La grande patrouille est un album à la mémoire du dessinateur Salvérius. Il se compose de plusieurs histoires courtes. La plus longue fait seize pages et porte le nom de l'album. le sergent Chesterfield est chargé d'organiser une patrouille pour escorter une caravane de pionnier. Mais il fait chaud, et pendant que le détachement fait trempette, les indiens dérobent les uniformes des militaires. S'en suit un quiproquo entre tuniques bleues et indiens.
J'ai moins aimé cet épisode, les textes sont moins tranchants. Mais j'aime bien par contre, les trésors d'imagination que le sergent déploie pour séduire miss Appeltown.
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BD hommage à Salverius regroupant non pas une seule et unique histoire comme dans les précédent volumes, mais de courtes histoires réalisées à l'origine des tuniques bleues. Il n'en reste pas moins que l'humour est bien présent même si les personnages sont un peu moins aboutis.
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Des histoires marrantes même si je ne suis pas trop fan du trait de dessin de Salvérius. le dessinateur originel n'a pu dessiner beaucoup d'albums avant sa mort et cet ouvrage est donc un recueil de ces gags publiés dans le journal Spirou. On a pas l'habitude de voir les personnages dessiné de façon un peu enfantine (Chesterfield un peu dessiné comme une patate et une impression de personnages pas haut sur pattes).
De plus, l'un des sketchs est mal positionné, on voit des épisodes avec Miss Appeltown qui précèdent son arrivée au Fort et sa rencontre avec Chesterfield et Blutch.
L'album fait également hommage à Salvérius avec l'histoire de la création des tuniques bleues
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Les Tuniques bleues, je ne vois pas avec quoi d'autre je peux les confondre, Blueberry, peut-être ? mais j'ai été très surprise de découvrir que cet album est en fait une compilation de gags à la Boule et Bill…
La Grande Patrouille, c'est donc un recueil de « gags », et aussi le titre d'un des récits, le plus long de l'album, qui m'a bien fait rire, mon préféré avec le coup du facteur. Dans la Grande Patrouille, notre équipe de bras-cassés, euh, pardon, de Tuniques bleues, doit rejoindre un convoi de roulottes en danger d'être attaqué par les Indiens. Mais voilà qu'en route, ils décident de se baigner, et… se font piquer leurs uniformes par les Peaux-rouges… Cascade de quiproquos, évidemment, et tout est bien qui finit bien, évidemment aussi !
Le coup du facteur – j'ai oublié le titre exact, vaut le détour lui aussi… On voit un gars à cheval, courbé sur son cou, le dos criblé de flèches, et chaque fois que des Indiens le repèrent, ils se disent : « tiens, ça doit être un coup des… », se rejetant mutuellement « l'exploit » les uns sur les autres et laissant ainsi l'astucieux facteur livrer son courrier à bon port grâce à son habile subterfuge…
Bref, c'est léger – très léger, mais après tout, une fois de temps en temps, ça fait du bien ;-)
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Des histoires courtes sympathiques pour rendre hommage à Salvérius mais ce n'est pas mon tome préféré.
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