloir, sans trop savoir qui parlait ni à qui. Et petit à petit, toutes ces bribes, ces fragments de conversations prennent un sens, fabriquent une histoire. Cela m'a fait penser au souvenir que j'avais de Fame (le film, je ne me souviens que vaguement de la série. Et oui, bon, j'aime regarder des films qui parlent de danse, et alors?). Et finalement, ce roman qui m'a laissé perplexe au début m'a plutôt plu par sa forme originale.
Lien : https://mademoisellemaeve.wo..
Commenter  J’apprécie          40
roman sur l'apprentissage, assez déroutant et au final inintéressant
Commenter  J’apprécie          10
Note 4334
Habitation 4: habité par les personnages, leurs doutes et leurs premières passions. Envoûtant
Edification 3 : stimulant, (r)éveillant les questionnements adolescents
Emotion 3 : touché par leur désir, colère, cruauté, révolte
Style 4 : style, parfaitement adapté ; construction originale, source de l'envoûtement
Lien : https://www.facebook.com/not..
Commenter  J’apprécie          00
Coup d'essai, coup de maître.

Je me suis laissée happer dès les premières pages par ce roman envoûtant et protéiforme, tour à tour roman d'apprentissage, fable perverse sur l'éveil de la sexualité et réflexion sur la représentation théâtrale. Eleanor Catton signe une oeuvre forte et dérangeante, dans la veine d'une Laura Kasischke, elle-même brillante conteuse et peintre de la noirceur adolescente. Derrière une écriture délicate et sensuelle se cache en effet un univers machiavélique, dont personne, pas même le lecteur, ne sortira indemne.

L'auteur entretient volontairement une certaine ambiguité : Victoria était-elle consentante ? A-t-elle été violée ? L'incertitude alimente le malaise, et suscite bien des jalousies. Perturbées, les jeunes filles se confient volontiers à leur professeur de saxophone, qui les voit défiler chaque semaine dans son studio. On s'attache rapidement à Isolde, la soeur de Victoria, à peine sortie de l'enfance, fraîche fleur sur le point d'éclore. On se prend de pitié pour Bridget, adolescente mal dans sa peau et complexée, constamment dénigrée par sa mère et invisible aux yeux de tous. On admire la force de caractère de Julia, jeune femme indépendante qui vit pleinement ses désirs et son homosexualité. le choix du saxophone comme dénominateur commun n'est évidemment pas anodin. A-t-on jamais vu instrument plus sensuel et plus masculin ? J'ai tout de suite été séduite par cet élément incongru, qui en dit long sur l'originalité du roman.

J'ai retrouvé avec plaisir l'univers des écoles de musique et des cours de théâtre, que j'ai beaucoup fréquentés durant ma folle jeunesse. La prof de saxophone est ici un personnage savoureux, qui semble vouloir constamment tirer les ficelles. On peut y voir le double de l'auteur, manipulant ses personnages comme des marionnettes au gré de ses propres désirs. Dans sa bouche fleurissent de superbes répliques, des propos parfois énormes, qu'elle assène nonchalamment à ses élèves ou à leurs parents. le trait est souvent à la limite de la caricature, mais procure au lecteur un plaisir pervers.

Il m'arrive rarement de prendre des notes au cours de mes lectures, mais je ne résiste pas au plaisir de vous faire partager ces quelques lignes, qui vous aideront peut-être à cerner le personnage :

"Quelquefois, pour s'amuser, la prof de saxophone essaie de s'imaginer ce que donnerait une autre distribution. Elle s'imagine la fille qui joue Bridget dans le rôle convoité d'Isolde, opère la conversion en esprit, lissant les pauvres cheveux qui ne ressemblent à rien en un rideau uni qui tombe, soyeux, à partir de la raie au milieu, appliquant du rose aux joues et imprimant à ces traits qui s'y prêtent si peu l'expression à la fois insouciante et blessée qui est devenue la marque d'Isolde." (page 152)

Et si la vie n'était qu'une représentation, un simulacre d'existence ?
Quelle idée fascinante ! La Répétition nous propose ainsi une intéressante réflexion sur le théâtre. A travers le personnage de Stanley, jeune apprenti-comédien récemment admis à l'institut d'art dramatique local, nous découvrons les dessous de la représentation théâtrale. Stanley fait l'expérience du Théâtre de la Cruauté. Mais qu'est-ce donc ??? N'étant pas omnisciente, je reconnais volontiers avoir usé des services de mon ami Google pour écrire la suite de mon billet !

Intermède culturel :
Le Théâtre de la Cruauté est une théorie développée par Antonin Artaud (1896-1946), selon laquelle le théâtre consiste à projeter notre monde intérieur dans l'espace scénique, replaçant ainsi l'homme au centre de la création. le comédien privé de repères se retrouve alors plongé dans un monde sauvage et violent, accédant de cette façon à une dimension sacrée, métaphysique, pouvant conduire le spectateur jusqu'à la transe.
Fin de l'intermède culturel.

Difficile dans ce contexte d'identifier la limite entre le jeu et la réalité. Eleanor Catton établit une analogie avec les rôles que nous sommes amenés à interpréter tout au long de notre vie, parfois à l'insu de notre plein gré. Les jeunes héros du roman en font l'amère expérience : devenir adulte, cela signifie endosser un nouveau rôle, l'incarner sans commettre d'erreur, et en subir les désagréments. Cette initiation se fait bien souvent dans la douleur...

Tout cela est passionnant, d'autant plus que La Répétition est un roman admirablement construit, d'une grande originalité formelle. Je n'en dévoilerai pas plus ici, ne souhaitant pas gâcher le plaisir de la découverte ! J'ai personnellement été un peu déroutée par les toutes dernières pages, que je ne suis pas sûre d'avoir bien interprétées : la frontière entre réel et imaginaire se brouille, on ne sait plus très bien ce qui est du domaine du fantasme, de la représentation. Cela est évidemment voulu par la romancière, qui souhaitait que le lecteur continue à se poser des questions après avoir refermé le livre. Objectif atteint (et de quelle manière) !

Il semblerait que La Répétition se soit taillé un beau petit succès critique, en France comme à l'étranger. Je ne suis donc pas la seule à avoir apprécié le style et l'univers de Miss Catton. J'attends maintenant avec curiosité son prochain ouvrage.

Une oeuvre fascinante, d'une richesse et d'une maturité étonnantes. Un coup de coeur !
Lien : http://leslecturesdeleo.blog..
Commenter  J’apprécie          112
Scandale au lycée, le professeur de musique est accusé d'avoir eu une relation sexuelle avec l'une de ses élèves, Victoria.
À partir de là, on assiste aux réactions des proches : parents, soeur, amies, professeurs, étudiants en art dramatique ou musique, et ce sans qu'à aucun moment les deux protagonistes n'interviennent directement dans le récit. Rivalité, jalousie, manipulation... Sentiments ou émotions sont habilement décrits.

L'adolescence est le sujet central de ce roman. "Les ados ont une telle conscience d'eux-mêmes, chacun d'eux est son propre public, le spectateur intransigeant de ses transformations, de son corps, de ses limites. L'adolescent a déjà tous les attributs d'un adulte, sans en assumer les responsabilités."

Parallèlement à ce fait divers, on assiste également à la mise en scène de cette relation par le groupe d'étudiants en théâtre, puisqu'ils décident d'en faire le clou de leur spectacle de fin d'année. J'ai adoré toute cette partie où le jeu théâtral est mis à l'honneur, où les exercices de comédiens révèlent les personnalités de chacun.

Le récit est donc construit par étapes sans suite logique. On saisit des instants, des fragments de cette relation, soit à travers les témoignages des personnages, soit à travers les scènes jouées par les étudiants. Et au final, on a beaucoup de mal à cerner les personnalités de deux héros. Où se situe la réalité ?

Ainsi, Eleanor Catton construit l'identité de ces deux personnages à travers le regard des autres. Quel est le rôle de chacun dans cette histoire ? C'est bien un roman troublant sur la perception qu'ont les autres de nous. C'est aussi un roman sur la période troublée de l'adolescence, répétition de l'âge adulte ?
Commenter  J’apprécie          280
J'ai aimé, mais sans passion.

Je parle de quoi, à votre avis ? de ma vie ou de ce roman déroutant ? A votre avis ?
Eh bien, ce type de questionnement, je l'ai ressenti continuellement tout au long de l'histoire.

Le point de départ, c'est au lycée, dont une élève de terminale, Victoria, est sortie, ...sort, avec un prof de 30 ans, Mr Saladin. Et ça fait des vagues...Et des vagues ! du psychologue de l'école à la professeur de cours particuliers de saxo, en passant par l'Institut d'Art dramatique de cette ville ; de la jeune soeur de 15 ans, Isolde, en passant par les autres filles de l'école, et d'une fille en particulier, Julia, supposée lesbienne, des mères autoritaires ou effondrées, jusqu'à Stanley, élève acteur.

Ces vagues psychologiques constituent la trame de l'histoire. Mais ces vagues sont aussi théâtrales, elles passent continuellement de l'illusion à la réalité, sans même qu'on sache (que je sache, en l'occurrence), où se trouve la frontière.
L'auteure décortique le fonctionnement des sentiments, et je lui rends hommage pour cela. C'est très fin, les fils ténus reliant chaque raisonnement, chaque sensation sont mis à jour. Les condisciples de la jeune fille qui a préféré un adulte sont-elles jalouses ? Se sentent-elles flouées ? Et les mères, auront-elles encore du pouvoir sur leurs filles ? Et la jeune soeur ? Veut-elle attirer l'attention sur elle ? La prof de saxophone qui recueille quelques confidences use-t-elle aussi de son pouvoir ? Qu'est-ce que c'est, avoir de l'influence sur quelqu'un ? Et qu'est-ce qu'un enseignant, un bon professeur ? Et l'amour, l'Amour ?
L'auteure analyse également à fond l'illusion théâtrale : qu'est-ce que le théâtre ? Un acteur est-il encore lui-même quand il joue ? Qu'est-ce que les autres voient de lui ? Jusqu'où peut-on oser la réalité ? Et est-ce la réalité, ce qui est joué ?
Par un continuel jeu de miroirs, l'auteure m'a perdue, m'a reconquise, m'a exaspérée aussi, souvent. Je déteste errer dans un labyrinthe de glaces.

Bref, un roman sur lequel je pourrais écrire une thèse, je pense.
Mais c'est là le problème : à partir du moment où tout est décortiqué, analysé, perfusé, fouillé, trituré, le rêve s'envole, le coeur démissionne. Nulle part je ne me suis sentie accrochée par ces fils ténus, emportée. L'analyse froide et à plat me scotche intellectuellement mais ne me fait pas décoller. Et si en plus, je m'y perds, alors là....

Alors, oui, j'ai quand même aimé ce roman, mais sans passion.
5/10
Commenter  J’apprécie          415
Oh la la quel bazar ! Il faut s'accrocher.
C'est quoi ces jours qui s'enchaînent ?
C'est quoi ces phrases qui se suivent ?
Et maintenant même les mois s'emmêlent.... Je cherche mais je n'ai pas trouvé la logique qui devrait gérer tout ça !
Et puis ... La musique, mais j'y connais rien moi, faire la différence entre un saxo, un alto et une clarinette, bien sur je l'ai déjà lu, mais je n'ai rien retenu... C'est grave docteur ?
Et puis ... le maître d'interprétation, la maîtresse d'improvisation, le maître de mouvement, la maîtresse de voix et de diction, le jeu des acteurs, l'école de la comédie, mais je ne me suis jamais posée ces questions.... C'est grave docteur ?
Livre à réflexion philosophique, avec les bonnes questions à se poser face à notre comportement et face à ce qu'on veut et de ce qu'on veut faire de notre vie....
Mais c'est long, plutôt ennuyeux, à vrai dire, je crois que je ne suis jamais vraiment rentrée dans l'histoire !
C'est un voyage raté, ma performance à moi, sera d'avoir réussi à aller jusqu'au bout des 425 pages !
Commenter  J’apprécie          30
J'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans ce livre. Je me suis accrochée ... Finalement l'écriture est assez intéressante mais l'histoire n'est pas passionnante.
Commenter  J’apprécie          00




Lecteurs (172) Voir plus



Quiz Voir plus

Titres d'oeuvres célèbres à compléter

Ce conte philosophique de Voltaire, paru à Genève en 1759, s'intitule : "Candide ou --------"

L'Ardeur
L'Optimisme

10 questions
1291 lecteurs ont répondu
Thèmes : littérature française , roman , culture générale , théâtre , littérature , livresCréer un quiz sur ce livre

{* *}