Citations sur Les Tuniques Bleues, tome 7 : Les Bleus de la marine (16)
-On a beau s’y attendre, ça surprend toujours !
Ça y est, c'est à nous ! Allons-y caporal ! Espérons que cette fois, vous vous conduirez en héros !
- le commandant ! Où est le commandant ?
- mon dieu ! Il est resté à bord !
- prenez-en de la graine, Blutch ! Vous allez assister à la fin d’un vrai brave !
Chapeau bas, messieurs ! Saluons la bravoure d’un homme qui a su rester à son poste jusqu’à la mort !...
(Le commandant sous l’eau) : jamais je n’aurais osé leur avouer que je ne savais pas nager !
Le lit du Potomac est tellement encombré d'épaves et de cadavres que les poissons sont obligés de se construire des huttes sur les berges ! (p.29)
- Non mais vous avez vu votre crâne ? Il y reste autant de poils que de cavaliers dans la section du lieutenant ! Et en plus, ils sont d'une couleur qui ficherait une grippe intestinale à un caméléon adulte !
- La chaudière ! Elle va nous péter à la figure.
- Plus vite sergent, plus vite ou vous risquez bien fort d'avoir la trace d'une tôle ou un fragment de cheminée incrusté dans votre gros et gras dos musclé.
- Vous savez ce qu'il vous dit mon gros dos gras et musclé ? Vous savez ce qu'il vous dit ?
- J'ai combattu à ses côtés, je sais ce qu'il vaut, rien ! Du vent ! Si j'ai quitté la cavalerie c'est à cause de lui, si je frise la dépression c'est à cause de lui, si ma tête se couvre de cheveux blancs et soyeux c'est toujours à cause de lui.
- Ah là, faut tout de même pas exagérer, non mais vous avez vu votre crâne ? Il y reste autant de poils que de cavaliers dans la section du lieutenant. Et en plus ils sont d'une couleur qui ficherait une grippe intestinale à un caméléon adulte.
Non, mossieur, je n'ai pas lâchement déserté comme vous !
J'ai été éjecté du pont par l'éclatement d'un obus ! ...
Eh, dite donc, pignouf ! ... Vous n'allez tout de même pas rester là, planté comme une asperge dans un potager ? ...
Croyez-moi, les gars! , La cavalerie, c'est de la gnognote!... Du tape-à-l’œil et du bidon!... Moi, je vous l'dis, après l'infanterie, y'a plus rien!... du vent!... pfffft !...